Mélissa da Costa – Les Lendemains

Amande découvre la maison qu’elle s’apprête à louer, dans la campagne auvergnate. Le moins que l’on puisse dire, est que la bâtisse est dans son jus.

Mais la jeune femme ne semble pas s’en occuper. Au contraire, cela correspond à ce qu’elle recherche…

Amande est en deuil. Au début du roman nous ne savons pas exactement qui elle a perdu, et dans quelles circonstances, mais nous le découvrirons petit à petit.

Dans la vieille maison, Amande va progressivement reprendre goût à la vie ; se raccrocher à de vieux calendriers annotés par l’ancienne propriétaire. Ces précieux documents sauvés de la décharge vont la guider pour se mettre au jardinage, et à la cuisine…

Ce livre m’a été offert par ma mère. Bien qu’elle sache que je ne lis habituellement qu’en italien ou en anglais, a insisté pour que je fasse une exception pour ce roman. Et elle a bien fait !

Une histoire de deuil et de jeune femme qui retrouve goût à la vie grâce au jardinage… j’aurais pu facilement passer à côté. J’aurais craint que cela soit trop triste. En fait… pas du tout.

C’est une histoire de renaissance, de retour à la terre, aux vraies choses. Ce livre fait énormément de bien car même si la situation initiale est dramatique et fend le coeur, le personnage retrouve le goût de vivre. J’aurais pu penser que le récit serait un peu « gnan-gnan », presque « illuminé » mais pas du tout. L’auteure a su rendre son histoire crédible, car les changements dans la vie d’Amande s’opèrent progressivement.

J’ai vraiment adoré ce livre. J’ai eu du mal à passer à autre chose une fois la dernière phrase lue. Je m’étais réellement attachée aux personnages…

Je pense que je ferai d’autres écarts, pour lire les autres romans de Mélissa Da Costa : Tout le Bleu du Ciel, Je Revenais des Autres, l’Ete où je suis devenue Vieille…

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Call Me By Your Name

Call Me By Your Name est un film sorti en 2017, qui a rencontré un vif succès. Avant d’être un film, c’était un roman américain, paru en 2007 et intitulé Plus Tard ou Jamais.

Après le succès du film, le roman a été réédité, sous le nom Appelle-Moi par ton Nom.

J’ai lu la version italienne, pensant à la base que le roman était italien. En réalité, c’est un roman américain, qui a donné naissance à un film franco-italien-americano-brésilien !

Nous sommes en été 1983, dans la campagne italienne. Elio 17 ans, passe l’été avec ses parents dans la grande villa familiale. Son père est spécialiste de culture gréco-romaine, et sa mère traductrice. Ils lui ont donné une excellente éducation. Elio est très cultivé, et passe beaucoup de temps à retranscrire des œuvres musicales.

Cet été comme tous les étés, la famille accueille un jeune doctorant américain. Cette année, il s’agit d’Olivier. Elio est tout de suite fasciné par ce jeune homme à l’apparence légèrement nonchalante. Il remarque notamment sa façon bien à lui de prendre congé par un « dopo ! » (à plus), dont il parlera à plusieurs reprises dans le roman. Olivier est également cultivé, et s’apprête notamment à publier son premier livre.

Nous assistons, à travers les yeux d’Elio, à la naissance d’une passion. Le jeune homme est déjà très instruit, mais en matière de sentiments, il a encore beaucoup à découvrir. Et l’été qu’il est en train de vivre va le changer à jamais.

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Ce roman est magnifique, car il décrit la relation entre les deux hommes avec beaucoup de finesse, sans jamais mettre de mots pour catégoriser. On ne parle ni d’homosexualité, ni de bisexualité. Les sentiments ne sont pas vraiment troublés par ces termes qui n’ont finalement rien à faire au milieu de la dolce vita.

L’écriture est magnifique, sans être alambiquée. Le fait que le narrateur soit Elio lui-même nous plonge véritablement dans l’histoire.

