J’ai testé, la pressotherapie

Au moment des fêtes de fin d’année, ma salle de sport avait organisé un méga jeu concours, avec tous ses partenaires, pour permettre à un adhérent de remporter une foule de cadeaux. Il s’agissait d’une vitrine complète de lots, dont nous devions estimer le montant. Le gagnant de la vitrine, serait celui qui aurait approché la somme totale, au plus près. Et ce fut… mon chéri !

C’est ainsi que j’ai pu bénéficier de trois bons cadeaux pour des séances dans un institut de beauté de Besançon : UNIVERS MINCEUR. Ne vous fiez pas au nom de l’institut, il ne propose pas que des soins pour retrouver ou garder la ligne. A l’Univers Minceur, vous pouvez aussi bénéficier de massages relaxants et de soins de récupération sportive !

Pour moi qui pratique assidûment la musculation, c’est tentant ! 

Lors de ma première visite, j’ai voulu tester la pressothérapie.

En effet, j’ai souvent les jambes courbatues, ou plus globalement fatiguées par mes séances. J’alterne les séances bras / épaules et jambes, mais je ne me laisse jamais de période de repos total… peux-être devrais-je. En tout cas, il arrive que j’aie les jambes vraiment fatiguées, pas lourdes, mais juste fatiguées musculairement parlant. La pressothérapie semblait tout à fait indiquée pour m’aider à récupérer !

Il s’agit de deux grosses bottes dans lesquelles l’on vient sangler les jambes complètes. Il est conseillé de prévoir sa séance de pressothérapie juste après la séance de sport, pour bénéficier au mieux de l’effet récupération ! Alors j’ai calé ma séance de jambes à la salle de sport juste avant mon rendez-vous, et j’ai chargé la barre à squats au max !

L’accueil à l’Univers Minceur est vraiment excellent. Pour moi qui ne suis pas du tout une habituée des centres de beauté, il y avait un peu de stress en poussant la porte. C’est un peu stupide, mais c’est ainsi, je n’ai pas vraiment l’habitude d’aller en institut, et si je me fais masser, c’est toujours par la même personne, une réflexologue que je connais depuis longtemps maintenant. Donc entrer dans un institut, et m’en remettre à des mains inconnues était un peu stressant.

Mais très vite j’ai été mise à l’aise. On m’a expliqué comment allait se dérouler la séance, et quels seraient les bénéfices. Je me suis installée dans les bottes, confortablement allongée derrière un paravent. Et j’ai laissé faire !

On annonce que 45 mn de pressothérapie sont l’équivalent de 12 h de repos ! Quand on sait que le repos est ultra important dans le sport, et que c’est pendant cette phase bien souvent sous-estimée que se fait la croissance musculaire, ça donne envie !

Les bottes sont assez confortables. Je ne me suis pas du tout sentie prisonnière, comme je le craignais un peu avant la séance. Au contraire, j’ai trouvé que les pressions étaient assez légères. D’ailleurs, j’avais la crainte que cela manque d’effet sur moi, qui suis habituée à me masser assez dynamiquement, avec mon rouleau d’au-tomassage par exemple !

La pressothérapie permet de désengorger les muscles après l’effort, d’activer le retour veineux, de favoriser le drainage lymphatique. Elle aide à mieux récupérer, à réduire les contractures, et à limiter les risques de blessures. Beau programme non ?

Effet collatéraux toujours bons à prendre, elle a une action positive sur l’amincissement et contre la cellulite.

Les 45 mn sont passées rapidement car j’avais mon téléphone avec moi, et ai lu un livre sur mon appli Kindle ! Je sentais le massage, plutôt agréable, comme si les bottes se gonflaient par endroit, dégonflaient, regonflaient à un autre endroit.

Ensuite je suis rentrée chez moi, et j’ai constaté que mes jambes étaient moins lourdes que d’habitude, pour avoir fait ma séance le jour-même. Mais c’est surtout le lendemain et le surlendemain que le changement a été flagrant pour moi. Je n’ai eu aucune courbature, aucune sensation de jambe encore toute contractée. C’était vraiment plaisant !

La séance jambe qui a suivi la pressothérapie a été vraiment excellente. Je sentais mes jambes toutes reposées, comme si j’avais de nouvelles gambettes ! Je n’ai pas chargé le double au squat, non non. Mais j’ai fait une bonne séance, avec un bon ressenti !

La pressothérapie m’a donc totalement convaincue, et j’ai décidé d’en refaire régulièrement. Mais le confinement est arrivé, et la suite vous la connaissez… Qu’à cela ne tienne, une fois déconfinés j’ai repris rendez-vous, car je n’ai pas cessé mes entraînements pendant le covid !

Et là, à nouveau, j’ai senti les bienfaits de la séance. Des jambes reposées, beaucoup moins tendues que d’habitude après l’entrainement. Un vrai bonheur !

20 € les 45 minutes, je trouve que le tarif est correct, et pense m’offrir ce petit plaisir de temps en temps. Après tout, il faut bien s’auto-récompenser parfois, non ? 😉

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Les rondeurs de Miss France

Selon Sylvie Tellier, présidente du comité Miss France, la nouvelle Miss France « a des rondeurs » et « les assume ». Quand j’ai entendu cela, j’ai eu envie d’insulter mon écran en poussant des cris de marcassin. Groui groui, mais elle le voit où les rondeurs ?!

