Se loger à Parma – Ayri Hotel

Ayri Hôtel à côté de Parma est un hôtel que l’on peut hésiter à contacter si l’on dispose d’un budget serré. En effet, son site internet présente un établissement d’un certains standing et on ne s’attend pas à ce que la chambre matrimoniale soit proposée à 48 € seulement, en août… Et pourtant c’est le cas !

En règle générale, sachez qu’en pleine saison touristique (disons août), l’intérieur des terres italiennes est boudé par les touristes et déserté par les voyageurs d’affaires. On peut donc se loger pour vraiment peu cher, dans des hôtels fort confortables…

Coucher de soleil sur #Medesano - campagne parmesane - Italie

Non, ce n’est pas l’hôtel…

À ce prix là, le déjeuner buffet n’est pas inclus, mais on peut néanmoins profiter du parking gratuit. Ce parking est extérieur, non-surveillé. Mais il se trouve juste devant l’hôtel, dispose de très nombreuses places, et comme l’hôtel est à la campagne (à Medesano précisément) il n’y a pas trop à s’angoisser…

Nous sommes arrivés à 10 h 35 et avons patienté 5 minutes dans le hall car la réceptionniste était dans la salle du petit déjeuner. Elle nous a expliqué que la chambre n’était pas encore prête mais qu’elle allait la faire préparer en 15 minutes. En attendant nous avons regardé les documents touristiques et utilisé le wifi gratuit pour préparer notre visite à Parme.

Il n’y a pas de transport en commun tout près de l’hôtel. Celui-ci est un peu au milieu de nulle part. Mais nous avons pris la voiture jusqu’à Fidenza, puis le train jusqu’à Parme.

Ayri Hotel

Fidenza possède un centre outlet, qui regroupe des magasins d’usine. Ce sont des marques de luxe uniquement. Nous n’y sommes pas allés. Mais sachez qu’il existe…

Pour en revenir à l’hôtel Ayri, la chambre est correcte et jolie, avec une grande fenêtre donnant sur le parking, un grand lit, une belle machine à café (2 dosettes en stock_ne prévoyez pas les vôtres car c’est une machine professionnelle qui n’accepte que les dosettes spécifiques !), un minibar avec petite bouteille d’eau à 2 €. Il y a une fleur de plastique sur le bureau.

Ayri Hotel

Le minibar ne semblait pas fonctionner car nous y avons mis quelques bidouilles qui n’ont pas été rafraîchies mais nous n’avons pas eu le courage de prévenir la Réception (pourtant toujours à l’écoute).

Ayri Hotel

La salle de bain accueille une cabine de douche, un grand lavabo, l’incontournable bidet italien, et un WC. Des produits d’accueil sont offerts : 2 petits gels douches, 2 petits shampoos, 1 petit savon. On peut aussi trouver des mouchoirs, et des sachets plastiques pour les protections hygiéniques. Ce fut bien pratique pour emballer mon dissolvant farceur, qui fuyait dans ma trousse de toilette.

Ayri Hotel

Ayri Hotel

Ayri Hotel

La chambre est moderne mais il y a des traces d’usure sur les murs et des moustiques écrasés au plafond. Ceci dit, cela reste globalement propre et on ne manque de rien. Il y a d’ailleurs un sèche-cheveux dans la salle de bain. J’aurais bien aimé avoir une bouilloire pour me faire du thé le matin, mais bon, en Italie pays du café, ce serait être bien relou de se plaindre de cela !!

L’homme a trouvé le lit à son goût. Moi je l’aurais bien aimé un peu plus ferme et j’ai trop senti les ressorts. Mais bon, crevés comme nous étions après nos journées de balades, nous n’avons pas vraiment cherché le sommeil !!

Ayri Hotel

Sur le mail de confirmation reçu lors de ma résa, il était question de trouver un vélo elliptique dans la chambre. Point d’elliptique dans la notre, mais vu les kilomètres de marche que nous faisions chaque jour cela ne nous a pas manqué !

Ayri Hotel

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Medesano se trouve à une quinzaine de kilomètres de Parme. En train régional depuis Fidenza, nous avons payé 3,05 € pour un aller simple. La gare est équipée de distributeurs automatiques, qui évitent de faire la queue au guichet, et permettent de comparer les prix et les horaires. Le parking Marconi est voisin de la Stazione. Tout recouvert de panneaux photovoltaïque, il est grand et gratuit au moment où j’écris ce billet.

Coucher de soleil sur #Medesano - campagne parmesane - Italie

Eglise de Medesano

À Fidenza on trouve une Cathédrale, imposante de l’extérieur mais assez simple à l’intérieur. Elle abrite quelques peintures, et une petite chapelle. Nous l’avons visitée en attendant l’heure de notre train. Côté shopping, tout près de la gare, on peut passer chez Tigota (cosmétiques et produits d’hygiène) ou OVS (fringues hommes, femmes, maquillage).

