L’hypnose, c’est quoi, et pour qui ?

Commençons par le commencement. Oubliez vos images sensationnelles d’hypnose collective, réalisée sur des plateaux télé. Zappez le passage d’Aladdin, quand Jafar ensorcelle le vizir en lui faisant fixer sa canne à tête de serpent. L’hypnose ce n’est pas (que) cela.

 

Vous noterez au passage que je me suis creusée pour dénicher des illustrations…

L’hypnose est un état modifié de conscience, qui permet d’atteindre l’inconscient ; une sorte d’autre nous, nourri par nos pulsions refoulées, nos fantasmes les plus secrets, mais aussi par nos traumatismes.

L’inconscient est l’élément central sur lequel se base la psychanalyse. Par définition, nous n’avons pas conscience de ce qui s’y cache. Pourtant, notre inconscient aurait une incidence sur nos actions, nos sentiments et nos jugements.

Si personne n’a encore pu prouver l’existence de cet inconscient, nous sommes nombreux à ne pas douter qu’il existe bel et bien. Il serait le coupable lorsque nous commettons un acte manqué (Quand tu arrives à la salle de sport et remarques que tu as oublié tes baskets…), de nos lapsus, de nos rêves.

Freud parlait déjà de cet inconscient, ni véritablement ami ni au contraire ennemi, qui cohabite avec notre conscience.

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L’intérêt de toucher à l’inconscient est de détricoter des mécanismes qu’il a pu mettre en place, et qui nous compliquent la vie. Par exemple, on peut avoir tout à gagner à recourir à l’hypnose pour débloquer des situations de dépendances (cigarette, TOC), pour soigner des phobies (peur du vide, agoraphobie), pour solutionner des troubles du comportement alimentaires, des insomnies, une anxiété trop prononcée… Il y a énormément d’applications possibles.

J’ai même lu que parfois, l’hypnose pouvait aider à faire resurgir un traumatisme enfoui, que le sujet avait totalement occulté.

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Et techniquement, cela se passe comment ?

Le sujet n’est pas vraiment endormi, pas vraiment totalement réveillé. Il est entre les deux…

Avant toute chose, précisons que tout le monde n’est pas réceptif à l’hypnose de la même façon. Certains sujets sont particulièrement réceptifs, d’autres auront besoin de plusieurs séances pour commencer à ressentir des effets. Et d’autres encore, ne verront aucun changement.

Dans tous les cas, il s’agit d’une thérapie brève. En moyenne, 3 à 5 séances suffisent. On peut bien-sûr se faire hypnotiser pour différents soucis, ou revenir après une première session, si le problème revient. Mais globalement, il ne faut pas se figurer que l’on va faire 10 ans d’hypnothérapie !

Il existe deux types principaux d’hypnose :

-l’hypnose traditionnelle, dans laquelle l’hypnothérapeute suggère des images, des sensations visuelles et corporelles ;

-l’hypnose Ericksonienne, dans laquelle le sujet est placé en profonde relaxation, et participe activement à la séance.

J’ai pour ma part testé les deux méthodes, avec quelques années d’intervalles. J’ai noté que l’hypnose traditionnelle, testé en second lieu, était plus profonde. Mais dans les deux cas, j’ai eu la chance d’être réceptive, et de voir de très nettes améliorations ! Je ne conseillerais donc pas une méthode plutôt qu’une autre.

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https://www.instagram.com/p/Bm6NuedlAVh/?hl=fr&tagged=hypnosis

La première séance permet généralement de prendre contact avec le praticien, et d’exposer le problème qui a amené à se tourner vers lui. On discute, on analyse les choses qui ne fonctionnent pas comme on aimerait. C’est aussi l’occasion de découvrir les principes de l’hypnothérapie, et éventuellement de poser des questions.

Ensuite, on entre généralement dans la phase d’hypnose à proprement parler. Au total, une séance (hypnose + discussion avant et parfois après) dure en général une heure.

La principale interrogation des gens qui ont recours pour la première fois à cette technique, concerne souvent le niveau de conscience que l’on conserve pendant la séance. Autrement dit, si l’hypnothérapeute décide de me faire marcher dans la rue déguisé en poule, est-ce que je vais le faire ? Vous voyez l’idée ?

Là-dessus, je peux tout de suite vous répondre qu’il y a un vrai fossé entre l’hypnose thérapeutique et l’hypnose de spectacle, celle que l’on voit dans les shows télé !

Pendant une séance d’hypnose thérapeutique, on ne part pas totalement à l’abandon, et on garde toujours le contrôle. Pour ma part, j’ai surtout eu des suggestions de pensées, des images, et j’ai eu très peu à bouger. La praticienne m’a seulement fait faire un exercice qui demandait de bouger le bras durant la phase hypnotique. Pour tout le reste, j’étais allongée et statique.

Dans tous les cas, même si parfois j’ai pu potentiellement m’endormir (il me semble qu’une fois c’est arrivé quelques minutes) jamais je n’ai été forcée de faire quoi que ce soit qui ne me convenait pas. Je gardais toujours le contrôle sur mes actions.

L’hypnothérapeute formule des phrases en rapport avec la discussion préalable, et le sujet est libre de les accepter ou non. Autrement dit, si vous consultez pour arrêter de fumer, mais que vous n’êtes pas d’accord avec l’idée profonde d’arrêter de fumer, et que vous pensez que l’hypnose aura un effet magique, sans que vous n’ayez aucun effort de volonté à fournir… cela risque d’être compliqué. Il faut qu’il y ait une vraie volonté de la part du sujet, qu’il adhère aux phrases qu’il entend pendant la phase hypnotique.

