Ciao avril !

En ce dernier jour d’avril, la météo n’était pas des plus clémente à Besançon. On ne savait pas trop s’il allait pleuvoir, et une veste ou deux n’étaient pas de trop… malgré tout, nous avons pu nous balader en ville et flâner sur un vide-grenier, dans le quartier Battant…

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Nous n’avons rien trouvé, car la plupart des exposants vendaient soit des antiquités, à des prix élevés, soit du vrai fond de placard, poussiéreux, en sale état etc… Il faut dire qu’en arrivant à 15 heure et des bananes, on fait rarement de grosses affaires ! Mais cela valait malgré tout la balade, pour profiter du soleil même timide !

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Ma bête tigrée a profité de ce qu’il ne pleuvait pas pour glandouiller sous le cerisier, sa grande passion.

Ensuite, comme j’avais récupéré mon vieux vélo chez mes parents, j’ai eu envie de le « tester » pour voir si je savais encore en faire… Eh oui riez ! Je fais régulièrement du biking à la salle de sport, mais je n’étais plus remontée sur un « vrai » vélo depuis… hum… à l’époque Chirac était Président je pense… (bon, en fait j’avais donné deux trois tours de pédalier cet été à Modène, mais à plat, en mode touriste, donc cela ne compte pas tout à fait).

Et bien force est de constater que comme le dit l’expression consacrée, le vélo cela ne s’oublie pas ! Non-seulement j’arrive encore à tenir en équilibre sur deux roues, mais en plus je parviens à grimper des côtes sans forcément me mettre en danseuse. J’étais fière de moi.

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Les cheveux au vent, j’ai commencé par un faux plat le longe de la route que je prends chaque jour me rendre au bureau, histoire de me rendre compte de ce que cela représentait en terme de temps, sans moteur… c’était long, mais largement faisable…

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J’ai ensuite fait quelques petits détours dans les villages, histoire de tester mes quadriceps sur des côtes de plus en plus pentues… et de faire deux ou trois photos…

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Eglise de Pirey

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Et puis j’ai rencontré des vaches… et là je me suis arrêtée un bon quart d’heure pour essayer de faire LA photo de vache qui se lèche les narines…

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Y’a pas à dire… photographe animalier, c’est un métier !

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Allez, celle-ci est plutôt réussie, on remonte en selle et on rentre !

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Bon… et vous, comment avez-vous profité de ce dernier dimanche d’avril ? 😀

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Sous le Même Toit – au cinéma actuellement

J’aime beaucoup Louise Bourgoin. Lorsqu’elle était miss météo sur Canal+, je ne loupais que très rarement ses interventions. Je la trouvais vraiment drôle, et pour moi aucune de ses successeuses n’a su égaler son talent. Je l’ai vue dans différents films, à commencer par la Fille de Monaco, aux côtés de Fabrice Luchini. Cette comédie dramatique m’avait laissé une impression mitigée… J’avais préféré et de loin, L’Amour Dure Trois ans et Un Heureux Evènement

Bref, actuellement sur grands écrans, nous retrouvons la belle Louise Bourgoin qui partage l’affiche avec Gilles Lelouche, et pléthore d’autres acteurs connus : Manu Payet, Marilou Berry, Julien Boisselier, Nicole Calfan, Marie-Anne Chazel…

Cette comédie réalisée par Dominique Farrugia, aborde un thème d’actualité : les couples séparés qui continuent de vivre ensemble, faute d’avoir suffisamment de moyens pour prendre deux logements différents.

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Synopsis

Delphine et Yvan ne s’aiment plus. Après 15 ans de mariage et deux enfants, ils décident de divorcer, sans cris, sans larmes, et sans vaisselle cassée.

Très vite, Yvan s’aperçoit qu’il n’a pas de solution de replis, et que sans l’aide de son ex-femme, il risque de se retrouver à la rue…

Il retourne donc vivre sous le toit familial. 

*

C’est bien ?

Oui. Ce film m’a beaucoup plu, car il est bourré de petites répliques qui font rire. Les personnages sont attachants, même celui d’Yvan, qui est un poil agaçant sur les bords. On ne bascule jamais dans la grosse comédie lourdingue qui lasse. Au contraire, le trait est forcé juste ce qu’il faut.