A la place, j’ai pris mon clavier et je me suis lancée dans la rédaction du billet que vous êtes en train de lire.

https://www.instagram.com/p/BqfMc6HArw8/

Certes Miss Tahiti, fraîchement devenue Miss France 2019, n’était pas la plus mince des candidates. Mais de là à parler de rondeurs, il y a un fossé, que Sylvie Tellier a franchi allègrement.

Miss Normandie (ci-dessus) correspondait probablement plus au physique « classique » de Miss France version TF1 ?

Vaimalama, affiche des mensurations de rêve, qui restent nettement en dessous la moyenne nationale, et correspondent à mon sens totalement à la définition de la minceur. Faudrait-il que l’on voit l’intégralité de ses côtes pour que la Présidente du comité Miss France la juge mince ?

https://www.instagram.com/p/Bju1d5bhgmD/

Pas question de critiquer les candidates les plus minces. Il y a différentes morphologies, et certaines personnes sont naturellement très très minces. Que l’on trouve cela joli ou non n’a pas lieu à donner un débat. Mais imposer ces physiques très minces comme un modèle de normalité dans les concours de Miss me rend assez triste.

Cela me fait penser aux régimes des mannequins Victoria’s Secret, pour le côté corps très minces, érigés en modèles quasi-inaccessibles. Il se raconte que ces femmes ne mangent que des aliments liquides dans les semaines qui précèdent le show, et font deux séances de sport par jour. Un modèle difficile à suivre pour le commun des mortels (et intenable sur la durée)… qui leur donne leurs corps incroyables le temps d’un défilé… corps qui restent superbe hors période de défilé, bien-entendu, mais que l’on met moins en lumière. Mais je m’éloigne du sujet !

La blonde Sylvie Tellier poursuit en se réjouissant du fait que « après le corps sylphide de Maëva on a les rondeurs de Vaimalama ». Non mais… quelqu’un voudrait bien lui demander de se taire ?! Quel message est-elle en train de passer aux personnes qui l’écoutent ?

Pardonnez mon agacement (probablement bien perceptible dans ces quelques lignes) mais à prendre des corps maigres (oui, maigres) comme base de la normalité, on finit pas juger « gros » donc anormaux, des corps minces. Et là on entre sur un terrain dangereux. Tout le monde n’a pas la capacité à être très mince / maigre sans mettre sa santé en jeu, et un discours comme celui tenu par Sylvie Tellier devient dangereux. Il le devient d’autant plus que de nombreuses jeunes filles suivent les Miss et fantasment de le devenir un jour !

https://www.instagram.com/p/BrGAwDanO56/

On pense ce que l’on veut du concours de Miss France en lui-même. Beaucoup le jugent rétrograde, peu flatteur pour la femme, … Bof, personnellement je pense que les candidates y participent de leur plein gré, et que cela peut leur ouvrir pas mal de portes. En revanche, je suis écœurée de lire que Vaimalama Chaves a des rondeurs. Quand certains avancent que le concours a pris un nouveau tournant en élisant une ancienne ronde, je réponds que non, le concours aura évolué quand il mettra sur le podium une femme qui ne rentre pas dans un 34-36.

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Lauralyne est dans magazine 😍

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A vos commentaires !

J’ai testé… la reflexologie plantaire !

On m’en avait dit le plus grand bien, et j’étais curieuse de tester à mon tour… J’ai mis des mois avant de fixer une date avec la Réfléxologue… et finalement j’ai découvert cette pratique issue de la médecine chinoise, qui place le pied au centre des attentions.

La Réfléxologue m’a accueillie et faite installer en position quasi-allongée. J’ai juste retiré mes bottines et mes chaussettes, logique ! Elle m’a expliqué comment chaque zone du pied correspondait à une autre zone de notre corps : le haut de notre corps, la tête, les sinus, la gorge dans nos orteils ; les poumons un peu plus bas au centre ; la colonne vertébrale sur la tranche interne…

Comme je ne vais pas te poster une photo de mes petons tous nus, il faudra te contenter d’une image de mes baskets… Crois-moi, cela vaut mieux pour nous tous ! #PiedsDeHobbit :-p

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Mes nouvelles #baskets 😁 #gym

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Je m’attendais à recevoir un massage relaxant. Et finalement la séance a été tout à fait différente. La praticienne m’a effectivement massé les pieds, mais elle a aussi et surtout fait des observations sur ce qu’elle ressentait en massant telle ou telle zone.

D’entrée de jeu, par la forme de mon pied, elle m’a demandé si j’avais conscience d’intérioriser énormément mes émotions. Elle a ensuite vu que j’avais probablement des maux au niveau de la tête, des yeux. J’étais tout ouïe !

On attire ce que l’on vibre.

Nous avons parlé de développement personnel, d’émotions, d’image de soi. Je pense que la séance peut être très différente d’une personne à l’autre, selon si l’on est ou non réceptif à différentes thématiques. En tout cas, pour moi qui ne sont pas trop fermée par rapport aux médecines douces, c’était fort intéressant !

La séance a duré un peu plus d’une heure, et je n’ai pas vu le temps passer. Moi qui ai pourtant du mal à lâcher prise et à me sentir en confiance ; moi qui parle assez peu des vrais sujets, je me suis mise à papoter comme si j’étais en train de boire le thé avec un amie de très longue date.

Je suis ressortie de la séance détendue et souriante, avec une seule pensée en tête : REVENIR ! Et je reviendrai, ça c’est certain !