Dans le cas des troubles du comportement alimentaire par exemple, l’hypnose peut amener un déblocage, mais il ne vous fera pas basculer de l’anorexie à la boulimie, simplement parce-que le praticien vous suggère de manger à nouveau. Et vous ne courrez pas acheter un triple burger en sortant de séance (normalement).

A préciser également, selon le praticien, les séances peuvent se dérouler en position assise ou allongée. J’ai essayé les deux, car on me laissait le choix, et je n’ai pas forcément noté de différence fondamentale.

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Pour ma part, l’hypnose m’a aidé à sortir d’une situation que je ne maîtrisais pas. Cela me dépassait totalement et je ne parvenais pas à identifier les blocages qui me maintenaient dans ladite situation.

J’ai réellement senti les changements qui se sont opérés après la toute première séance, et les améliorations se sont poursuivies sur plusieurs mois après la dernière séance (4 au total).

Forcément, après une expérience aussi positive, je ne peux que vous recommander de sauter le pas, si vous avez un problème, qui peut se solutionner par l’hypnose. ?N’espérez pas forcément des effets dès la première séance, et ne baissez pas les bras trop rapidement… Nous ne sommes pas tous réceptifs de la même façon, et il peut y avoir besoin de s’accrocher un peu plus parfois !

Sachez qu’en moyenne une séance coûte cinquante euros. Certes, c’est une somme, multipliée par 3 à 5 séances. Mais lorsqu’un souci nous gâche vraiment la vie, il serait dommage de passer à côté d’une solution aussi efficace que peut l’être l’hypnothérapie !

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Ma commande sur Happy Bulle

Cela faisait plusieurs fois que je me retrouvais régulièrement sur le site Happy Bulle, à la recherche d’idées cadeaux personnalisées et sympathiques. En décembre, j’avais failli commander un petit bijou personnalisé pour une amie, avant de changer d’avis, et de me raviser. Mais cette fois-ci, j’ai craqué… Je vais vous raconter pourquoi, comment et si j’ai bien fait !

Tout d’abord, le site Happy Bulle est français, et derrière ce joli concept de produits personnalisés, il y a une petite équipe de six personnes qui s’active !

 

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Happy Bulle propose des bijoux en or, en argent, en bois et en plexiglas. Ce sont des objets à destination de tous, femmes, hommes, enfants. Le site affiche également au catalogue, des accessoires, comme des portes-clefs ou encore des planches à découper !

Le concept central est que tous ces articles sont personnalisables. L’on peut soit customiser les objets à partir d’un dessin, soit opter pour un texte que l’on agrémentera ou non d’un dessin déjà proposé sur le site.

Je n’ai pas testé la personnalisation à partir d’un dessin, car j’avais surtout envie d’écrire un message sur mon cadeau. Mais sachez que le dessin peut soit être importé sous forme de fichier, soit être réalisé sur le site directement, à l’aide d’une souris ou d’une palette graphique.

Pour ma part, j’ai opté pour une planche à découper en bambou…

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22 € la planche, ce n’est pas donné-donné, mais le fait de pouvoir la personnaliser m’a vraiment emballée. C’est ce qui fait toute l’originalité du cadeau, et j’ai adoré ce côté sur mesure, qui permet de montrer que vraiment, l’on a pris le temps de chercher LE cadeau qui passerait un message !

La création de ma planche a été facile et rapide. J’ai saisi mon texte, choisi une police d’écriture et un petit picto, et le tour était joué. Enfin, ça c’était ma contribution ! Le reste s’est joué chez HappyBulle !

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Commande @happybulle 👍

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Le produit est fabriqué rapidement (en France), et on nous annonce une expédition sous 48 heures. Les frais de port varient selon le point de livraison. Pour recevoir ma planche en boîte aux lettres, j’ai payé 4,90 € de port (offert à partir de 50 € d’achat).

Ma commande a été enregistrée le 12 mars, expédiée le 13, et reçue le 14 !

J’ai été surprise par sa taille. Il était bien noté qu’elle mesurerait 20×14 cm, mais j’imaginais que cela rendrait plus grand. Là, cela va être juste pour préparer à manger dessus. Elle servira plus de petite planche à découper d’appoint, pour couper une petite bidouille, que de véritable planche pour préparer une ratatouille ou un couscous.
Je suis malgré tout contente de mon achat, car j’ai pu offrir un cadeau original, personnalisé, et qui devrait durer dans le temps.

 

 

Commander sur She in, bonne idée ?

C’est parce-que je n’arrivais pas à dénicher la jupe midi de mes rêves sur les sites connus (Camaieu, Promod, Grain de Malice, Kiabi, je continue ?) que j’ai fini par me jeter à l’eau, et passer une première commande sur shein.com.

Ce site revenait souvent dans les résultats Google lorsque j’errais sur le net avec des envies de shopping. Mais j’avais remarqué qu’il était basé en Chine, et cela ne m’inspirait pas trop confiance.

OK, la majorité des fringues que nous portons tous les jours vient de Chine, ou plus globalement d’Asie. Mais acheter directement en Chine me faisait un peu peur, ne serait-ce que pour le cas où j’aurais à faire une réclamation.

