Depuis 2013, Besançon abrite le FRAC (Fonds Régional d’Art Contemporain), précédemment implanté à Dole. On peut y voir environ 500 oeuvres, de la collection permanente, ou d’expo éphémères, mais aussi y participer à des événements, comme des ateliers créatifs prévus pour le jeune public.
Le Bâtiment de la Cité des Arts, qui accueille le FRAC, mais aussi le Conservatoire, vaut à lui-même le coup d’oeil. Il a été imaginé par Kengo Kuma, et se remarque à sa façade faite de bois, verre et aluminium, qui forment un impressionnant damier, inspiré du motif japonais traditionnel de l’ichimasu.
Le toit est construit à partir de panneaux de verre, d’aluminium et de panneaux photovoltaïques, mêlés à des bacs de verdure.
Pour ce qui est de la visite du FRAC, toutes les infos pratiques se trouvent sur le site officiel. Sachez que le dimanche, l’entrée est gratuite pour tous.
http://www.frac-franche-comte.fr/pages/horaires.php
Nous avons visité le FRAC par hasard, car en voulant admirer le bâtiment de l’intérieur, on nous a proposé d’entrer et de profiter de la gratuité du dimanche. Nous n’allions pas refuser… Au final, la visite fut rapide, mais néanmoins intéressante.
J’ai beaucoup apprécié la découverte et je pense que je reviendrai pour les prochaines expositions temporaires.
Pendant notre visite, et jusqu’au 23 avril, Gérard Collien-Thiébaut expose au FRAC, avec Grammaire Sentimentale.
Je ferais un bien piètre guide de musée, donc je vais me taire (ou plutôt lâcher ce clavier) et vous laisser regarder les images tranquillement…
Une dernière pour la route, et je vous emmène ensuite dans une petite ruelle, non pas pour vous faire les poches, mais pour vous montrer une curiosité bisontine…
On y va ? On retourne dehors ?
A Besançon, comme dans d’autres villes du monde, des personnes particulièrement habiles des aiguilles, commettent des « attentats laineux » pour revendiquer « moins de haine, plus de laine ». Cela donne des rues colorées, comme celle-ci…
Bon, là on fait un peu de hors-sujet, mais cela reste coloré…
Le yarn-bombing, c’est le nom, de « yarn » qui signifie fil, s’admire dans plusieurs rues de Besançon, et notamment rue de la Raye, tout près du FRAC.
Qu’en dites-vous ? C’est joli non ?
Sur ce, je vous remercie de m’avoir accompagnée pour cette balade, et vous dis à très bientôt ! 😉