 

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Pour terminer avec l’Ayri Hôtel, signalons qu’il fait aussi resto traditionnel le soir. Le menu est affiché à la réception (plusieurs choix de pasta en entrée, puis viande et accompagnement). Nous n’avons pas testé et je ne saurais vous renseigner sur les prix.

À l’accueil, on peut lire différents quotidiens italiens (je ne crois pas avoir vu de journaux étrangers). Il y a aussi une petite étagère de book crossing (on laisse un livre pour en prendre un autre à la place). Je n’ai rien trouvé à mon goût mais j’adore le concept !

Les Réceptionnistes sont présentes de 7 à 23 h, toujours prêtes à rendre service. J’ai pu reposer ma langue et laisser l’homme s’exprimer en anglais, car le personnel est bilingue.

Enfin, le wifi est gratis, sans code. Au rez de chaussée il fonctionne au poil. En chambre il rame comme l’internet du début des années 2000.

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Pour 48 € la nuit, cet hôtel offre une solution d’hébergement des plus correctes. Les chambres sont propres et plutôt pratiques, même s’il y a des points d’amélioration possibles. L’accueil est tip top. La présence d’un grand parking et de la gare à 15-20 mn en voiture sont de vrais plus.

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Les vies multiples d’Henry Quantum

J’ai encore découvert un chouette roman par le biais du site Netgalley ! Il s’agit d’un livre paru chez Michel Laffon.

Les vies Multiples d’Henry Quantum est un roman de l’écrivain américain Pepper Harding, pseudonyme de Michael Lavigne, à qui l’on doit déjà d’autres livres.

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Nous sommes le 23 décembre et Henry Quantum se rappelle qu’il n’a pas encore trouvé de cadeau pour son épouse, Margaret. Galère de trouver une idée pour celle qui partage sa vie, mais plus forcément son cœur… C’est décidé, Henry va lui acheter un flacon de Numéro 5 de Chanel ! Avec ce parfum, il ne peut pas se tromper.

Tout au long du récit, le personnage principal remettra son achat à plus tard… l’esprit accaparé par mille autres pensées, surtout après avoir croisé Daisy, une femme avec qui il a eu une liaison…

*

Ce roman m’avait attiré pour sa couverture très colorée. Et j’ai bien fait de céder à la tentation, car l’histoire m’a plu, tout comme la façon qu’a son auteur de la raconter.

Nous suivons Henry dans ses pensées, mais sans que cela ne soit longuet. Au contraire. On partage les réflexions du narrateur, et on s’imprègne de ses sentiments, sans avoir à fournir le moindre effort.

L’auteur lui-même craignait que son livre ne soit boring (ennuyeux), et il est clair que c’était aussi ma crainte. C’est souvent le cas quand nous partageons les pensées d’un personnages. Il faut s’attendre à un récit introspectif, donc plutôt dépourvu d’action.

Sauf qu’ici, Henry se remémore aussi des scènes de son passé, qui sont tout à fait vivantes ! Et cela rythme la lecture.

Ce livre se lit très facilement, et m’a laissé une sensation agréable, comme si j’avais rencontré un nouvel ami en la personne d’Henry. Cela n’a pas été un coup de cœur. Mais malgré tout, j’ai été ravie de lire ce roman.

J’ai testé la pole dance

Les premières fois que j’ai entendu parler de cours de pole dance, je dois avouer que j’ai pensé que c’était une drôle d’idée d’apprendre à danser autour d’une barre, en petite tenue. Je trouvais cela vulgaire, et je n’aurais jamais pensé essayer. Ne me jetez pas tout de suite des cailloux s’il vous plait !

Petit à petit, cette discipline s’est diffusé, et j’ai vu des vidéos, des photos, qui m’ont fait me rendre compte qu’en réalité, bien que née dans les clubs de strip tease, la pole était un sport à part entière, qui demandait de solides capacités physiques !

Du coup, lorsque ma meilleure amie m’a proposée d’assister à un cours d’essai, à l’occasion de portes ouvertes dans un club de ma ville, j’ai dit oui !

Nous voici donc dans une salle remplie de poles (ce sont les fameuses barres), avec une petite dizaine d’autres filles, toutes en débardeur et petit short, la tenue obligatoire si l’on veut pouvoir faire quelque chose. Imaginez-vous bien qu’en T-shirt long et legging, vous ne tiendriez pas sur la barre !

Au départ la prof nous explique deux ou trois points un peu techniques. Elle nous conseille de changer de pole pendant le cours, car toutes ne sont pas identiques. Elle nous propose ensuite un échauffement de dix minutes, nécessaire pour ne pas risquer inutilement la blessure. Et puis nous voilà lancées !

Premier exercice, tandis que la moitié des élèves fait la position de yoga du chien tête en bas, l’autre moitié s’assoit à la pole, et doit se soulever jambes écartées, à la seule force des bras… Malgré toute la bonne volonté du monde, je n’ai pas décollé d’un millimètre. Oups, cela commence bien !

