Avant, les pois chiches se trouvaient au rayon épicerie du monde, dans des boîtes sans ouverture faciles pour lesquelles il fallait retrouver son ouvre-boîte rouillé au fond des placards. On les cherchait dans les rayonnages du supermarché, quand on prévoyait de préparer un couscous, donc tous les 36 du mois.
Bon, il y avait bien quelques boîtes de marques de distributeur au rayon des conserves « classiques » mais seuls les habitués les voyaient, à côté des stars du rayon, que sont les haricots verts, et autres lentilles.
Mais cette époque est résolue. En 2018, le végétarisme est devenu TENDANCE. On ne devient pas forcément tous végétariens, faut pas déconner. Mais on opte pour le flexitarisme, un végétarisme « moins extrême » peut-on lire régulièrement (no comment), qui se résume par le fait de manger moins de produits carnés…
Je ne suis pas convaincue par la nécessité d’inventer un terme pour définir ce régime omnivore, mais je crois qu’une autre tendance de notre époque est aussi d’inventer des mots. Alors pourquoi pas !
Si le fait de diversifier son alimentation, et d’introduire plus de protéines végétales me semble être une excellente idée (merci de relire cette phrase lentement, avant de laisser un commentaire désagréable), pour nous, pour la planète, pour les animaux, j’ai plus de mal à cautionner l’apparition de certains produits étiquetés « végétariens » et donc, vendus plus chers.
Alors que la grosse boîte de pois chiches coûte à peine 76 centimes (captures d’écran issues du site Leclerc Drive), soit 1,43 € le kilos, on peut acheter la même chose, c’est à dire des pois chiches dans de l’eau salée pour… 7 € le kilo chez Bonduelle.
7 € le kilo. Vous avez bien lu.
Chacun achète bien ce qu’il veut, et les marques seraient bien bêtes de se priver d’en profiter, puisqu’il y a visiblement des acheteurs pour ces pois chiches tendance. Mais que l’on ne vienne pas me dire que le végétarisme est cher. Merci 🙂
N.B. : J’aurais pu faire le même article sur les haricots rouges. Mais j’avais envie de pois chiches aujourd’hui.
C’est sur que les marques seraient bêtes de ne pas augmenter les prix vu que des gens achètent 😉 je les achète en vrac c’est encore moins cher et sans déchet 😉
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En vrac et secs du coup ? J’en ai aussi comme ça, mais cela demande de s’organiser pour les réhydrater suffisamment à l’avance. Du coup je préfère les grosses conserves de 500 g. Après, je mets le reste dans une boîte et ça se garde au frigo sans aucun souci. 🙂
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oui il faut s’organiser c’est sur 🙂 mais de toute façon, le 0 déchet demande une grosse organisation en terme de courses et d’anticipation dans cela ne me gène pas 🙂 bisou
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J’aime beaucoup ton billet d’humeur, vraiment beaucoup!!!! Bon we
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C’est vrai ? Merci 😉 Merci beaucoup et bon weekend à toi aussi. ♥
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J’ai la chance d’habiter au Texas où la cuisine Tex-Mex est reine. On trouve tous les haricots que l’on veut et bien sur les « garbanzo beans » alias pois chiches. Quand je les achète en vrac, je les cuis dans mon crock-pot pendant la nuit, j’utilise ce qu’il me faut le jour même et je congèle le reste pour une, ou deux autres fois. Ils sont tellement meilleurs que ceux en boite!
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Coucou! Les pois-chiches, c’est bien bon! Je prends le temps de les redécouvrir et j’aime! Il faut d’ailleurs que je teste la recette de pois-chiches soufflés aux épices 😀 Pour les légumineuses en conserves, je prends la marque distributeur étant donné que c’est le même produit donc, bon, pourquoi payer aussi cher des simples pois-chiches?
Vive les protéines végétales!
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Absolument. Il faut juste regarder l’étiquette, car parfois on en trouve qui contiennent des arômes plus ou moins clairs. Dans les haricots rouges, flageolets, lentilles, on peut aussi avoir des la graisse animale.
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