Pour toutes les infos utiles et pratiques, c’est par ici ! https://www.slimabeaute.net/ (cliquez sur le lien « réflexologie » !).

Et vous, avez-vous déjà confié vos petits (ou grands) pieds à un Réflexologue ? Dites-moi tout en commentaires ! 

 

J’ai testé (et adopté) le henné

Après des années et des années passées à me colorer et décolorer les cheveux, j’ai eu envie de revenir au naturel. Mon châtain moyen n’avait rien de sublime. Mais il n’était pas non-plus laid. Sauf que, c’est justement quand j’ai décidé de l’assumer, et même de l’aimer, qu’il a commencé à ficher le camp, avec l’apparition de… horreur, stupeur, malheur… cheveux blancs ! Mais chut, c’est un secret ! (Si vous répétez quoi que ce soit, je serai obligée de vous faire disparaître, et cela me contrarierait).

Je peux vous dire que cela fiche un sacré coup au moral, quand à l’âge de 27 ans, vous croisez un premier cheveu très très clair… Vous l’analysez à vous en faire mal aux yeux, en vous demandant « mais il est blond ou blanc ?? »… Et puis, quand quelques jours plus tard vous en trouvez un deuxième… puis un troisième… le doute n’est plus vraiment possible.

Il y a des femmes qui assument très bien leurs cheveux blancs. Je n’en suis pas.

Alors j’ai immédiatement repris les colorations, chimiques d’abord, avant de me décider pour une solution plus naturelle, et plus respectueuse de ma chevelure (et aussi largement plus économique) : le henné !

Qu’est-ce que le henné pour commencer ?

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#chocolat ? Non #henné ! 😋

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Le henné est une poudre issue d’une plante, ou plutôt de ses feuilles, que l’on a séché. La plante en question s’appelle Lawsonia inermis. Depuis des millénaires, on utilise le henné pour teindre naturellement les cheveux mais aussi la peau. Vous avez probablement déjà vu les tatouages des temporaires réalisés à partir du henné, notamment sur les mains et avant-bras ?

On a pas mal parlé du henné noir, qui était à la mode fut un temps pour les tatouages réalisés notamment sur certaines foires. Celui-ci est issu d’une plante différente, et son usage est déconseillé en raison d’un fort risque d’allergies.

Enfin, parlons du henné neutre, qui n’est pas réellement un henné, puisque lui aussi provient d’une plante bien spécifique.

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Se valent-ils tous ?

Clairement : NON.

Si vous souhaitez utiliser le henné pour vos cheveux, veillez à le choisir pur, et à éviter les poudres qui contiennent des additifs plus ou moins recommandables. Parfois on trouve des hennés mélangés avec d’autres ingrédients naturels, qui permettent de nuancer la couleur. Mais on peut aussi trouver du gros n’importe quoi, qui peut abîmer vos cheveux et ne pas être très sain… Une seule solution, chercher la liste des ingrédients, et la lire, tout simplement !

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Comment procéder ?

Préparer le henné est très facile et rapide. Il suffit de verser la poudre dans un bol, et d’ajouter de l’eau tiède, tout en remuant jusqu’à obtenir une pâte. Évitez les accessoires métalliques (pour le bol, la cuillère, et retirez vos bijoux).

Petite astuce : si vous préparez votre mélange 30 minutes à une heure avant de procéder à l’application, vous permettrez aux pigments de se développer, et obtiendrez une couleur plus intense !

Protégez bien vos vêtements, et l’endroit où vous allez appliquer votre henné, car cela tâche ! Donc prévoyez les gants, à moins d’aimer avoir les mains oranges pendant une bonne semaine !!

Ensuite, il suffit de répartir la pâte sur la chevelure, comme vous le feriez avec une coloration chimique. Procédez mèche par mèche, pour bien imprégner toute la chevelure. Et déposez des couches épaisses. Puis, une fois que tous les cheveux sont recouverts, enroulez votre tête dans un film plastique… Oh oui, vous êtes absolument sublime !

Inconvénient numéro 1 du henné : le temps de pause est long.

Selon le résultat souhaité, il va falloir patienter… En général, on conseille d’attendre entre 30 minutes et 2 heures. De mon côté, je laisse 2 heures complètes, car je mélange mon henné auburn avec d’autres poudres (du brou de noix notamment) pour le rendre plus brun que rouge. Et j’obtiens un joli rouge profond, absolument pas orange.

Mais l’idéal si vous débutez, est de faire déjà un essai avec un temps de pause de 30 minutes à une heure, quitte à recommencer par la suite pour accentuer l’effet.

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Inconvénient numéro 2 du henné : cela pue.

Tout le monde ne sera pas forcément d’accord, mais moi je trouve que pendant la semaine qui suit l’application, tant que l’on n’a pas lavé les cheveux deux ou trois fois, cela sent fort. Mais bon, les colorations chimiques ne sentent pas non-plus la rose !

 

*

Dernières recommandations… évitez le henné sur des cheveux déjà colorés chimiquement. Si votre dernière coloration a moins de deux mois, vous risqueriez d’obtenir une couleur peu uniforme, voire des reflets verdâtres.

Idem si vos cheveux sont permanentés ou très abîmés. Sur cheveux vraiment très abîmés, le henné ne prendra pas uniformément. A vous les racines oranges et les longueurs naturelles ! A moins de raffoler du tie dye, oubliez !