Nous avons marché autour de la barre, pour nous familiariser avec le matériel. J’ai été surprise de me rendre compte que des mouvements tous simples étaient en réalité bien plus techniques que ce que j’imaginais. Parfois le positionnement des mains à quelques dix centimètres près changeait tout !

Ensuite nous avons découvert la figure du Crucifix. Debout face à la pole, on appuie son genou monté à angle droit le long de cette dernière, avant de ramener l’autre jambe, et de se hisser le long de la barre, pour ensuite écarter les bras. Si ce n’est pas clair, je vous renvoie à google images !

Et bien là surprise, après quelques conseils supplémentaires, j’ai réussi à monter le long de la barre, et à effectuer un Crucifix assez convenable. La grâce viendra par la suite, on ne peut pas tout faire nickel dès le début !!

Nous avons ensuite testé le Crucifix renversé. Comme son nom l’indique, il s’agit de la même figure, mais tête en bas. Pour le coup, la prof avait placé un tapis autour de la barre, et nous assurait. Sinon je pense qu’il m’aurait fallu environ une éternité pour oser me lancer !

Et puis nous nous sommes étirées, et la séance était terminée ! Cette heure a filé à toute vitesse, et même si elle a confirmé que je n’avais aucune prédisposition pour la danse en général, j’ai été surprise de m’amuser comme une petite folle. Le côté très physique de la pole m’a réellement plu. J’ai ressenti une douloureuse absence de muscles des bras… Je pense donc que je retenterai l’exercice une prochaine fois, le temps de me muscler un petit peu à la salle de sport !

Finalement, si vous souhaitez visionner des vidéos sur Youtube par exemple, vous pourrez vous rendre compte comme moi, que la pole dance est une discipline proche de certains numéros de souplesse, comme on peut en voir au cirque par exemple. Et c’est ce qui m’a réellement plu dans cette expérience !

Riche en protéines

En ce moment, il y a un phénomène qui m’agace au plus haut point. Je ne comptais pas en parler sur ce blog, car c’est un peu hors-sujet par rapport aux thèmes que j’aborde habituellement. Mais comme mon agacement ne passe pas, je me suis dit qu’un petit HS ne ferait pas un grand mal, et me permettrait de partager mon énervement. Alors par avance, je vous demande de bien vouloir me pardonner ce billet un rien coup de gueule !

Il s’agit d’aborder ici la mode du végétarisme, qui s’empare de la France depuis quelques années.

Alors bien-sûr en tant que végétarienne, je devrais me réjouir de voir que le végétarisme a retrouvé ses lettres de noblesse, et qu’il est désormais bien vu d’adopter un régime sans viande (ni poisson). D’ailleurs c’est le cas, je suis sincèrement ravie de constater que les français consomment moins de viande. 

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#vegetarien #veganfood

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Oui il y a des protéines cachées dans cette photo. :-p

 

Mais malheureusement, ce phénomène de mode n’amène pas que du bon.

De quoi voudrais-je vous parler ? Et bien de ces marques qui se lancent dans les gammes végétales, et proposent des produits sensés REMPLACER la viande. Ce n’est pas forcément annoncé de façon aussi franche, mais souvent les marques mettent bien l’accent sur le côté végétarien du produit, avec un nom en « veggie » et un packaging dans les tons verts. Du coup, on imagine qu’en achetant tels nuggets ou tel « steak » on aura un produit équivalent à une portion de viande. On imagine aussi que l’on va mettre un produit diététique (ou healthy) dans son assiette, alors que ce n’est pas forcément le cas.

L’ennui à mon sens, c’est que bon nombre de ces produits sont probablement délicieux au goût (et encore, tout dépend de la définition de délicieux que l’on a en tête) mais ne valent rien sur le plan nutritionnel.

Je m’explique.

Dans n’importe quel aliment, on trouve trois grandes catégories de nutriments :

*les protéines : on les trouve dans la viande, dans le poisson, mais aussi dans les céréales complètes, les légumineuses, le quinoa (qui n’est pas une céréale), le soja..

*les glucides : ce sont les sucres au sens large, donc ils sont présents dans les féculents, le pain, les fruits et légumes, et de plus ou moins bonne qualité selon leur provenance et s’ils sont raffinés.

*les lipides : il s’agit des graisses, souvent diabolisées, et pourtant nécessaires à notre santé ! Il y en a des bonnes (l’huile d’olive pour ne citer qu’elle) et de moins bonnes (à vous de m’en citer tiens !).

L’ensemble donne la valeur nutritionnelle de l’aliment, plus ou moins élevée d’ailleurs (cela s’exprime par le nombre de kcalories aux 100 grammes).

Nous avons tous et toutes besoin d’un certain nombre de protéines, de glucides et de lipides, pour vivre. C’est ce qui permet à notre corps de fonctionner.