D’autres thèmes secondaires viennent se greffer autour du principal, et apporter un peu de profondeur à cette comédie.

L’homme a regretté quelques longueurs, et n’a pas adhéré à la conclusion. Malgré tout, il m’a dit avoir passé un excellent moment. Je l’ai vu régulièrement rire de bon cœur.

Si vous aimez les comédies, et souhaitez vous détendre devant un bon film, alors courez dans le cinéma le plus proche ! 🙂

Le thé en caspules… attendez, je vais vous expliquer !

J’ai toujours juré que je ne céderais pas à la mode des machines à thé, qui proposent de préparer du thé en dosettes ou en sachets, ou que sais-je. Pour moi c’est un sacrilège.  Le thé se prépare avec amour, et théière en fonte (ou juste avec un infuseur, ou une théière en verre si vous voulez, mais bon, pas besoin de machine !). Si parfois je jette un sachet tout prêt dans une eau chauffée au micro-onde, c’est pour gagner un peu de temps, et avoir ma dose de théine. Mais pour un moment de détente, au cours duquel je vais vraiment savourer ma boisson, je préfère recourir à du thé en vrac, et sortir ma théière, ou mon filtre individuel.

Alors les dosettes compatibles, vous imaginez bien que ce n’est pas ma cam. Et pourtant… lors de ma dernière commande de dosettes de café, je me suis trompée. J’ai pris un sachet de dosettes de thé au citron. Je pensais avoir choisi du café aromatisé (oui ça je consomme par contre) et en fait, il s’agissait de « thé » au citron.

Histoire de ne pas mourir idiote, j’ai décidé de le goûter…

*

La marque Pepe vend des sachets de 5 capsules, au prix de 1,25 €. Cela représente 25 centimes par boisson.

Le hic, car autant le dire tout de suite, il y en a un, et il n’est pas petit, c’est que l’ingrédient premier dans la liste est… le sucre !

En ouvrant le sachet, j’ai découvert des capsules transparentes, dont le contenu était une fine poudre beige. Étrange pour du thé vert… D’où ma réaction de regarder les ingrédients…

Sur le site CapsulesCafé où j’ai effectué mon achat, les ingrédients ne sont pas listés. Sur l’emballage en revanche, on les trouve assez facilement :

sucre, extrait soluble de thé (1,4 %), acidifiant : acide citrique, arômes, jus de citron en poudre 0,42 %, maltodextrine, jus de citron déshydraté.

Vous en pensez quoi ?

Je vous colle le petit speech du site…

« Au delà du plaisir gustatif, le thé citron PePe renferme également des vertus antioxydantes et revitalisantes qui vous requinqueront à tout moment de la journée. Profitez de la vertu et des bienfaits du thé citron qui est l’un des agrumes les plus apprécié en boisson chaude. »

Honnêtement, parler des vertus (logiquement assimilées au thé vert) alors qu’il n’y a que 1,4 % d’extrait de thé, est-ce bien sérieux ?

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Du #thé ? Really ?^^ #capsule #teatime

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Bon… et au goût ?

C’est l’homme qui a hérité des capsules car je savais que je n’aimerais pas. Il a testé, sans a priori et m’a dit… « Cela sent bon le citron, et c’est très sucré. Je n’ai pas rajouté de sucre sinon ça aurait été imbuvable ». Oui, l’homme sucre énormément… minimum 2 sucres par mug, et encore, fut un temps il y avait un sucre de plus… La boisson est sympa selon lui, mais il n’a pas senti le thé, seulement le citron et le sucre, ce qui ne l’a nullement dérangé vu que le goût du thé en lui-même l’enthousiasme assez peu.

En définitive, je pense que ces capsules plairons aux palais sucrés en général… Je doute qu’elles séduisent les amateurs de thé. Elles répondront aux envies de ceux qui cherchent à réduire leur consommation de café, tout en continuant à utiliser leur machine à dosettes… et encore, seulement à ceux qui ne sont pas trop regardant sur leur consommation de sucre ! 🙂

J’ai testé… la marche nordique.

Salut à tous et merci d’être fidèles à ce blog, que j’ai plaisir à alimenter en pensant à vos réactions à venir ! Chaque jour c’est un plaisir de lire vos commentaires et d’y répondre. 🙂

Aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’un sport que j’ai découvert tout récemment : la Marche Nordique.