Le 8 décembre 2017 j’ai donc commandé une jupe, à 15,42 €. J’ai payé avec Paypal pour jouer la carte de la sécurité !

Grace à un code promo, j’ai bénéficié de la livraison gratuite. J’avais lu que les vêtements taillaient petit et qu’il valait mieux prendre une taille au dessus de sa taille habituelle… mais s’agissant d’une jupe ample, je me suis dit que j’allais la prendre en S malgré tout…

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Voici la photo officielle de ma jupe sur le site. Belle n’est-ce pas ?

Et bien lorsque j’ai reçu mon colis le 18 décembre, soit pile poil dix jours après ma commande, je n’ai pas déchanté. Elle était totalement conforme ! La matière correspondait à mes attentes, et la jupe tombait impeccablement, comme sur la photo. En effet, le S correspondait plus à un XS français, mais cela restait correct. Je n’ai pas reçu une jupe de poupée !

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#jupe #jupeMidi @sheinfrance_ #fashion #fringues

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Rassurée par cette première expérience concluante, j’ai donc passé une seconde commande, en janvier… J’ai craqué pour deux leggings de yoga, une jupette et un pull…

J’ai tout pris en S une nouvelle fois.

Leggings avec lacet (noir) 7,62 €

Jupe élastique 6,79 €

Leggings moulant creux violet 5,94 €

Pull avec manche raglan 12,73 €

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Là encore, ma commande est arrivée très rapidement, et sans encombre. Comprenez par là que je n’ai pas eu à payer des frais de douane notamment. Si le pull était très joli (bon, totalement rouge et pas framboise comme je le voyais sur le site), le reste de la commande m’a déçue…

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#pull @sheinfrance_

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C’est bien simple, en déballant les leggings noir, je me suis demandé ce que c’était que ce collant… Je ne me rappelais pas l’avoir commandé. Il était ultra fin, et pas du tout qualitatif.

C’est le genre de legging tellement fin qu’il va mouler jusqu’au plus petit capiton de cellulite, et mettre en valeur tous les contours de votre culotte… pas forcément l’idéal pour se sentir bien pendant l’entrainement… Bon, vous allez me dire que j’aurais pu m’y attendre, et vous aurez sans doute raison.

Côté taille, j’ai beau mesurer quasiment 1,70 m, et avoir pris du S, le pantalon m’arrive aux chevilles, alors qu’il devrait être légèrement plus court et permettre d’être lacé sur les chevilles. Je ne sais pas bien ce que cela aurait rendu en prenant une taille au dessus comme conseillé…

 

Même bilan pour le second legging, qui en plus présentait des coutures franchement bâclées. Mais… tu l’as mis à l’envers ? Non regarde, là c’est l’envers, et c’est ENCORE pire !

Quant à la jupe, elle n’était pas franchement ignoble, mais le tissu était plus brillant que sur l’image du site, pour un rendu franchement plus cheap… Disons qu’à 3 € je n’aurais pas été déçue… à presque 7 je l’avais un peu mauvaise.

Alors ma conclusion ? Et bien je dirais que She In pratique des prix vraiment riquiquis, et que si l’on décide d’en profiter, il faut garder à l’esprit que l’on en aura pour son argent… et que cela implique de prendre des risques. Les frais de port pour les éventuels retour sont dissuasifs, surtout par rapport aux prix des articles. Donc si vous commandez, sachez que vous ne vous ferez probablement ni rembourser ni échanger les articles qui ne conviendront potentiellement pas. C’est un risque à prendre. Vous pourrez avoir de très bonnes surprises, comme ce fut le cas pour ma jupe… mais vous pourrez aussi vous retrouver avec des articles importables. A voir si le jeu en vaut la chandelle !

Say fuck to busyness!

Non cet article ne sera pas un traité d’orthographe, et le mot « busyness » existe bien. Il tire son origine de l’adjectif « busy » (occupé) et désigne l’état d’être… et bien occupé.

Pourquoi dire « fuck » au « busyness« ? Hummm… peut-être faudrait-il déjà faire les présentations, pour mieux identifier l’ennemi, et comprendre en quoi il nous veut du mal.

Le busyness est cette épidémie qui nous touche tous, plus ou moins violemment, et donne l’impression d’être constamment en train de courir, et de manquer de temps…

En gros, c’est l’inverse de carpe diem, puisque l’on cherche à faire tout en speed sans jamais profiter réellement de l’instant présent. Pourtant, c’est bien connu, on n’est heureux qu’en vivant dans le présent, et il vaut mieux éviter de vivre en regardant dans le rétro, ou dans la longue vue. Hein, tous les livres de développement personnel le disent…

Si l’idée même d’envoyer un SMS à un pote pour lui proposer de boire un verre, vous angoisse, car outre le fait de devoir trouver du temps dans votre planning déjà over méga rempli, vous appréhendez que ton ami réponde qu’il manque de temps, ou pire, qu’il ne réponde carrément pas… alors vous aussi, êtes l’une des nombreuses victime du busyness… Désolée de mettre le doigt dessus…

La good news, c’est qu’il existe des pistes pour mettre le busyness K.O. Si si je vous assure !

Dijon

Ci-dessus, l’état de ta cervelle en mode over-busy

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Tout d’abord décortiquons le pourquoi du comment.

Une journée fait 24 heures, pour tout le monde. Pardon d’écrire des banalités aussi énormes, mais je crois que c’est nécessaire.