Il faut, pour être en forme et le rester, veiller à apporter à notre corps :

1/ le bon nombre de calories,

2/ une bonne répartition entre protéines / glucides / lipides…

Autrement dit, si vous avez besoin de 1 500 kcals par jour, et que vous ne mangez que du riz blanc (full glucides) sans matière grasse ni protéines, cela ne va pas vraiment le faire.

Mais je m’égare.

Ce que je cherche à dénoncer dans ce billet, c’est le fait que de nombreuses marques lancent des produits destinés aux végétariens, qui ont une composition vraiment discutable.

Je ne citerai pas de marques en particulier, mais j’ai déjà croisé dans des rayons, des boulettes végétales qui présentaient moins de 5 grammes de protéines aux 100 grammes… C’est absolument négligeable. En comparaison, un steak de boeuf, selon sa teneur en matière grasse, apporte en moyenne 20 à 30 grammes de protéines aux 100 grammes.

Les apports recommandés pour chaque personne dépendent de son activité physique. Plus vous êtes musclé, plus il vous faudra de protéines pour entretenir votre masse musculaire. Mais globalement, pour faire une moyenne, on parle de 0,8 grammes de protéine par kilo et par jour. Par exemple, une femme de 60 kilos plutôt sédentaire, aura besoin d’environ 50 grammes de protéines par jour (j’insiste sur le « environ »).

Pour en revenir aux boulettes dont je vous parlais plus haut, je ne dis pas qu’elles sont à éviter absolument. Si elles vous font envie, alors allez-y ! Mais il serait bon de savoir que leur composition n’en fait pas du tout un produit de REMPLACEMENT de la viande. Là où les choses deviennent dangereuses, c’est lorsque l’on achète ce type de produit en imaginant que l’on peut le consommer pour obtenir un équivalent nutritif à un steak par exemple.

Trop de nouveaux végétariens profitent de la diversification de l’offre des similis, pour manger des produits tous prêts, sans se soucier le moins du monde de la composition…

On voit certains manger des nuggets de blé avec des pâtes… rappelez-moi juste, à base de quoi sont faites les pâtes ? Bref, on a une assiette 100 % blé… Je doute que cela soit la définition de la diversification alimentaire.

Sans devenir un obsédé de l’étiquette, il serait bon de prendre conscience que « végétarien » ne rime pas forcément toujours avec « sain » et que mettre un produit dans son panier, juste parce-qu’il y a le mot « veggie » sur l’emballage, peut être une erreur…

On trouve des similis totalement valables, équilibrés, sains, mais il faut pour les dénicher… lire les étiquettes !

Si le sujet vous intéresse, je vous propose d’en reparler plus en détail une prochaine fois… En attendant, n’hésitez pas à réagir en commentaires. Ce sera un plaisir de découvrir vos réactions, et d’y répondre !

Mulino delle Orti – Piacenza [Italie]

L’été 2016, nous avons découvert la ville italienne de Piacenza, en Emilie-Romagne. Chef-lieu de la province du même nom, Piacenza est à la « frontière » avec la Lombardie, tout près de Milan, et bénéficie donc de l’activité économique de ville lombarde.

Nous étions logés à Piacenza même, à quelques centaines de mètres du centre ville.

Mulino delle Orti

Mulino delle Orti à Piacenza, est un « affitacamere » c’est à dire un établissement proposant des chambres à la location. Ce n’est ni vraiment un hôtel, ni vraiment un B&B. C’est entre les deux et je ne trouve pas vraiment d’équivalent en France.

La nuit en chambre matrimoniale, sans petit-déjeuner, nous a coûté 43 € au mois d’août. Notez cependant que dans les terres, ce n’est pas une période haute du tourisme italien. Donc il est normal de trouver à se loger pour peu cher en août, tant que vous évitez les gros points touristiques et les côtes !

L’établissement est doté d’un parking, gratuit.

J’avais comme d’habitude réservé en contactant le responsable par e-mail, directement. Et aucun pré-paiement ne m’avait été réclamé.

Mulino delle Orti

La cour, où il est possible de laisser la voiture

Nous sommes arrivés au Mulino à midi pile. Les cloches sonnaient ! Sachant que la famille Celio gère aussi le restaurant au rez de chaussée, nous avons débarqué en plein rush ! Malgré tout, nous n’avons attendu que 5 minutes avant d’être accueillis par le fils, qui nous a fait entrer la voiture dans la cour, et accompagnés à notre chambre.

Mulino delle Orti

L’escalier qui mène aux chambres

Mulino delle Orti

Il y avait… 5 lits ! Un grand, et 4 petits ! Mais le top, a été de trouver un petit frigo dans lequel nous avons pu ranger nos pains de glace pour la glacière ! Les routards apprécieront ce genre de bonne surprise !

Mulino delle Orti

La chambre, très sobre, est également vaste, avec une petite télé écran plat, un bureau.

Et la salle de bain, grande également comprend une cabine de douche, un bidet, un lavabo et un sèche-cheveux (quand on voyage léger sans sèche-cheveux, c’est juste énorme !). Il n’y a pas de produits d’accueil, mais les linges sont fournis.