Et enfin, même si je l’ai déjà écrit plus haut, protégez tout ce qui pourrait entrer en contact avec la mixture, car cela tâche diaboliquement !

*

Le henné, j’ai mis longtemps à l’adopter, car j’avais peur qu’il me donne une chevelure orange comme une carotte. J’avais pleins d’a priori, et pas forcément l’envie de rester 3 heures avec la tête emballée dans du cellophane. Et puis finalement, j’ai testé et le résultat m’a fait oublier les quelques contraintes…

Pourquoi ? Parce-que cette coloration naturelle m’a permis de retrouver une chevelure en pleine santé, brillante, souple, douce. La fibre capillaire étant gainée, on gagne en volume, ce qui est intéressant quand on a les cheveux fins, comme moi !

Ensuite, j’aime m’amuser à mélanger du henné avec d’autres poudres naturelles, pour varier les teintes et changer les nuances selon mes envies du moment. Et puis dernier point, le henné est bien plus économique que les colorations chimiques… ce n’est pas négligeable !

Le henné n’est pas super contraignant. Je peux l’appliquer toutes les 3-4 semaines si je souhaite être toujours nickel ; ne le laisser que trente minutes si je suis pressée, juste pour raviver les reflets. Je peux varier les teintes de façon subtiles, changer selon mes envies…

Et vous, avez-vous déjà testé ? Quel est votre avis sur le henné ? Dites-moi tout en commentaires !

 

 

 

Les thermes de Baden-Baden

Les thermes de Caracalla sont des thermes impériaux romains, construits en 216 et baptisés selon le nom de l’empereur d’alors. Les ruines encore visibles actuellement à Rome, témoignent de l’aspect colossal de ces bains, qui étaient à l’époque les plus grands et plus luxueux jamais construits.

Voilà pourquoi les thermes de Baden-Baden ont repris le nom de Caracalla… et ils ont bien fait d’oser, car en effet ces thermes allemands sont une pure merveille…

Il y a plus de 2000 ans, les romains avaient déjà découvert les vertus des sources thermales de la région. Désormais, ces bienfaits sont rendus accessibles à la populasse que nous sommes, à partir de 15 euros par personne !

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Thermes de Caracalla

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Depuis Besançon il faut compter environ 3 heures de route, pour rejoindre Baden-Baden. C’est long, mais cela en vaut la peine.

Les tarifs des thermes varient selon la durée choisie, et si vous souhaitez ou non accéder à l’espace sauna, qui a la particularité d’être réservée aux naturistes. Ils débutent à 15 € pour 1,5 heure sans sauna.

Lorsque vous arrivez à l’entrée des thermes, vous acquittez vos droits d’entrée, et vous voyez remettre un bracelet magnétique, qui vous permet d’utiliser les casiers, et d’acheter d’éventuels services supplémentaires (séance d’UV, petite restauration etc).

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Les thermes sont en partie couverts, avec un grand bassin central, dans lequel sont installés des fontaines et jets d’hydromassages. Sur les côtés, des transats sont à disposition, dont certains surmontés de lampes de luminothérapie.

On trouve aussi un bain froid (18°C) et un chaud (environ 40°C), un hammam et des cabines UV accessibles avec un supplément.

Pour les plus motivés, une salle de fitness est également à disposition, mais il faut là-aussi payer en plus.

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#BadenBaden

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La partie extérieure est aussi intéressante, avec un bassin avec courant, des sièges hydromassants, des jacuzzi, et là encore des transats.

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#Thermes de Caracalla à #BadenBaden #relax

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Tout est fait pour que les visiteurs puissent se détendre et profiter des bienfaits de l’eau thermale en toute quiétude. Comme j’ai visité les thermes un jour de semaine, l’affluence était réduite, comparée à celle que l’on aurait pu constater un week-end. Mais malgré tout j’ai été surprise par le calme, et le respect des consignes ! Dans le hammam, les gens chuchotaient. C’était réellement appréciable.
La décoration est vraiment soignée, et m’a beaucoup plu. On est loin des hammams tous carrelés de blancs, qui rappellent la déco des piscines municipales !

Enfin, sachez qu’il y a la possibilité de se restaurer sur place, avec de la petite restauration rapides, des pâtes, des sandwichs et mêmes des options végétariennes.

En espérant que cet article vous aura plu… je vous dis à très bientôt !

Coup de foudre – Manucurist

Il y avait fort longtemps que je ne vous avais pas parlé de solvants et cela me manquait un peu. Il faut dire que le vernis pour moi, c’est un petit plaisir auquel je succombe régulièrement et sans faire preuve d’une résistance bien grande. Rien (ou presque) ne me fait plus plaisir que d’acheter ou de recevoir un nouveau flacon, et de m’en tartiner les extrémités.

Et justement, j’ai eu la chance de gagner un concours Instragram et de recevoir trois flacons de la marque Manucurist, réunis dans un charmant coffret cartonné intitulé Basics M… Le coffret est super élégant, et fleure bon la qualité. A 36,00 € vous me direz « il peut le bougre ! ».

Manucurist est une marque française, qui propose des produits formulés et fabriqués en France.

A l’intérieur du coffret, on trouve une BASE, un flacon de vernis ROUGE n°3 CINABRE, et un top coat FINITION TOTALE.