Certes, nous dormons plus ou moins longtemps selon les personnes, mais malgré tout, et même si certains comptent les journées par lots de 12 heures et non de 24, il y a un matin et un aprem, et au final, on doit tous se débrouiller avec une base commune de 24 heures.

Nous avons tous globalement, des obligations, et du temps à consacrer à des choses qui ne nous enthousiasment pas nécessairement… en général, cela s’appelle TRAVAIL, mais cela peut aussi regrouper d’autres occupations (les tâches ménagères par exemple). Et, tu en conviendras, cela prend en effet la majorité de notre temps quotidien. Je te tutoies pour t’impliquer un peu, car je sens que tu m’échappes !

Un rapide calcul vous montrera qu’il reste tout de même des heures de libres autour des heures passées à exercer notre profession et à accomplir les corvées.

D’ailleurs j’ai vu chez Noz une planche à découper ornée d’une citation qui mérite réflexion : traduction à l’arrache, car c’était en anglais et que j’ai oublié la formulation précise, mais cela donnait à peu près ça : « une cuisine propre est le signe d’une existence gaspillée. »

Finalement, manquer de temps c’est regretter de consacrer trop de temps aux obligations de toutes sortes, au détriment de nos passions. Sur une journée de 24 heures, je préférerais voir mes potes, lire et écouter de la musique, au lieu de remplir des tableaux Excel. Normal, nop ?

OK. Quand on a accepté que faire uniquement que ce que l’on aime n’est pas possible pour la plupart du commun des mortels, et que l’on a essayé de rendre nos corvées les plus supportables possibles, il reste la possibilité de ménager du temps libre pour s’épanouir dans des activités qui nous branchent vraiment…

Et si pour cela on faisait la chasse au temps mal utilisé ?

Par exemple, combien de temps passez-vous par jour à :

-Penser au trucs que vous n’avez pas envie de faire, au lieu de simplement les faire, et passer à autre chose ? Le terme est procrastiner. Rien que ça, c’est moche pro-cra-stiner. Eurk.

-Regarder la télé, passivement, au lieu d’accomplir une tâche plus plaisante ?

-Scroller sans but sur le net ? (cela inclut actualiser Facebook/Twitter/Snap/Insta/Google+ toutes les douze minutes).

Vous voyez où je veux en venir ? Non. Ne fermez pas tout de suite votre navigateur internet, je n’ai pas dit ça ! :-p

Loin de moi l’idée de dire que nous avons un temps extensible et que si nous manquons de temps c’est uniquement car nous restons les fesses au fond du canapé. Mais, parfois… il y a un peu de cela.

Il y a aussi cette fichue habitude de glorifier les plannings surchargés.

Nous savons nous mettre la pression tous seuls, pour ne pas rester inactifs, un peu comme si nous jouions à la fois les employés et les patrons, et nous surveillions, pour nous interdire les temps de repos. Pourtant… c’est humain d’avoir besoin de pauses, de moments de lâcher prise.

Nous n’avons pas à justifier notre utilité sur terre par un emploi du temps surchargé.

Avoir besoin de se sentir occupé en permanence, pour justifier son utilité, n’est pas sain. Relisez cette phrase si besoin.

Il est tout à fait normal de s’arrêter, de prendre du temps pour soi ponctuellement, de sauter le ménage hebdo, de laisser la pile de repassage grimper un petit peu plus, sans que cela ne signifie que l’on est un gros fainéant. Essayez, en général on est encore plus productifs lorsque l’on se remet en activité !

Allez… on fait l’essai ? Je sais que ce n’est pas facile, loin de là. Mais cela ne coûte pas bien cher de faire le test, en commençant par regarder de quel temps nous disposons et comment nous l’utilisons…

 

Des miss heureuses

Les élections de miss, qu’elles soient nationales ou internationales (mêmes parfois régionales), ont toujours été l’occasion de faire apparaître des scandales plus ou moins retentissants. On se souvient parfois de certains d’entre eux, comme lorsque notre Miss France 2001, Elodie Gossuin avait été « accusée » d’être un homme au concours de Miss Univers, ou encore les nombreuses fois où des miss régionales ont été éliminées du concours Miss France pour avoir pris la pose plus ou moins dévêtues. On se rappelle de Valérie Bègues et du scandale du lait concentré (la miss avait posé pour la marque Pardon, en train de lécher du lait en poudre, entre autres).

Cette année encore, des rumeurs courent autour de la fraîchement élue Miss Univers 2017, qui se trouve être notre Miss France 2016. La belle Iris serait selon certains « observateurs » malveillants… lesbienne. Nul besoin de perdre du temps à méditer sur ces rumeurs, qui quand bien même elles s’avéreraient vraies, ne remettraient nullement en question la légitimité du titre décroché par la reine de beauté.

Les scandales et critiques entourant les élections de miss ont toujours existé et existeront probablement toujours. Mais dernièrement, ils ont pris une nouvelle forme, celle de la critique sur le poids des candidates. En anglais le phénomène porte un nom : body shaming, et englobe tout ce qui consiste à attaquer une personne au sujet de son poids, qu’il soit jugé excessif, ou au contraire, insuffisant. (Traiter une personne de « sac d’os » est tout aussi péjoratif que de l’accuser d’être une « grosse vache »).

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En réalité ce n’est pas une grosse nouveauté, puisqu’en 1997 déjà, Miss Univers avait été publiquement humiliée par le propriétaire d’alors de ce concours : Donald Trump. Son nom vous dit quelque chose ?