J’ai demandé le code du wifi et pu profiter d’une connexion impeccable ! Ce soir là, j’en ai profité pour envoyer toutes mes photos d’Iphone sur mon compte Flickr, chose que je n’avais pas pu faire avec le réseau mollasson des autres hôtels !

Mulino delle Orti

La chambre est également climatisée. Mais il faisait assez doux le jour de notre passage, donc nous n’avons pas eu à utiliser la clim.

Nous avons fort bien dormi dans un lit large, au matelas super confortable.

Sans boules Quies on entend les voitures qui passent le long de l’hôtel et cela peut potentiellement déranger. On entend aussi l’activité dans les couloirs (le resto est au rez de chaussée et nous étions au troisième étage donc pas de souci de ce côté là), les autres clients etc. Mais ce n’est vraiment pas un gros dérangement !

Par précaution je dors toujours avec des bouchons d’oreilles en vacances, et du coup j’ai dormi comme un bébé !

Mulino delle Orti

L’hôtel est bien situé, car on trouve un arrêt de bus juste en face. Il suffit d’acheter des billets dans le bus ou au bureau de tabac (moins cher, et il y a un tabac à quelques pas de l’arrêt) et on peut rejoindre le centre ville via les lignes 2 et 3. C’est ce que nous avons fait, pour 1,20 € chacun. Nous sommes ensuite revenus à pieds, et c’était largement faisable !

Ce n’est qu’une fois rentrés en France, en visitant à nouveau le site web, que j’ai constaté qu’il était possible d’emprunter gratuitement des vélos ! Cela aurait pu être sympa de le faire.

Mulino delle Orti

Nous étions presque déçus de n’avoir réservé qu’une nuit dans cet établissement. Tout était parfait, avec une chambre très grande, propre, et bien équipée. Rien à redire ni sur les prestations ni sur le prix !

Si vous souhaitez en savoir plus sur cet endroit, et pourquoi pas… réserver à votre tour, alors le site officiel se trouve ici !

 

Plus d’infos ? C’est par ici !

C’était le temps des feuilles…

J’ai constaté à plusieurs reprises, que de nombreuses personnes adoraient l’automne. Honnêtement, sans internet, les blogs et les réseaux sociaux, je n’aurais jamais imaginé que le phénomène était aussi marqué. Je pensais sincèrement qu’il y avait un original par ci par là pour aimer l’automne, mais que la grande majorité de l’humanité détestait cette saison au moins autant que moi.

Besançon

Au bord du Doubs, à Besançon (29/10/17)

Apparemment, s’enrouler dans un plaid avec une tasse de thé fumant, et ne rien faire de tout son dimanche est une activité à part entière, qui en réjouit plus d’un. Si je valide  totalement le plaisir de bouquiner, de boire du thé et plus globalement de ne rien faire, j’avoue ne pas comprendre l’intérêt d’avoir une température extérieur de 8 degrés pour savourer pleinement. Lire dehors, sous un arbre, dans un beau rayon de soleil, c’est quand-même bien mieux, non ?

Bon. Nous n’allons pas débattre sur un tel sujet. Les goûts et les couleurs… cela ne se discute pas. Moi je déteste l’automne. Je déteste avoir froid, devoir emporter un parapluie avec moi, salir mes bottines. Je n’aime pas quand les journées raccourcissent, que les feuilles tombent et rendent les trottoirs glissants. Je suis rabat-joie, peut-être, sûrement.

Besançon

Besançon

Mais. Attendez attendez ! J’avoue trouver un avantage à cette saison. Il est purement esthétique. J’aime les couleurs de l’automne, surtout quand le soleil pointe malgré tout le bout de son nez, et autorise une balade improvisée, appareil photo à la main pour immortaliser les différentes nuances de jaune et d’orange…

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Cette année encore, les feuilles tombent. Mais pourquoi au fait ?

Vous le savez probablement déjà, mais dans le doute… En fait, les feuilles des arbres possèdent des stomates, de minuscules perforations invisibles à l’œil nu, qui servent de capteurs, et absorbent l’énergie solaire et les gaz.

L’arbre utilise cette énergie pendant la belle saison pour pousser et se fortifier.

Quand l’automne arrive, le soleil se fait plus rare. Les journées raccourcissent, et surtout, le froid revient… c’est le moment de passer en mode économie d’énergie ! Alimenter le feuillage devient beaucoup trop énergivore, alors un bouchon se forme au niveau des pédoncules (ce sont les tiges des feuilles) bloquant l’arrivée de sève dans les feuilles. C’est radical !

Les feuilles privées d’alimentation, changent progressivement de couleur, avant de tomber !

L’arbre débarrassé de son feuillage, peut désormais concentrer son énergie à maintenir ses fonctions vitales… jusqu’au retour du printemps !

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Noisetier de Byzance

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Gingko

 

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Feuilles de liquidambar

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Physalis (ou Amour en Cage)

Physalis (Amour en Cage)

Et vous, appréciez-vous l’automne ?