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Cinabre késakouakess ? Je n’avais jamais croisé ce terme, et ai donc fureté sur le net pour en savoir plus. Ainsi j’ai appris que cela désignait un rouge orangé, extrait d’une pierre du même nom. Toxique, le pigment n’est plus utilisé, mais on peut l’admirer dans certaines fresques romaines, notamment à Pompéi. Et voilà comment vous aurez (probablement) appris quelque chose en lisant un billet sur un vernis à ongles. Merci qui ?

*

Bon, revenons à nos cuticules et voyons ce que valent les produits Manucurist !

Manucuritst nous promet des produits « éco-responsables, garantis sans ingrédients toxiques comme le formaldéhyde, le camphre, le toluène ou le DBP ».

Ils sont fabriqués en France. Je l’ai déjà écrit.

 

Qu’en est-il des compositions ?

Ces vernis ne sont pas des vernis à l’eau. Ils restent formulés à base de solvants. Mais il faut savoir ce que l’on veut. En effet, les vernis à l’eau, quasiment inodores, ont bien des avantages, mais surtout un inconvénient majeur à mon sens… il leur faut des heures de consolidation avant de pouvoir rencontrer un liquide. Sinon, ils se font la malle.

Les vernis Manucurist sont 7-Free (et on dit « seven free » et pas « sept fri » hein) : sans FORMALDÉHYDE, sans TOLUÈNE, sans DBP, ni CAMPHRE, ni XYLÈNE, ni FORMALDÉHYDE RÉSINE et enfin, sans COLOPHANE. Ce sont des ingrédients mauvais pour les voies respiratoires, ou plus globalement, pour notre santé !

Ils sentent très peu. Je ne me rue pas sur la fenêtre pour aérer après avoir fait ma manucure. C’est appréciable.

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Je ne m'en lasse pas… #vernis @manucurist

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Honnêtement, j’ai été bluffée par les vernis Manucurist. Bon, il ne faut pas zapper que le flacon vaut 12 €, et qu’avec sa base et son top coat, on en a pour 36 €, donc on est en droit d’attendre un bon résultat. Heureusement, celui-ci est au rendez-vous.

L’application est facile, avec des pinceaux corrects (moi mon dada c’est la langue de chat, et ici on a un pinceau tout droit… ça me va.), et une texture pratique à étaler sans faire de traces. Au moment de poser le top coat, et bien que j’ai fait cela le lendemain de la pose du vernis coloré, le pinceau récupère des pigments rouges… mais cela n’abîme en rien la manucure. On se retrouve juste avec un pinceau de top coat rougi.

Le vernis rouge seul, sans top coat, est déjà fort joli, brillant, opaque et homogène. Avec le top coat, il devient laqué. Et surtout il acquière une résistance (presque) à toutes épreuves.

Je suis totalement séduite et ravie d’avoir ces produits dans ma vernithèque… et devrais vous en reparler prochainement…

Et vous, vous avez déjà testé (et adopté) Manucurist ? 🙂

Un déo made in France

Hi Everyone! Aujourd’hui je vous retrouve pour parler beauté, ou plutôt hygiène… C’est assez rare, mais quand je tombe sur un produit qui m’apporte entière satisfaction, j’aime vous le présenter. Et là, et bien c’est le cas.

N.B. : Cet article n’est nullement sponsorisé. Mon enthousiasme excessif est juste dans ma nature.^^

*

Je prête une attention particulière au choix de mes produits de beauté et d’hygiène. Je souhaite qu’ils soient autant que possible, respectueux de ma santé, et éthiques. Entendez par là que les silicones, sulfates et autres dérivés d’huile de palme ne sont pas les bienvenus dans ma salle de bain, et que je me méfie des marques qui ont potentiellement des pratiques douteuses en matière de tests sur les animaux.

S’il y a bien un produit pour lequel je suis intraitable, c’est le déodorant. Pourquoi ? Car on l’applique sous les bras, dans une zone souvent humide, soumise aux frottements, et voisine de la poitrine. Et alors ? Et bien appliquer des ingrédients dangereux à cet endroit, est tout bonnement non-négociable !

Et pourtant, il faut bien utiliser un déodorant, surtout quand on fait du sport, ce qui est mon cas. Transpirer n’a rien de sale, mais il faut reconnaître ce qui est, parfois cela sent mauvais, et personnellement je ne suis pas pour le fait d’assumer totalement mes odeurs corporelles.^^

Du coup, j’ai testé une foule de déos, dont la plupart m’a abandonnée lâchement… Heureusement, j’ai fini par trouver quelques produits qui sortaient de la masse… notamment celui-ci :

Déodorant naturel Le Sucré – Clémence et Vivien

C’est grâce à une offre spéciale sur le site Azaé Pur, que je me suis lancée. Les frais de port étaient offerts sans minimum d’achat. Sympa, non ?

Chez Clémence et Vivien on a le choix entre 4 déos, tous présentés en petits pots en verre, sous forme de crème :

*le sucré

*le poudré

*l’herbacé

*le fleuri

Le poudré n’était plus en stock le jour de ma commande, donc je me suis rabattue sur le sucré, qui est à base d’ylang-ylang !

Son prix ? 7,90 € les 50 g. OK ce n’est pas donné, mais d’expérience, je sais que les déos crèmes durent plusieurs mois. Et puis mince, la qualité a un prix, qu’il faut parfois savoir payer.