Le milliardaire avait jugé bon de surnommer Alicia Machado « Miss Piggy » (miss cochonne) en référence à son léger embonpoint. Un poil rancunière (qui ne le serait pas à sa place ?), la miss avait ressorti les vieux dossiers pendant la campagne présidentielle…

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Plus récemment, lors du concours Miss Grand International 2016, c’est Miss Islande qui a claqué la porte, après s’être vu reproché d’avoir grossi depuis son élection. La miss avait pourtant de sérieux atouts, et était loin d’être en surpoids. La photo s’impose…

https://www.instagram.com/p/BLrOHwRjQLc/?taken-by=arnayr

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La belle blonde aurait reçu de « précieux » conseils de la part de l’organisation du concours, qu’elle a rapporté à un journal islandais : «Ne mange plus de petit-déjeuner, ne mange qu’une salade au déjeuner et ne boit plus que de l’eau jusqu’au soir de la finale».

On notera au passage que ces conseils sont totalement stupides, puisque quiconque ne mange que de la salade verte (16 kcal les 100 grammes rappelons-le) sans sauce finit fatalement par mourir à un âge prématuré, et que mourir même en étant Miss n’est pas quelque chose de positif.

Ces conseils justement, la jeune femme les a mis au placard, et a répondu à ceux qui les proféraient, par une lettre que vous pourrez voir ci-dessous, publiée sur son compte Instagram.

Elle y explique que puisque les membres de l’organisation du concours la jugent trop grosse, et lui trouve des épaules trop volumineuses, elle décide de quitter la compétition. Le concours ne mérite ni son visage, ni son corps, ni sa personnalité, ni son cœur ! Et toc !

https://www.instagram.com/p/BL9nv-2jevV/?taken-by=arnayr

« J’espère sincèrement que votre organisation ouvrira les yeux, car nous sommes en 2016 et puisque vous êtes responsables d’un concours de beauté international, il serait bon d’être en mesure de voir la beauté internationale ! »

Du coup Arna Jonsdottir est repartie de Las Vegas sans couronne, et sans même avoir concouru. Et c’est Miss Indonésie (très jolie également) qui a remporté la couronne bizarroïde.

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Au concours de Miss Univers, c’est Miss Canada, qui a été malmenée à cause de son poids, car la belle avait eu la mauvaise idée de s’empâter un peu depuis son élection.

Sur les réseaux sociaux, des internautes comme vous et moi s’en donnaient à cœur joie… Des détracteurs se sont même « amusés » à retoucher des photos de la candidate, pour la rendre plus grosse et se moquer de son image !

La jolie brune de 23 ans aurait pu se mettre au sport intensif et se nourrir uniquement de céleris qu’elle aurait ensuite vomi au dessus des toilettes. Mais, elle a choisi une autre réaction… qui à mon sens est beaucoup plus sage et saine…

Elle a continué à poster des photos d’elle sur son compte Instagram, accompagnées d’une réponse posée et argumentée…

« I am secure and that’s what makes me beautiful. »

Comprenez, « je suis sûre de moi et c’est ce qui me rend belle. » Et elle a bien raison, car elle est en effet superbe ! D’ailleurs, la candidate a fini dans le top 9 de miss Univers, sur plus de 80 prétendantes… Et toc !

« When you call me lazy, fat, and mediocre, what are you saying to the women of the world? »

Quand vous me traitez de grosse, de fainéante, de fille médiocre, quel message envoyez-vous aux femmes du monde entier ?

La jeune femme a continué en expliquant que pour elle le concours de Miss Univers était une opportunité pour les femmes, d’exprimer la diversité, et d’atteindre un objectif d’accomplissement personnel. Rappelons au passage que le slogan du concours est tout de même « confidently beautiful« … 

Elle a raconté que quelques temps en arrière, lorsqu’elle était très mince, elle n’était pas heureuse. Ce n’était pas sa vraie nature d’être aussi mince, et cela lui demandait beaucoup de privations ; des privations auxquelles elle a mis fin volontairement.

Loin d’être du genre à passer ses journées au fond du canap avec un pot d’un kilo de pâte à tartiner et une petite cuillère, Siera Bearchell est une grande sportive. Cela se voit, à son corps tonique, et musclé, un corps qu’elle a décidé d’accepter, et d’aimer !

 

Sur une autre image, Sierra Barshell raconte qu’on lui a demandé « Mais qu’est-ce qui t’arrive ? Tu as grossi, pourquoi ? Cela te fait perdre des points dans la compétition ! ». La Miss explique qu’elle a effectivement grossi et qu’elle est moins mince que lorsqu’elle avait 16 ou 20 ans. Mais elle est aussi plus confiante. (ci-dessous, une photo de Miss Canada, lorsqu’elle était plus mince).

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Sweet 16.

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Pour elle, il est important de s’aimer tel que l’on est, au lieu d’essayer de suivre à tout prix les standards imposés par la société. Elle continue en expliquant que le fait de s’accepter et de s’aimer lui a permis de devenir beaucoup plus heureuse, et que c’est cela qu’elle souhaite défendre en participant au concours.

Belle leçon de confiance en soi, non ?

Alors on pourrait répondre que les concours de miss sont de toute façon fondamentalement misogynes, et qu’ils n’ont pour but que de mettre en concurrence sur des critères physiques. On pourrait dire que la meilleure façon de lutter serait de ne pas participer à ces concours…

Mais finalement, est-ce que ce ne serait pas accepter un état de fait, de ne pas se présenter à des concours de beauté lorsque l’on sort des critères habituels ? Ces concours devraient refléter la beauté dans toute sa diversité, non ? Alors pourquoi ne pas proposer de représenter ces diverses beautés ?