Les expressions d’entreprise qui hérissent le poil

Aujourd’hui, intro bâclée : petite compil’ d’expression de bizness qui ont le don de m’agacer, et pas que moi je suppose…

Vous êtes prêts ? On commence fort avec :

« Qui va bien » 

Exemple : « Tiens, tu n’as qu’à ajouter un petit tableau qui va bien ! »

Pourquoi c’est chiant ? Parce-qu’on l’a trop entendue cette expression, et qu’elle ne veut rien dire bordeyl !

Variante : « sexy » . Non un site web n’est pas « sexy », un tableur Excel encore moins. C’est tout.

*

« Tu me reviens ? »

Exemple : « Bon, tu regardes avec Jean-Claude ce qu’on peut faire, et tu me reviens ? »

Pourquoi c’est chiant ? Parce-que c’est incorrect en terme de langage. On pourrait dire « Tu me redis » ou « Tu me tiens au courant ». Ce serait tellement plus approprié. Au lieu de ça, on emploie un « Tu me reviens » qui te met Patrick Fiori dans la tête. C’est vraiment insupportable.

Variante : Faire un retour.

Non. Cela fait penser à un reflux œsophagien. C’est encore pire.

 

Je suis charrette.

Exemple : « Ah ouais non mais là je suis charrette. »

Pourquoi c’est naz ? Parce-qu’à la base le terme désigne une réelle situation de j’ai trop trop mais trop de trucs à faire, et qu’à force tout le monde l’emploie pour dire qu’il a un léger surplus de travail. Du coup, on n’a plus d’expression pour les vraies situations super critiques. Et puis même, on l’a entendue un tel nombre de fois que là, ce n’est plus possible.

Brainstorming.

Exemple : « Je vous laisse brainstormer là-dessus ! »

Ouais, parce-que les mots anglais peuvent aussi devenir des verbes. Et c’est encore plus moche.

Pourquoi c’est irritant ? Parce-que c’est un terme utilisé depuis bien trop longtemps, et que d’autres mots bien plus français peuvent servir à traduire la même idée. Essayez « réfléchir » par exemple. Simple, efficace, et moins énervant !

Conf Call

Exemple : « J’ai une conf call à 16 heures. »

Pourquoi on n’aime pas : parce-que ça veut juste dire que tu vas parler à plusieurs interlocuteurs en même temps au téléphone ou sur Skype. Une « conférence téléphonique » ou un « rendez-vous Skype » sonne tellement mieux à l’oreille.

 

« BR » / « cdt »

Ceux-ci se rencontrent dans les e-mails, juste avant la signature. Abréviations respectives de « Best Regards » et « cordialement », ils sont parfois intégrés dans la signature. Autrement dit, la personne ne les a pas écrits pour vous. Ils se sont ajoutés tous seuls, avec le pavé de signature. Non-seulement on abrège la formule de politesse, mais en prime, on l’incorpore automatiquement, ce qui au final veut dire que l’expéditeur ne s’est pas pris le chou à conclure son mail poliment… Discutable, non ?

Je suis sûre que l’on pourrait en lister encore des dizaines et des dizaines… Alors allez-y et laissez-moi les vôtres en commentaires, que l’on rie un peu ! :-p

Un Amore di Zitella – Andrea Vitali

C’est à Mantova, pendant mes vacances, que j’ai trouvé ce roman d’occasion dans la librairie Libraccio. A 4,95 € j’ai craqué, car le résumé me tentait pas mal…

Ce roman paru en 1996, est relativement court, puisqu’il ne compte que 116 pages. Il nous dépeint l’existence paisible de Iole Vergara.

Iole travaille comme dactylo pour la commune de Bellano. Elle est ce que l’on appelle à l’époque, une « vieille fille ». 

Son quotidien est fait d’habitudes, qui forment une douce routine. Elle discute avec sa collègue Iride, qui n’a pas son pareil pour faire des histoires et trouver toujours à redire, dîne invariablement d’un café au lait, et s’accommode plutôt bien de sa solitude.

Et puis un jour, sur un malentendu, Dante débarque dans la vie de Iole…

Et là je ne vous en dirai pas plus, car c’est la clef du roman… un roman paisible, comme le village de Bellano, au bord du lac de Côme.

Il m’a beaucoup plu car même s’il ne se passe finalement pas grand chose, l’auteur arrive à dresser un joli portrait des gens qui font ce village. On a plaisir à les découvrir et à prendre part à leurs petites histoires.

L’écriture est fine, très accessible. Il faut juste lire l’italien ! J’ai beaucoup aimé cette découverte, et pense me mettre à la recherche des autres livres de cet auteur…

Mantova 2017

Le Musée de l’Automobile de Turin

J’avais très envie de visiter le Musée de l’automobile de Turin. Celui-ci a été classé parmi les 50 meilleurs musées du Monde par le Times, en 2013. Cela me semblait plutôt prometteur…

Ce musée appelé MAUTO (museo dell’Automobile di Torino) se trouve à côté de la gare de Torino Lingotto (ce n’est pas la gare principale).