*

Il y a quoi dedans ?

butyrospermum parkii (karité)*, zhea corn starch (amidon de maïs)*, helianthus annuus seed oil (huile de tournesol)*, sodium bicarbonate (bicarbonate de sodium)*, prunus armeniaca kernel oil (huile d’abricot)*, cananga odorata flower (ylang-ylang) oil, salvia sclarea (sauge) oil, cedrus atlantica (cèdre de l’Atlas) oil, tocopherols (vitamine E), benzyl benzoate**, farnesol**, linalool**, limonene**,  géraniol**.

* produit issu de l’Agriculture Biologique

** naturellement présent dans les huiles essentielles

*

Que du naturel… Vous pouvez lire et relire la liste… moi je ne vois rien de synthétique. Attention cependant pour les peaux les plus sensibles, les huiles essentielles ont beau être naturelles, elles peuvent aussi causer des réactions allergiques.

Le seul petit hic, c’est que le pot ne contient que le déo, et aucune spatule n’est fournie pour le prélever et l’appliquer sur la peau. J’ai récupéré la spatule de mon ancien déo, car j’utilisais un autre produit en pot avant celui-ci. Mais sans cela je pense que j’aurais pris une touillette de café, ou un équivalent, car prélever le déo du bout du doigt n’est pas forcément pratique.

Il suffit d’un peu de produit, de la taille d’un petit pois. On étale sur la peau sèche, après la toilette, et hop, on peut immédiatement s’habiller et vaquer à ses occupations !

*

Efficace ?

Il a fait bien bien chaud ces derniers temps chez moi, et malgré tout, je n’ai pas eu à déplorer de lâchage de la part de mon déo. Au contraire, s’il n’empêche pas totalement de transpirer, il régule la sueur (pas d’auréole visible sur les fringues) et empêche totalement la formation de mauvaises odeurs, et ce même après une bonne séance de sport, sans avoir eu à remettre du produit juste avant.

Il sent bon dans le pot, mais une fois sur la peau, je ne le sens plus. J’ai donc proposé à l’homme de le tester, sans craindre de sentir la fleur ! Et il a validé aussi l’efficacité !

Je suis donc ravie, et ne peux que recommander ce produit !

En prime, il est made in France, à côté de la Rochelle. 🙂

Pour l’ajouter à ton panier, tu peux cliquer !

Anny on my nails [Vernis]

Le vernis c’est la vie. D’ailleurs, si on veut, on peut dire que cela rime (presque) et que ce n’est certainement pas un hasard.

Sur ce, oubliez cette intro moisie, et regardez un peu ce joli gris métal de chez Anny ! Je l’ai trouvé en soldes chez Nocibé (-70 %, ça c’est de la promo comme j’aime). Le prix « normal » était de 10,50 € pour un flacon d’une contenance de 15 ml.

Le flacon, parlons-en brièvement, il est carré, super épais, sobre, mastoc.

Mon choix s’est porté sur la référence 353.40 baptisée Come Closer (Viens plus près).

 

Qui c’est cette Anny ?

Anny est une marque allemande, qui en dit peu sur ses origines. J’ai mis un certain temps à trouver l’adresse physique du siège social, dont j’ai déduit la nationalité de la marque.

Elle propose une gamme d’un peu plus de 100 couleurs, qui se renouvelle partiellement de façon très régulière (on annonce de nouvelles teintes toutes les 6 à 8 semaines !) pour coller aux dernières tendances.

Anny indique ne pas effectuer de tests de ses produits sur les animaux, et nous renvoie avec un * à une note qui rappelle que différentes lois ont banni les tests de cosmétiques sur les animaux. A sa connaissance, la marque n’est nullement impliquée dans les test in vivo…

Je n’ai pas pu trouver la composition INCI sur le flacon de mon vernis. J’ai eu autant de succès sur le net. Je serai donc bien incapable de vous dire si l’on trouve des cochonneries dans le flacon… Ma conclusion serait donc la suivante : la marque ne se vante pas particulièrement de proposer des vernis clean. Vous voilà prévenus…

Côté application, le vernis a une texture particulière, qui m’a beaucoup plu. Il a un côté un peu visqueux, un peu jelly, qui le rend super agréable à étaler sur l’ongle. Et surtout, son fini est totalement brillant, même sans top coat.

Une seule couche ne suffit pas pour un rendu opaque et homogène, mais après avoir appliqué la seconde, on obtient de jolis ongles métallisés et brillants.

Côté tenue, on est dans la norme. Tout dépend de l’usage que vous faites de vos dix doigts !

Je ne mettrais pas 10,50 € dans un flacon hors promo, mais en soldes, je trouve que j’ai fait une belle affaire… Et vous, qu’en dites-vous ? Vous aimez la teinte que j’ai choisie ? Vous connaissez déjà la marque Anny ? 🙂

 

Des miss heureuses

Les élections de miss, qu’elles soient nationales ou internationales (mêmes parfois régionales), ont toujours été l’occasion de faire apparaître des scandales plus ou moins retentissants. On se souvient parfois de certains d’entre eux, comme lorsque notre Miss France 2001, Elodie Gossuin avait été « accusée » d’être un homme au concours de Miss Univers, ou encore les nombreuses fois où des miss régionales ont été éliminées du concours Miss France pour avoir pris la pose plus ou moins dévêtues. On se rappelle de Valérie Bègues et du scandale du lait concentré (la miss avait posé pour la marque Pardon, en train de lécher du lait en poudre, entre autres).