C’est grâce à ma salle de sport, qui organisait une sortie initiatique, que j’ai pu m’essayer à ce sport, à l’occasion d’une balade en forêt.

Nous nous étions donné rendez-vous un soir, après le bureau, et le club fournissait les bâtons de marche. Après de rapides explications (5 minutes maxi) nous avons enfilé les dragonnes, et sommes partis d’un pas décidé en direction du Fort de Rosemont.

Balade à Besançon

Le principe est simple : s’aider des bâtons pour faire travailler les bras, en plus des jambes. On avance le bâton et la jambe opposés en même temps, et l’on plante le bâton en diagonale, comme pour se propulser. Le bâton est planté vers l’arrière du corps, comme en ski de fond… ski de fond que j’ai pratiqué une seule fois, il y a une vingtaine d’années (oui je suis vieille) !

Il s’agit de marcher rapidement, en adoptant une démarche sportive, le corps bien droit, pour solliciter un maximum de muscles. La marche nordique est un sport d’endurance qui permet aussi de pratiquer le renforcement musculaire… une discipline que l’on peut donc qualifier de « complète » !

Balade à Besançon

Franchement, quand j’ai entendu le mot « coordination » dans les explications du coach, j’ai eu un instant de panique… car ce n’est pas du tout mon point fort. Mais en fin de compte, le mouvement de la marche nordique est très instinctif. Au départ, on peut compter mentalement ses pas, pour s’aider, mais le mieux reste de penser à autre chose (les fleurs, les petits oiseaux, ne pas glisser sur les cailloux^^), et de ne pas se focaliser sur les mouvements de ses membres. Cela vient tout seul.

Balade à Besançon

Nous avons marché jusqu’à un point de vue, où nous avons pu « visiter » une petite cabane en pierres… abri de berger ? On ne savait pas trop…

La pause n’était pas forcément obligatoire car nous n’avions pas adopté un rythme ultra intensif, mais on ressentait tout de même l’effet de l’exercice sur les mollets et les cuisses ! Les bras ont travaillé aussi, car le lendemain je sentais bien mes muscles !!

Balade à Besançon

J’étais ravie de découvrir ce sport. Jusque là je dois dire que j’en avais une image un peu négative, pensant que cela s’adressait surtout aux personnes âgées. En réalité, il revient à chacun de choisir l’intensité de sa pratique, et l’on peut réellement se fatiguer et améliorer son endurance et ses muscles en pratiquant la marche nordique ! En plus, on profite de la nature, ce qui est tout de même un gros gros plus. Et puis l’équipement est peu coûteux. Il suffit d’une tenue de sport, de baskets, et les bâtons entrée de gamme ne coûte qu’une petite vingtaine d’euros !

Je ne pense pas m’équiper dans l’immédiat car je préfère réitérer l’expérience en groupe, et pas uniquement en couple. Mais il est clair que cet essai m’a donné envie de reprogrammer des sorties !

Et vous, vous avez déjà testé la marche nordique ? Quelle image en avez-vous ?

Allez tous vous faire Enculer – Mathieu Madénian

C’est parce-qu’il intervient ponctuellement dans l’émission de radio de Flavie Flament, on est Fait pour S’Entendre, que j’ai entendu parler de Mathieu Madénian. Sans cela, je dois dire que je ne le connaîtrais pas. A la radio, il semblait marrant et sympathique, donc par curiosité, j’ai décidé de découvrir son livre, sobrement intitulé Allez Tous vous faire Enculer.

Il raconte que l’idée lui est venue en plein délire, pendant des vacances, et qu’il jubilait à l’idée que des gens pourraient énoncer ce titre un poil vulgaire (juste un poil) devant leur libraire.

C’est quoi ce livre ?

Si on se fie à la couverture, sur laquelle l’auteur prend la pose de façon clairement moqueuse, avec ses lunettes à la main, c’est « plus qu’un livre, un cri ».

En réalité, il s’agit d’une liste de 1 000 personnes et attitudes, qui méritent d’aller se faire… oui bon, vous avez compris.

Point de chapitres, des catégories, de fil conducteur, juste une liste, en vrac…

 

Maintenant la question qui fâche : Est-ce que c’est drôle ?