Nous y sommes donc allés en train et avons marché un petit quart d’heure pour rejoindre le bâtiment.

Pour commencer, voici quelques infos pratiques !

*L’entrée coûte 12 € ; il y a des tarifs réduits en pagaille, pour les enfants, les étudiants, les seniors, les voyageurs Alitalia, les détenteurs de cartes spéciales…).

*Les explications sont essentiellement en anglais et en italien.

*Il est possible de charger l’application officielle sur smartphone, pour avoir plus d’infos, et dans ce cas, vous pouvez aussi utiliser le wifi gratuit du musée !

 

MAUTO

Le hall d’entrée

***

Le MAUTO a été fondé en 1932, par Carlo Biscaretti di Ruffia. En 2011, il a fait l’objet d’une importante rénovation, visant à lui donner un style beaucoup plus futuriste.

En chiffres, le MAUTO ce sont plus de 200 voitures, 80 marques, exposées sur 3 étages que l’on visite du haut, vers le bas. La visite s’organise autour de trois thématiques :

-« L’automobile et le vingtième siècle »,

-« L’homme et l’automobile »,

-« L’automobile et le design »

Au début de la visite, on découvre comment sont nées les premières voitures, et ce qui les a précédées. Il y a assez peu de lecture, mais au contraire, beaucoup d’objets, d’animations et de schémas qui rendent cette partie de l’exposition très ludique.

Tout de suite, nous avons été émerveillés par la façon dont les informations étaient présentées. L’interactivité est totale. Partout, nous pouvions regarder des animations, des films, des schémas animés…

Il y avait des images, mais aussi des sons, et des tablettes que nous pouvions utiliser pour avoir encore plus de détails ! Chaque voiture exposée possède sa fiche, accessible sur les tablettes mises à disposition des visiteurs dans les différentes salles. En navigant sur les tablettes, on peut trouver toute l’histoire du modèle, les informations clefs, des anecdotes. C’est réellement très très riche !

Nous pouvions nous arrêter pour visionner des petits reportages, comme celui sur la diffusion des automobiles, grâce aux modèles accessibles comme la Coccinelle de Volkswagen, ou la fameuse Fiat 500.

Il y a des reportages d’époque, des interviews, des films d’archives divers et variés.

Bien-sûr si nous avions tout regardé, nous serions encore au musée ! Il fallait faire des choix !

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Nous étions relativement nombreux à être venus à l’ouverture, et à visiter le musée en même temps. J’imagine que le mois d’août n’est pas forcément une période de grande affluence, donc il faudrait voir à un autre moment. En tout cas, le jour de notre visite, nous ne nous marchions pas sur les pieds. Il n’y avait aucune attente pour les différentes animations, ou pour pouvoir lire les panneaux explicatifs. La collection exposée est tellement riche, qu’il y a toujours une chose à voir, en attendant d’avoir plus de place vers une autre.

Les voitures sont bien mises en valeur. On peut les approcher, et regarder les détails de tout près, tant que l’on ne touche à rien.

A plusieurs reprises, des visiteurs ont touché les modèles exposés, et un message audio a retenti, en anglais, en italien et en français, pour rappeler qu’il était strictement défendu de toucher les voitures !

En tout cas, il est facile de les prendre en photos, car il n’y a pas toujours de cordon de sécurité, ou lorsqu’il y en a, ils sont suffisamment proches pour ne pas gêner la photo.

MAUTO

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Auriez-vous reconnu le premier modèle de Fiat 500, surnommé Topolino (le petit rat) ?

J’ai beaucoup aimé le petit tour dans une navette qui passe sur des rails, et nous fait voir des étapes de fabrication d’un Fiat 500. C’était ludique.

Bien-sûr, le musée se trouvant à Turin,  FIAT y a une place importante. Mais ne vous attendez pas à visiter un musée dédier à la fameuse marque. On nous parle aussi largement des autres ! La Citroën DS notamment, est souvent évoquée.

J’ai beaucoup aimé les casques individuels, sous lesquels nous pouvions nous glisser pour visionner des publicités de voitures, classées par époques. J’ai pu voir des pubs des années 2000, que j’avais oubliées, mais aussi des annonces bien plus anciennes, et très différentes de celles que l’on voit actuellement !

Le musée ne se visite pas, il se vit. C’est une expérience totalement immersive, puisque nous sommes plongés dans un autre univers. Les voitures sont au centre de la visite, bien-sûr, mais il y a tout le reste tout le décor, toute l’ambiance, qui est soigneusement organisé pour rendre l’expérience inoubliable…

MAUTO

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Je pourrais vous en parler encore et encore, mais cela n’égalerait pas une visite ! Alors si le thème vous intéresse, et sans pour autant être un mordu de voitures, je vous conseille vivement de prévoir une petite visite… Bien-sûr il faut se rendre à Turin, mais si l’occasion se présente, alors laissez-vous tenter. Le billet d’entrée ne coûte que 12 €, et vu la richesse des éléments exposés, c’est un prix bien dérisoire.