Rester cantonnées aux concours pour femmes « rondes » dès que l’on a l’audace de ne plus rentrer dans un 36 fillette, c’est accepter le message que pour être parfaite, il faut avoir telles mensurations !

Est-ce que les choses ne bougent pas un peu plus quand on remet en cause les diktats, en osant montrer un corps qui ne se conforme pas aux normes imposées ?

Montrer des formes différentes de beauté, et prouver que l’on peut être heureuse sans avoir des abdos saillants, c’est peut-être aussi une façon de faire évoluer les choses ?

Ce qui m’a semblé intéressant dans la réaction de Miss Canada, a été le fait qu’elle ne nie pas avoir grossi, mais explique honnêtement les raisons de la fin de ses restrictions, et les assume pleinement.

Finalement, le bon message serait que l’on peut être belle sans forcément coller aux normes imposées. Il n’y a pas deux options : être un mannequin ou être ronde. Ou plutôt si… il y a deux options, mais elles sont les suivantes : être heureuse ou se rendre malheureuse.

Et à mon sens, il ne devrait plus y en avoir qu’une, la première !

 

 

Et il m’est impossible de conclure ce billet sans ajouter une petite image de notre Miss France, qui finit sur la plus haute marche du podium, et le mérite, car avouez… elle est radieuse !

A vos comms !

Ces recherches chelous qui vous ont amenés ici…

Hello tout le monde. Je vous souhaite de passer un très joli réveillon, et d’entamer une formidable année 2017. Je vous retrouve avec plaisir ce samedi 31 décembre, entre une balade hivernale, et une sieste pré-soirée, une tasse chaude entre les mains, pour une sorte de best of. En effet, l’heure est au bilan sur la plupart des blogs. Mais vous annoncer combien de bouquins j’ai lus, combien il en reste dans ma PAL et lesquels je vais lire à partir de demain, je ne fais pas. Cela demande d’être organisé, et ce n’est pas un adjectif qui me qualifie des masses ; du moins pas en tant que lectrice !

A la place, je vous propose de farfouiller dans les stats du blog, et de rigoler un petit peu…

Parmi mes lecteurs, il y a ceux qui ont le lien du blog dans leurs favoris, ceux qui viennent ici après que j’ai commenté leur propre blog, ceux qui suivent un lien sur les réseaux, et ceux qui arrivent un peu par hasard suite à une recherche Google

Savez-vous que dans les stats de WordPress je peux voir les recherches qui ont amenés cette dernière catégorie de lecteurs à tomber sur mon blog ?

Parfois c’est assez amusant…

J’ignore si la personne qui cherchait « comment se détendre avec un thé«  a trouvé la réponse en consultant mon blog… Je pense que la réponse est de boire le thé, simplement. Parce-que si on se le verse bouillant sur la tête, ça ne détend pas vraiment.

Celui ou celle qui a tapé « roman cochon » a pu se décider à acheter « Les Gens sont les Gens » qui met en scène un petit cochon adopté par une citadine. Mais je pense que cela ne correspondait pas à sa recherche initiale… Cher lecteur, le livre le plus cochon que tu pourras trouver sur mon blog, sera La Danse Hésitante des Flocons de Neige, car il y a une ou deux scènes de fesses. Mais là encore, c’est un peu soft, trop pour être vraiment un roman cochon. :-p

Je m’interroge toujours sur « j’ai mes lunettes deja chez opticiens« . Peut-être faut-il aller les chercher, non ? Vous y verrez plus clair.

Pour les deux personnes qui ont saisi « passer de pescovegetarin a vegetarien » je peux vous indiquer comment procéder. Il suffit d’arrêter de manger du poisson. Plutôt facile non ? En même temps, fallait y penser.

Quant à « manger vegan en 77 » ce n’était pas facile je pense, car il n’y avait pas énormément de similis et que l’on n’avait moins de connaissances en diététique… En plus c’est l’année de la mort d’Elvis… Aucun rapport. Mais dans le 77 par contre je connais un wok à volonté, où il est possible de manger végétarien.

Apparemment, une personne se demande « pourquoi yves rocher ne mets pas les compos sur le site » et je suis d’accord que c’est abusé. Mais bon, la marque bretonne n’est pas la seule à se dispenser de communiquer sur ses ingrédients.

Il y a eu d’autres recherches pour lesquelles je n’ai aucune piste… je ne sais tout simplement pas ce que vous avez essayé de trouver… J’ai beau chercher, je bute. Aidez-moi !!!

nanoflowcell quant fe volume coffre –> Ze ouate ?

bâtondu rouges a levres –> mais encore ?

tasse avec un phoenix –> assiette avec un pangolin ?

suis devenu veggie 2016 –> bravo à toi ! Que peut-on faire ?

***

Sur ce, je vous re-souhaite un très bon réveillon et espère vous retrouver au rendez-vous, aussi nombreux et aussi inspirés, dès le 1er janvier 2017 ! CiaoooOOOooo !

 

 

Meilleurs Vœux

Bonjour à toutes et tous !

Le temps est venu pour moi de vous présenter mes meilleurs vœux pour les fêtes.

Je vous souhaite bien-entendu de passer de très bons moments, auprès des personnes qui vous sont chères, à faire des choses qui vous font plaisir !