Cette année encore, des rumeurs courent autour de la fraîchement élue Miss Univers 2017, qui se trouve être notre Miss France 2016. La belle Iris serait selon certains « observateurs » malveillants… lesbienne. Nul besoin de perdre du temps à méditer sur ces rumeurs, qui quand bien même elles s’avéreraient vraies, ne remettraient nullement en question la légitimité du titre décroché par la reine de beauté.

Les scandales et critiques entourant les élections de miss ont toujours existé et existeront probablement toujours. Mais dernièrement, ils ont pris une nouvelle forme, celle de la critique sur le poids des candidates. En anglais le phénomène porte un nom : body shaming, et englobe tout ce qui consiste à attaquer une personne au sujet de son poids, qu’il soit jugé excessif, ou au contraire, insuffisant. (Traiter une personne de « sac d’os » est tout aussi péjoratif que de l’accuser d’être une « grosse vache »).

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En réalité ce n’est pas une grosse nouveauté, puisqu’en 1997 déjà, Miss Univers avait été publiquement humiliée par le propriétaire d’alors de ce concours : Donald Trump. Son nom vous dit quelque chose ?

Le milliardaire avait jugé bon de surnommer Alicia Machado « Miss Piggy » (miss cochonne) en référence à son léger embonpoint. Un poil rancunière (qui ne le serait pas à sa place ?), la miss avait ressorti les vieux dossiers pendant la campagne présidentielle…

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Plus récemment, lors du concours Miss Grand International 2016, c’est Miss Islande qui a claqué la porte, après s’être vu reproché d’avoir grossi depuis son élection. La miss avait pourtant de sérieux atouts, et était loin d’être en surpoids. La photo s’impose…

https://www.instagram.com/p/BLrOHwRjQLc/?taken-by=arnayr

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La belle blonde aurait reçu de « précieux » conseils de la part de l’organisation du concours, qu’elle a rapporté à un journal islandais : «Ne mange plus de petit-déjeuner, ne mange qu’une salade au déjeuner et ne boit plus que de l’eau jusqu’au soir de la finale».

On notera au passage que ces conseils sont totalement stupides, puisque quiconque ne mange que de la salade verte (16 kcal les 100 grammes rappelons-le) sans sauce finit fatalement par mourir à un âge prématuré, et que mourir même en étant Miss n’est pas quelque chose de positif.

Ces conseils justement, la jeune femme les a mis au placard, et a répondu à ceux qui les proféraient, par une lettre que vous pourrez voir ci-dessous, publiée sur son compte Instagram.

Elle y explique que puisque les membres de l’organisation du concours la jugent trop grosse, et lui trouve des épaules trop volumineuses, elle décide de quitter la compétition. Le concours ne mérite ni son visage, ni son corps, ni sa personnalité, ni son cœur ! Et toc !

https://www.instagram.com/p/BL9nv-2jevV/?taken-by=arnayr

« J’espère sincèrement que votre organisation ouvrira les yeux, car nous sommes en 2016 et puisque vous êtes responsables d’un concours de beauté international, il serait bon d’être en mesure de voir la beauté internationale ! »

Du coup Arna Jonsdottir est repartie de Las Vegas sans couronne, et sans même avoir concouru. Et c’est Miss Indonésie (très jolie également) qui a remporté la couronne bizarroïde.

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Au concours de Miss Univers, c’est Miss Canada, qui a été malmenée à cause de son poids, car la belle avait eu la mauvaise idée de s’empâter un peu depuis son élection.

Sur les réseaux sociaux, des internautes comme vous et moi s’en donnaient à cœur joie… Des détracteurs se sont même « amusés » à retoucher des photos de la candidate, pour la rendre plus grosse et se moquer de son image !

La jolie brune de 23 ans aurait pu se mettre au sport intensif et se nourrir uniquement de céleris qu’elle aurait ensuite vomi au dessus des toilettes. Mais, elle a choisi une autre réaction… qui à mon sens est beaucoup plus sage et saine…

Elle a continué à poster des photos d’elle sur son compte Instagram, accompagnées d’une réponse posée et argumentée…

« I am secure and that’s what makes me beautiful. »

Comprenez, « je suis sûre de moi et c’est ce qui me rend belle. » Et elle a bien raison, car elle est en effet superbe ! D’ailleurs, la candidate a fini dans le top 9 de miss Univers, sur plus de 80 prétendantes… Et toc !

« When you call me lazy, fat, and mediocre, what are you saying to the women of the world? »

Quand vous me traitez de grosse, de fainéante, de fille médiocre, quel message envoyez-vous aux femmes du monde entier ?

La jeune femme a continué en expliquant que pour elle le concours de Miss Univers était une opportunité pour les femmes, d’exprimer la diversité, et d’atteindre un objectif d’accomplissement personnel. Rappelons au passage que le slogan du concours est tout de même « confidently beautiful« … 

Elle a raconté que quelques temps en arrière, lorsqu’elle était très mince, elle n’était pas heureuse. Ce n’était pas sa vraie nature d’être aussi mince, et cela lui demandait beaucoup de privations ; des privations auxquelles elle a mis fin volontairement.

Loin d’être du genre à passer ses journées au fond du canap avec un pot d’un kilo de pâte à tartiner et une petite cuillère, Siera Bearchell est une grande sportive. Cela se voit, à son corps tonique, et musclé, un corps qu’elle a décidé d’accepter, et d’aimer !