Bouof… honnêtement, il y a quelques points qui m’ont fait sourire, voire légèrement rire, mais dans la globalité, ce livre est bien plat… Je l’ai entamé un soir et l’ai vite mis de côté, préférant me plonger dans un vrai roman. Puis j’ai décidé de le reprendre à l’occasion d’un long trajet en voiture (non, je ne conduisais pas 😉 Ainsi j’ai pu lire certains passages au conducteur. Mais nous n’étions pas morts de rire, loin de là.

Disons donc que cela permet de passer une heure ou deux quand il n’y a rien de mieux à faire… mais cela ne vaut pas forcément les 12,95 €…

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Ahah celle-là me plait. I confess 😉

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Alors je sais, je peux aller me faire enc… car je n’ai pas d’humour. Eh…

Si malgré tout vous avez envie de découvrir ce livre, il est paru aux éditions First et existe aussi en version numérique.

Se loger à proximité de Bergamo [Italie]

En Italie, outre les hôtels et les bed and breakfast, on peut trouver des affitacamere, littéralement « loue-chambres ». Ce sont des équivalents de nos maisons d’hôtes, mais avec plus d’indépendance, selon ce que nous avons pu constater. Il est possible d’y prendre le petit-déjeuner, mais ce n’est nullement obligatoire.

Généralement on nous remet les clefs de la chambre et de l’entrée, car il n’y a pas de réception.

Pour notre dernière étape piémontaise (en août 2016), nous avons trouvé l’affitacamere Carlo Cacciami à Grignasco (province de Novara). La nuit pour deux était à 48 € sans petit-dèj.

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#chambre

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Grignasco se trouve à :

-1 h 20 de Côme

-1 h 30 de Bergame

-1 h 50 de Brescia

-45 minutes de Novara

Je vous mentionne ces différentes villes, car elles ont toutes un intérêt touristique. Nous n’avons à ce jour, pas encore visité Côme, mais nous sommes amoureux de Bergame, et recommandons également de découvrir Brescia et Novara !

D’ailleurs, pour Novarra, il y a des infos par ici…

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Affitacamera #voyage

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Nous avons trouvé facilement l’endroit grâce au GPS et au panneau à l’entrée du parking.

Le parking est vaste et il y a des places sous les arbres ; c’esfort appréciable vu la chaleur de ce mois d’août.

À côté, se trouve un resto chinois-japonais, que nous n’avons pas testé.

Le gérant de l’affitacamere nous a accueillis immédiatement et nous a fait visiter la chambre.

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Affitacamere

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RAS côté propreté. C’était rutilant et on voyait que tout était entretenu avec soin. Un lit double, un petit lit, un beau bureau en bois massif, quatre chaises, on trouvait aussi plusieurs placards, un pèse personne électronique, et un sèche cheveux. La télé écran plat est grande et de bonne qualité. Dans certains hôtels nous avions eu des écrans catalytiques cathodiques pleins de parasites alors là cela changeait !

Dans la salle de bain, Italie oblige, il y a ZE bidet, mais aussi une petite baignoire, un lavabo et des savons. Je n’ai pas trouvé cela super hygiénique de proposer des savons solides de grosse taille, qui sont destinés à resservir d’un client à l’autre. Mais de toute façon rien ne nous forçait à les utiliser car nous avions nos propres produits.

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Salle de bain

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Le Gérant nous a donné le code du wifi sans que nous ayons à demander. Le réseau était très faiblard. Mes mails ont daignés se télécharger au bout d’une longue attente, mais je n’ai pas pu charger une seule application.

La chambre est confortable et offre tout le nécessaire pour passer un séjour agréable (une bouilloire serait bienvenue mais en Italie c’est rare !).

J’ai bien dormi car j’avais mes boules Quies et que j’étais lessivée après une journée au soleil. Mais l’homme a eu du mal à se reposer, car malgré les boules Quies il entendait une sorte de climatisation. En effet il y avait comme une grosse soufflerie, qui s’arrêtait parfois en faisant des « tac tac tac » et reprenait de plus belle quelques minutes plus tard. Nous avions coupé la climatisation de notre chambre pourtant… Nous avons pensé qu’il devait s’agir de celle du couloir. Mais impossible d’en être surs et de trouver comment l’arrêter…

À 6 h 30, les occupants d’une autre chambre sont partis et le bruit fait par leur porte et par leur discussion d’un bout à l’autre du couloir m’a réveillée malgré les bouchons d’oreille.