Prenez le temps, savourez, cassez le rythme, et emmagasinez un maximum de choses positives, car c’est vraiment tout ce qui compte !

Décembre est également le moment de faire une petite rétrospective, même si je ne suis pas une grande amatrice de bilans et de compte-rendus. Je ne vous sortirai pas les stats de 2016, rassurez-vous ! (Je ne dis pas que je ne les regarde pas, et que je ne frétille pas quand un pic de visites apparaît, hein).

Par contre, j’aimerais vous remercier pour cette année passée ensemble. Vos commentaires et attentions me vont droit aux cœur, et j’ai plaisir à me connecter sur WordPress chaque jour, pour voir la petite pastille orange qui indique que vous êtes fidèles à ce petit blog !

Continuez comme cela, et on se dit à très bientôt. Le blog ne prend pas de vacances, grâce à la magie de la programmation. Et moi je reviens entre Noël et Nouvel An, pour vous présenter des bouquins, des films, et vous parler voyage…

@+++

Ana

 

Quelques idées cadeaux…

Nous sommes en décembre (sans blague) et bientôt il sera temps de se réunir autour du sapin, et d’échanger les présents que nous aurons dénichés pour les uns et pour les autres… Si le déballage des cadeaux est sensé être un moment plaisant, il est souvent précédé d’intenses remuages de méninges, pour trouver ce qui pourrait faire plaisir à chacun. Avouez !

Pour ma part, il y a des gens pour qui je n’ai JAMAIS d’idée. Et je déteste me rabattre sur des solutions de secours, des cadeaux classiques, histoire d’avoir un truc à offrir, en sachant que cela fera moyennement plaisir…

Vous connaissez cela aussi ? Ces proches qui ont tout, ou du moins, qui n’ont envie de rien en particulier, à part peut-être des trucs hors de prix ? Rassurez-moi, vous en avez aussi dans votre entourage ?^^

Je n’ai pas de solution miracle, de cadeau qui plait à tout le monde et à coup sûr, mais je vous propose néanmoins quelques idées…

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Chez Décathlon, on trouve pleins de jolies petites choses pour tous les budgets, et tous les sportifs… Il y a même des accessoires qui peuvent convenir à tout un chacun, sportif ou non… Tenez, prenez la serviette Nabaiji , en microfibre par exemple ! Elle est parfaite pour enrouler ses cheveux et les sécher en douceur après la piscine, ou une simple douche… Pour 3,99 €, on a là un joli petit cadeau d’appoint, non ?

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Pour les coquettes, pensez aussi aux vernis à ongles, aux cartes cadeaux chez Kiko, aux palettes de maquillage, aux gels douches en édition limitée pour les fêtes…

Vous trouverez toutes sortes de vernis, notamment des marques que l’on ne déniche pas dans les grands boutiques, sur CE site de référence : Pshiiit

Pour en revenir à Décathlon, il y aura de quoi satisfaire tous les budgets, avec une veste polaire, une montre de sport avec bracelets interchangeable, ou « au pire » une carte cadeau, qui pourront constituer de jolis présents de Noël…

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Vous avez un(e) gro(sse) rat(te) de bibliothèque dans votre entourage ? Plutôt que de vous creuser la tête pour trouver LE roman qui lui plaira à coup sûr, en n’étant pas certain qu’il ne l’ait pas déjà, vous pourriez lui offrir une liseuse ?

La Kindle entrée de gamme chez Amazon vaut 70 € (69,99 € précisément). Vous pouvez vous cotiser pour l’acheter, et éventuellement acheter les ebooks qui vont avec, pour offrir une liseuse déjà bien remplie ! Pensez aux classiques, qui une fois tombés dans le domaine public, sont gratuits. Il ne s’agit pas de jouer les radins, vous pouvez aussi acheter des e-books payants, selon votre budget !!

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Votre rat de bibli est du genre à sortir la frontale pour lire en pleine nuit ? Peut-être vaudrait-il mieux opter pour un modèle un peu plus haut de gamme avec éclairage intégré ?

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Qu’offre t-on à un amateur de thé ? Du thé ? (Il y en a de bons par ici : https://www.chakaiclub.fr/ / http://www.tpourthe.com/ ).

Oui, cela fait toujours plaisir, à condition de bien connaître ses goûts… Sinon on peut opter pour un infuseur (mais je peux vous dire que généralement, d’autres y auront pensé avant vous), une tasse (même problème)… ou… une bouilloire de compét !

On trouve de belles bouilloires à thermostat, que l’on peut programmer pour obtenir une eau à la température adéquate… et ça quand on aime le bon thé, c’est LE TOP !

Il y a plein de choix par ici : Chez DARTY.

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Chaque année pour Noël, les pubs pour les machines à thé fleurissent… Chacun aura son avis pour la question, mais pour ma part, j’adore le thé et préfère le préparer à ma façon, à partir de thé en vrac. Autrement dit, je serais assez embêtée de recevoir une machine spécifique !!

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J’aime l’idée d’offrir des objets utiles, qui vont servir au quotidien, et accompagner la personne jour après jour, en lui rappelant le moment agréable où on lui a offert l’objet. Par exemple, au travail j’ai une tasse qui m’a été offert par une amie. A chaque fois que je l’utilise je pense à mon amie, et cela me fait plaisir.

Dans cette idée, on peut offrir…

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Des fournitures mignonnes pour le bureau… Celles-ci viennent de chez Hema.