 

Sur une autre image, Sierra Barshell raconte qu’on lui a demandé « Mais qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as grossi, pourquoi ? Cela te fait perdre des points dans la compétition ! ». La Miss explique qu’elle a effectivement grossi et qu’elle est moins mince que lorsqu’elle avait 16 ou 20 ans. Mais elle est aussi plus confiante. (ci-dessous, une photo de Miss Canada, lorsqu’elle était plus mince).

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Sweet 16.

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Pour elle, il est important de s’aimer tel que l’on est, au lieu d’essayer de suivre à tout prix les standards imposés par la société. Elle continue en expliquant que le fait de s’accepter et de s’aimer lui a permis de devenir beaucoup plus heureuse, et que c’est cela qu’elle souhaite défendre en participant au concours.

Belle leçon de confiance en soi, non ?

Alors on pourrait répondre que les concours de miss sont de toute façon fondamentalement misogynes, et qu’ils n’ont pour but que de mettre en concurrence sur des critères physiques. On pourrait dire que la meilleure façon de lutter serait de ne pas participer à ces concours…

Mais finalement, est-ce que ce ne serait pas accepter un état de fait, de ne pas se présenter à des concours de beauté lorsque l’on sort des critères habituels ? Ces concours devraient refléter la beauté dans toute sa diversité, non ? Alors pourquoi ne pas proposer de représenter ces diverses beautés ?

Rester cantonnées aux concours pour femmes « rondes » dès que l’on a l’audace de ne plus rentrer dans un 36 fillette, c’est accepter le message que pour être parfaite, il faut avoir telles mensurations !

Est-ce que les choses ne bougent pas un peu plus quand on remet en cause les diktats, en osant montrer un corps qui ne se conforme pas aux normes imposées ?

Montrer des formes différentes de beauté, et prouver que l’on peut être heureuse sans avoir des abdos saillants, c’est peut-être aussi une façon de faire évoluer les choses ?

Ce qui m’a semblé intéressant dans la réaction de Miss Canada, a été le fait qu’elle ne nie pas avoir grossi, mais explique honnêtement les raisons de la fin de ses restrictions, et les assume pleinement.

Finalement, le bon message serait que l’on peut être belle sans forcément coller aux normes imposées. Il n’y a pas deux options : être un mannequin ou être ronde. Ou plutôt si… il y a deux options, mais elles sont les suivantes : être heureuse ou se rendre malheureuse.

Et à mon sens, il ne devrait plus y en avoir qu’une, la première !

 

 

Et il m’est impossible de conclure ce billet sans ajouter une petite image de notre Miss France, qui finit sur la plus haute marche du podium, et le mérite, car avouez… elle est radieuse !

A vos comms !

Akane – Huile purifiante démaquillante

Il y a plusieurs années que j’avais reçu cette huile démaquillante dans une Birchbox. Mais je ne l’avais pas encore utilisée, la gardant pour un week-end, ou un jour où je devrais voyager léger ! En effet, mon petit flacon ne contenait que 12 ml de produit !

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J'adore ! #beauty #Akane

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Au départ, j’ai utilisé ce démaquillant de façon classique, en en versant sur un disque à démaquiller réutilisable (j’utilise les disques des Tendances d’Emma). Le démaquillant pénétrait rapidement dans la lingette et il me fallait en verser des tonnes pour pouvoir me démaquiller. En plus ce n’était pas très gras, et j’avais l’impression de me démaquiller au papier emery…

Puis, j’ai lu les conseils d’utilisation…

En fait, ce produit s’utilise sans coton ! Il faut appliquer l’huile directement sur la peau, et masser du bout des doigts. Ensuite seulement, on dégaine un coton, et on retire l’excès d’huile, et les impuretés avec !

Et là… cela marche nettement mieux !

J’aime beaucoup ce produit, car il est pratique et facile à utiliser (une fois que l’on sait comment procéder). Les démaquillants qui s’utilisent sur un coton ne sont pas économiques quand on prend des lingettes lavables. Il faut généralement plus de produit que sur un disque jetable. Là, vu que le produit s’applique directement sur la peau, sans coton, on en utilise une toute petite dose !

L’huile dissout le mascara, le crayon, le fard à paupière, sans aucun souci. Je l’utilise surtout sur les yeux, mais l’ai testé aussi pour enlever le rouge à lèvres, et l’anti-cerne. Il est très efficace ! Je n’utilise pas de produit waterproof, donc je ne saurais vous dire ce que cela donne sur ce type de maquillage !

Je peaufine ensuite avec mon nettoyant visage habituel, et le tour est joué !

Côté compo, c’est beau et bio :

CAPRYLIC/CAPRIC TRIGLYCERIDE, HELIANTHUS ANNUUS (SUNFLOWER) SEED OIL*, SUNFLOWER SEED OIL POLYGLYCERYL-6 ESTERS, PARFUM (FRAGRANCE), MALUS DOMESTICA AKANE FRUIT / LEAF EXTRACT*, TOCOPHEROL.

On a des corps gras, de l’huile de tournesol (helianthus annuus), de l’extrait de pomme (malus domestica akane fruit), et de la vitamine E pour éviter le rancissement des huiles.

Ce produit est certifié bio.

En format vente, cette huile existe en deux contenances :

*50 ml : 10,30 €

*150 ml : 19,00 €

Voilà pour les présentations ! Et vous, connaissez-vous les produits Akane ? Quels sont vos chouchous pour vous démaquiller ?