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En résumé, cet affitacamere offre un bon compromis entre le camping et l’hôtel. Pour un budget moyen, il permet de se loger de façon confortable, pour peu que l’on soit prêt à accepter quelques petites imperfections…

Pour plus d’infos, et pour réserver, voici le site officiel : ICI

 

La Chute de Londres

S’il y a bien un type de films que j’adore, et pour lequel je suis très difficile, c’est le film catastrophe. Pour vous donner une idée, j’ai vu au moins 4-5 fois le film Poséidon (la version 2006, car la précédente m’a ennuyée).

Il y a à mon sens trop peu de bons films de cette catégorie, et du coup, lorsque j’en croise un qui me semble bon, je me jette dessus tel un chacal affamé.

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La Chute de Londres est un film d’action américain, qui date de mars 2016. Il a été réalisé par Babak Najafi, réalisateur de la saison 2 de Banshee.

Au casting on trouve quelques visages bien connus : Gerard Butler, Aaron Eckhart, et excusez du peu, Morgan Freeman !

L’idée de départ est à la fois originale et super crédible en cette période troublée que nous connaissons.

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Le Premier Ministre britannique est décédé, et les plus grands leaders sont attendus pour assister à ses funérailles. L’événement est organisé au mieux, pour garantir la sécurité de tous les invités, mais malgré toutes les précautions déployées, le jour J c’est le carnage. 

Londres est truffée de terroristes, qui sont allés jusqu’à infiltrer la police anglaise, et dézinguent tout ce beau monde… enfin, presque…

Le Président des États-Unis passe entre les balles, et parvient à prendre la fuite avec son agent secret, Mike Banning…

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Pendant un peu moins de 1 h 40, on nous en met plein la vue avec un film bourré de testostérone… et de patriotisme américain !

On démarre sur les chapeaux de roue puisque dans la première partie du film, tous les dirigeants du monde ou presque se font assassiner avec une facilité déconcertante. Je n’ai pas regardé ma montre, mais l’affaire doit être réglée en quelques 3-4 minutes maximum. Ce n’est clairement pas ce qui nous intéresse, de savoir ce qu’il adviendra de l’Allemagne sans Merkel, de l’Italie sans son premier ministre (et sa jeune épouse), du Japon sans etc etc… vous avez l’idée.

Non, ce qui compte, c’est de savoir comment le Président américain, le jeune et charismatique Benjamin Asher, va pouvoir sauver sa peau et celle de toute la planète, aidé (et pas qu’un peu) par le super agent Mike (tout aussi jeune et charismatique). Mike est une sorte de super garde du corps hyper-entraîné et totalement dévoué à son job. Le genre de mec qui te fait un coup de pied retourné et une clef de bras simultanément, sans déchirer son costume taillé sur mesure.

Bien que sa femme soit sur le point d’accoucher de leur premier enfant, il n’a qu’une idée en tête : sauver le Président. Il faudra le tuer pour l’empêcher d’effectuer sa mission, et ça ne serait pas de la tarte !

Vous avez demandé un film d’action ? Vous allez l’avoir : cartouches vidées, voitures explosées, tronches bien amochées, on vous ajoute quelques bâtiments qui volent en poussière, et un peu d’hémoglobine en finition. Bref, on est dans le film d’action pur et dur. Ne vous attendez pas à être surpris ! Ce n’est clairement pas l’objectif de ce film, qui suit la trame des autres films du genre.

Les américains sont les plus forts. Même à deux dans une ville infestée de vilains terroristes, les américains gagnent. Je ne spoile pas. Il faudrait être vraiment candide pour douter une seule seconde de cet épilogue !

Malgré tout, on prend plaisir à suivre Mike et le Président dans leur fuite, et à les regarder tuer les vilains terroristes qui bien qu’ils aient prévu de mourir, sont un peu emmerdés que cela se passe entre les mains de Mike.