Nous avons passé plus de trois heures dans le musée, et le temps a filé à toute vitesse. En sortant, nous avions l’impression d’être arrivés à peine 30 minutes plus tôt !

MAUTO

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Pour plus d’infos, je vous invite à visiter le site officiel du Musée de l’Automobile de Turin : ici !

MAUTO

Quand Bologne monte dans les tours !

Je vous ai déjà parlé de Bologne, une fois, deux fois même ! Car nous avons effectivement visité cette ville une première fois, en 2016. Mais la capitale d’Emilie-Romagne nous avait surpris par sa taille, et par la foule de choses à visiter. Donc, nous y sommes retournés cette année, pour prendre le temps de mieux la découvrir.

C’est à vélo, avec des montures prêtées par notre hôtel, que nous avons arpenté Bologne, en long, en large et en travers.

Il faut savoir que le centre ville est fort plaisant en vélos, surtout durant les T-days, quand la circulation est interdite aux véhicules motorisés. Et comme nous étions là le 15 août, un jour férié, et bien nous avons profité d’un centre ville débarrassé des voitures !

Après avoir pédalé un peu au hasard, nous avons fait un arrêt au pied de l’une des nombreuses tours, la torre degli Asinelli, pour la visiter.

Cette tour, fait partie du couple des « due torri« , symbole de Bologne. La seconde est la tour Garisenda, et ne se visite pas.

Bologna

Bologna

 

Bologne, ses tours…

Bologne est truffée de tours, construites pour la plupart aux XII et XIII ème siècles, par de riches familles. On ignore exactement quel était leur rôle, mais il semblerait qu’elles étaient avant tout des instruments de prestiges, plus que des bâtiments défensifs. En gros, c’était à qui avait la plus haute tour… basique.

Il paraîtrait que la ville médiévale comptait jusqu’à 100 tours, dont la plupart a été démolie pour prévenir d’éventuels effondrements.

Certaines sources avancent le nombre de 180 tours, mais il semble excessif et certaines tours auraient été comptées deux fois, car elles avaient différentes appellations. Actuellement il reste une vingtaine de tours toujours debout. Celle dont je vous parle est la plus haute.

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Base de la tour Asinelli

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La torre degli Asinelli mesure 97,2 m de haut et est inclinée de 1,3°. Cela se voit à l’oeil nu, même si l’inclinaison ne vaut pas celle de la tour de Pise ! L’édifice a un plan carré, et l’on accède au sommet via un escalier en bois de 498 marches.

Dans la tour, il n’y a pas grand chose à part un escalier en bois. L’édifice est plutôt vide.

Finalement, le plus difficile n’est pas de grimper les quelques 500 marches, mais bien d’obtenir le billet d’entrée. J’exagère un tout petit peu. En fait, les billets ne sont pas vendus en bas de la tour. Il y a bien une boutique au rez de chaussée, mais ce n’est pas ici que vous trouverez les billets.

Ceux-ci s’achètent soit sur le site internet, soit à l’office de tourisme. Nous avons pris les vélos pour nous y rendre, mais après 20 minutes de poireautage et alors que le tableau affichait inlassablement T73 et que j’avais le ticket T75, nous avons laissé tombé et pris nos billets sur le net.

Comptez 5 € par adulte !

Bologna

Une fois détenteur du précieux sésame, il ne reste plus qu’à se diriger vers l’entrée de la tour, et attendre un départ groupé. Car nous montons tous ensemble à heure précise, restons quelques minutes au sommet, avant de redescendre, à nouveau en groupe.

L’ascension n’est pas forcément une partie de plaisir, car les marches sont parfois étroites, mais il n’y a rien d’infaisable. J’avais lancé mon chrono, par curiosité, et nous sommes arrivés en haut en 9 minutes ! N’imaginez pas que nous avons tenté d’aller le plus vite possible. Je vous rappelle que tout le monde montait en groupe, et il n’était guère possible de doubler.

Si besoin, il est possible de s’arrêter dans un coin et de se laisser doubler. Certains l’ont fait sans aucun souci.

Donc vraiment, cela reste une activité assez accessible !

Bologna

Bologna

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Une fois arrivés en haut de la tour, l’on peut bien-sûr admirer la ville. C’est même le but de la manœuvre je dirais !

Bologna

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On peut essayer de compter les autres tours… et chercher la tour jumelle, la tour Garisenda, bien plus petite…

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C’est bon ? Vous la voyez ?

Et puis vient le moment de redescendre…

Bologna

La visite nous a vraiment plu, et je la conseillerais vivement à quiconque visiterait Bologne. Attention toutefois, car une légende raconte que monter dans la tour degli Asinelli porterait malchance aux étudiants, qui louperaient ensuite leurs exams…