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Un bel étui à lunettes (pensez à choisir un étui suffisamment grand en fonction des montures !). Celui-ci vient de chez L’Usine à Lunettes.

Un chouette pot à crayons pour le bureau…

Un joli stylo

Un accroche-sac…

Un abonnement à un magazine, ou à une box (beauté, thé, cuisine…) pour accompagner la personne toute l’année !

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Et si on veut offrir un bon moment ?

Cela peut-être une idée d’offrir une place de ciné/concert/spectacle, et de faire un bon personnalisé, pour inviter votre ami à une séance avec vous ?

Cela marche aussi pour tout un tas d’activités : Bubble Bump, Laser Game, Escape Game, …

Pourquoi ne pas offrir un bon pour un soin en institut, ou pour un massage ?

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Voilà pour les premières suggestions que je peux vous faire.

Qu’en dites-vous ?

Où en êtes-vous dans vos cadeaux de Noël ?

Et pour vous, qu’avez-vous demandé au Père-Noël et/ou qu’espérez-vous secrètement recevoir ?

Regardons notre nombril !

Petit billet rapide aujourd’hui, pour partager une réflexion avec vous.

Je vois de plus en plus de billets de blogs sur le thème du bonheur, de l’accomplissement personnel, et souvent je relève des conseils vraiment utiles dans ces billets.

L’un des conseils qui revient souvent, est d’éviter de se comparer aux autres, pour se concentrer plutôt sur nos améliorations, vis à vis de nous-mêmes, nos progrès autrement dit.

Cela me semble être un conseil absolument judicieux, et totalement d’actualité. Pourquoi ? Parce-que nous n’avons jamais été autant exposées aux autres, et à leur vie que ces dernières années. Avec les réseaux sociaux, les blogs, chacun peut publier des informations sur le moindre de ses faits et gestes.

On peut savoir ce que mange untel à chaque repas, combien de temps a duré le footing d’untelle, et à quelle vitesse elle a couru. On peut savoir que le bambin de Trucmuche a eu les félicitations de la Maîtresse, et que celui de Machine a non-seulement fini sa purée de brocoli mais en a même redemandé… Bref, on sait tout… ou du moins on en a l’impression.

Parce-que rares sont les gens qui publient des choses négatives, des échecs. Non ?

Certains postent des photos sans filtres. Regardez le hashtag #nofilter sur Instagram par exemple. Mais si en effet il n’y a pas de retouche, cela ne veut pas dire qu’ils ont pris la photo sur le vif, et l’ont postée sur un coup de tête. La photo a été jugée, et postée sciemment. Quand les stars postent leur tronche au saut du lit, qui pourrait être assez crédule pour imaginer qu’elles ne l’ont pas regardée avant, et qu’elles l’auraient postée si elles avaient les yeux tous collés, la mèche folle et un peu de bave au coin de la bouche ?

Nous nous voyons nous-mêmes dans les bons moments, mais aussi dans les mauvais. Nous voyons les autres essentiellement dans leurs bons moments, surtout sur internet.

La comparaison n’est pas juste.

C’est pour cela qu’elle risque de faire plus de mal que de bien…

Qu’en dites-vous ? Je vous laisse le clavier pour échanger sur le sujet (ou complètement sur autre chose si cela vous botte) dans les commentaires ! @bientôt ! 🙂

La plus chouette, c’est Polette ! [Lunettes]

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J’avais partagé mon enthousiasme avec vous, suite à ma première commande sur le site L’Usine à Lunettes. C’était il y a quelques mois, et j’avais à l’époque commandé deux paires à ma vue, pour environ 50 €, livraison incluse.

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Deux paires, quand on n’a qu’une tête, logiquement c’est suffisant, d’autant que j’avais en plus une autre paire achetée chez un opticien « physique », et une paire de solaires…

Oui mais bon, être myope c’est pas rigolo, alors autant faire de ce « défaut » un avantage, et en profiter pour porter de jolies lunettes… et changer selon son humeur ! Vous n’êtes pas de mon avis ? Pourquoi changerait t-on de chaussures selon notre tenue, et devrait-on porter les mêmes lunettes en permanence ? Je vous le demande…

Bref… je me cherche des excuses, pour justifier une seconde commande passée sur L’Usine à Lunettes.

Grâce à un code promo Showroom Privé, ce ne sont pas deux paires que j’ai commandé… mais bien 3 ! Ah ah… ah !

Voici la première que j’ai testé et aussitôt adoptée : THALES.

Son nom ne nous prédisposait pas à devenir copines, car les maths et moi cela fait deux. Mais Thalès a su m’amadouer avec son tout petit prix… 9,99 € la monture… sérieusement, qui dit mieux ?

Ces lunettes sont en plastique, très léger et flexible. Toutes simples, toutes noires, brillantes, avec des branches fines, on ne peut que les aimer…

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Je les ai tout de suite adoptées, et posées sur mon nez pour aller travailler…

Pour plus d’infos et notamment pour connaître les dimensions de ce modèle (pour comparer avec vos lunettes actuelles par exemple), c’est par ici : http://www.lusinealunettes.com/fr/thales.html

Et vous l’aurez compris, ce billet n’est pas sponsorisé. J’ai acheté mes lunettes toutes seule, avec un code promo grand public, et mes propres deniers ! :-p

Je vous dis à bientôt pour la présentation des deux autres modèles pour lesquels j’ai craqué…