 

L’Empire du mail – Jean Grimaldi d’Esdra

Salut les connectés ! Aujourd’hui je souhaite vous présenter L’Empire du Mail, un livre paru chez Librinova, qui traite du courrier électronique, et explore la façon dont celui-ci a totalement bouleversé notre façon de communiquer, depuis son apparition au milieu des années 90…

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Le jeu de mot avec l’Empire du Mal, n’est pas juste là pour faire joli, puisque l’auteur nous démontre dans son livre, que selon l’usage qui en est fait, le mail peut avoir des effets très pervers sur les individus. A la base, cet outil est sensé nous faire gagner du temps et nous faciliter la vie. Mais en définitive, ce ne serait pas vraiment le cas…

Prenez le Multi-tasking  par exemple ; c’est est le fait d’effectuer plusieurs tâches en même temps, comme par exemple, de lire ses mails tout en parlant au téléphone. Cela désigne aussi le fait de passer d’une tâche à une autre, de façon répétée, très rapidement, comme si l’on éteignait et rallumait un interrupteur…

Dans notre société actuelle, il est généralement bien vu d’être overbooké, même si le terme même, qui contient « over » (trop) est par définition négatif… Mieux vaut avoir l’air constamment sous l’eau, que tranquille, relax… On valorise globalement les gens qui courent partout, alors que dans d’autres société, ils passeraient pour des personnes qui ne savent pas s’organiser et gérer leur temps.

Une enquête du London’s institute of psychiatry a montré que le multitasking impliquait une perte de 10 points du quotidien intellectuel, soit l’équivalent d’une nuit blanche. Cela fait réfléchir, non ? Est-il nécessaire de vous expliquer le lien entre e-mails et multitasking ?

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#citation #management #business

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Dans l’Empire du Mail, Jean Grimaldi d’Esdra décortique notre rapport au courrier électronique, et l’incidence qu’il peut avoir dans les entreprises.

Cet ancien DRH de Michelin, Docteur en Droit, ancien Maître de conférences, et actuel Directeur d’une société de conseil en management, sait bien de quoi il parle. Des mails, il en a reçu et envoyé des pelletés.

Il a aussi observé la place du mail dans le management, et les nouveaux rapports qui se tissent (ou plutôt, ne se tissent plus), par le biais des messages écrits et échangés instantanément, et de moins en moins en face à face.

Il est donc bien placé pour parler de ce message que l’on envoie facilement, instantanément, gratuitement, et souvent… sans trop réfléchir…

Jean Grimaldi d’Esdra pointe le fait que nous écrivons trop de mails, au détriment du contact direct (face à face, mais aussi téléphone… puisque le téléphone permet un échange beaucoup moins froid, dans lequel l’intonation permet de mieux ressentir les réactions de l’interlocuteur) ; et explique en quoi cela devient problématique notamment dans les relations de management.

Le mail a tout accéléré. Il nous pousse à agir toujours plus vite, sans prendre le temps de la réflexion. On en vient à échanger des dizaines de mails en très peu de temps, et à garder le contact en dehors des lieux habituellement réservés au travail, y compris le soir, le week-end, pendant les congés…

Le livre s’ouvre sur une anecdote, d’un Manager qui envoie un mail à un subalterne, qui se trouve dans le même openspace que lui, pour lui demander « VMV »… VMV ? Trois lettres pour « Viens me voir ! »…

L’auteur ne dit absolument pas qu’il faut se passer du mail, qui est un formidable outil quand on sait l’utiliser avec bon sens. Au contraire, il nous donne des pistes pour que celui-ci continue à nous faire gagner du temps, au lieu de nous en faire perdre.

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Ce livre devrait parler à beaucoup d’entre nous… Moi il m’a fait réfléchir à ma façon de travailler, et m’a incitée à revoir quelque peu mes méthodes… Je vous le conseille vivement.

La coconut chez Ky Drinks

Ky Drinks est une marque de thés que j’ai découvert avec délice grâce à Karine, ma Tea-copine, que je ne remercierai jamais assez pour tous ses cadeaux théinés !

La marque nous propose des thés gourmands, comme Coconing, un thé cocooning à base de… noix de coco.

Je ne sais pas vous, mais moi la coco, j’adore ça.

Dans Coconing, on trouve du Thé blanc, mais aussi du cacao, de la noix de coco grillée, et un arôme coco.

Et autant vous le dire, dès que l’on ouvre le joli sachet, l’évasion tropicale commence…

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Be kind to yourself 😄 #teatime #KyDrinks #coconut

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Je vous conseillerais de garder un oeil bien ouvert sur la bouilloire, car ce thé ne doit pas être préparé dans une eau trop chaude. C’est un thé blanc, il se plait dans une eau tout juste frétillante (70-75°C) pendant 3-4 minutes. Au de-là, il prendra un goût herbacé, et vous n’apprécierez plus les arômes gourmands de la coco !

Ce serait fort dommage, car bien préparé, Coconing est un pur délice… Il embaume tout autour de la tasse, régale le palais, et reste en bouche quelques dizaines de secondes après la fin de la dégustation.

Délicat mais bien présent malgré tout, il développe des arômes tout à fait charmants, jamais écœurants. Je repère surtout la coco, et je m’évade…

2,50 € la boîte de 5 sachets individuels, cela nous fait le voyage sous les cocotiers à pas très cher…

Un petit café pour démarrer la journée ?

Hello fidèles lecteurs et curieux de passage ! Ce matin nous avons rendez-vous pour une dégustation de café ! Je vous sers une tasse d’un arabica de la marque italienne Caffè Vergnano !

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Caffè Vergnano est donc une marque italienne, originaire  plus précisément de la ville de Chieri (cela se lit « kièri » et pas « chièri » bien-entendu), dans la province de Turin. Elle fut fondée en 1882 par Monsieur Vergnano, Domenico de son prénom.

La marque a su évoluer avec son temps, puisqu’elle propose aujourd’hui entre autres, des dosettes compatibles avec les machines de la marque Suisse, vous savez, celle qui a pris George Clooney pour égérie ?

Lors de ma dernière commande Maxi Coffee, j’ai voulu goûter les dosettes de cette marque, qui m’étaient jusque là inconnues.

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La gamme #café @caffevergnano1882

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Deux gammes, et un prix correct…

Il y a deux gammes : la classique qui propose des capsules biodégradables, suremballées d’un sachet en plastique ; et la compostable, dont les capsules sont biodégradables, et compostables (pour peu que l’on prenne la peine de les mettre au compost). Oui parce-que les capsules biodégradables c’est bien, mais si on les met à la poubelle classique, ça ne sert pas à grand chose.

Lors de ma dernière commande, j’avais choisi un paquet classique, de dix dosettes d’Arabica (le paquet noir et doré). Vendu 3,20 € le lot de 10, on arrive à 32 centimes la dosette. Ce n’est pas donné-donné et si l’on compare à la marque de référence, la fameuse marque suisse, le gain n’est pas très élevé.

Je pense que la marque ne se positionne pas forcément sur ce créneau du café pas cher. Et personnellement, quand j’achète mon café, la priorité ne va pas à l’économie à tout prix. Je recherche avant tout un bon café. Je ne dis pas par là que je suis prête à payer 50 centimes par capsule, mais lorsque l’on reste dans les 20 à 35 centimes la capsule, cela me convient.

Ce café est présenté comme « équilibré ». Il est issu de cafés provenant d’Amérique Centrale et du sud et d’Afrique.

C’est le descriptif, parlant d’un mélange « aromatique et complexe » aux « saveurs d’agrumes et de fleurs » qui m’a convaincue de le tester.

 

Assez parlé, on déchire l’emballage avec les doigts, et on insère la capsule dans la machine. Cela ne coince pas, et le café coule aussi vite à vue d’œil qu’avec une capsule d’origine.

Mon café embaume la cuisine, mais il y a très peu de mousse. C’est surprenant, mais qu’importe.

 

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C'est l'heure du #café ! #coffeeTime

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Ce café Arabica est plaisant… il a une acidité bien présente, qui me plait,bien que je ne sois pas toujours adepte des cafés acides. Ici, la force de ce café est suffisante, pour contrebalancer le côté acide. Autrement dit, c’est un café suffisamment puissant, pour tolérer une acidité bien marquée. Dans un café plus léger, j’aurais grimacé.

Je ne parlerais pas de coup de cœur pour cet arabica. Mais la dégustation était néanmoins plaisante. Tout dépend des goûts de chacun. Pour ma part, je préfère les cafés un poil plus corsés, et un peu plus ronds en bouche.

Et vous ? Vous l’aimez comment votre cawa ?