J’ai accroché dès les premières pages, et ai eu du mal ensuite à reprendre une nouvelle lecture, tant celle-ci m’avait plu…

 

Le thé des étoiles…

Cette année Palais des Thés nous propose de passer Noël la tête dans les étoiles, avec une composition à base de fève tonka et de marron, déclinée en trois versions, sur une base de thé vert, de thé noir, de thé blanc, en rooibos et infusion.

La fève tonka est une graine produite par un arbre tropical au nom de dinosaure : Dipteryx odorata (en fait elle peut provenir de différents arbres, mais je ne vais pas vous donner tous les noms latins, parce-que ce serait à mon sens aussi inintéressant qu’inutile). La fève est utilisée notamment dans les cosmétiques et en parfumerie, sous l’appellation « coumarin »
J’ai craqué pour la version thé vert, et dégusté ce délicieux thé composé de 62 % de thé vert chinois, de fèves de cacao, de caroube et de chicorée. Le marron est présent sous forme d’arôme (2 %), la fève tonka est bien là et bien réelle (1 %) et on termine avec des pétales de rose, qui apportent du goût et de la couleur au mélange !

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La version thé vert est vendue à partir de 9,50 €, pour un sachet de 100 grammes de thés en vrac. Il est également possible de choisir les sachets emballés individuellement, ou les jolies boîtes métalliques.

Ce thé me ravit car il a beaucoup de goût. Il a un côté gourmand, presque caramélisé, probablement apporté par l’arôme de marron. Je dois dire que ne connaissant pas le goût de la fève tonka, je suis bien incapable de vous renseigner sur sa présence en bouche… Mais je peux vous assurer que ce thé ne manque pas d’arôme et qu’il parfume agréablement autour de la tasse ! Il n’est pas du tout écœurant, et j’ai plaisir à le boire dès le petit déjeuner, et tout au long de la journée.

Attention à ne pas trop tarder si vous voulez vous envoler dans le cosmos grâce à ce thé ! Il s’agit d’une édition limitée proposée uniquement pendant les fêtes.

 

Kuzco, l’empereur mégalo

L’article du jour ne portera pas sur la dernière sortie du ciné en date. Comme souvent, j’ai envie de vous parler d’un film déjà ancien, que je viens seulement de découvrir. Et pour coller à Noël, qui est incontestablement la période des enfants, et donc par extension, des dessin-animés… je vais vous parler de KUZCO !

Kuzco est un film d’animation de Disney, sorti en 2000. Cela date. Et pourtant, il n’a pas pris une ride !

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De quoi cela parle ?

Kuzco est un empereur inca, jeune et totalement égocentirque. Comme cadeau pour ses dix-huit ans, il ne souhaite rien de plus que faire raser les petites maisons du village sur la colline, pour y bâtir sa propre résidence avec piscine.

Sur sa lancée, Kuzco licencie sa Conseillère un peu trop encombrante, la vieille Yzma. Sauf que celle-ci ne compte pas se laisser faire, et aidée de son bras droit Kronk, elle empoisonne Kuzco.

Mais… les choses ne se passent pas toujours exactement comme prévu. Et au lieu de passer l’arme à gauche, Kuzco se retrouve transformé en lama !

Ce dessin-animé est une vraie pépite d’humour. Du délire, à l’état brut, non dilué !

Les personnages principaux sont globalement tous des vilains (Kuzco, Yzma, et par extension Kronk, qui applique les ordres d’Yzma). Malgré cela, ils sont attachants et surtout nous font beaucoup rire tout au long du film !

Ce Disney est absolument différent des autres, en ce sens qu’il est vraiment axé sur l’humour du début à la fin. C’est une pure comédie, très inhabituelle pour Disney.

Si vous aimez rire, et que vous n’aimez pas que l’on pourrisse votre groove… alors voilà un film à regarder au plus vite !

 

 

Toutes les histoires d’amour du monde – Baptiste Beaulieu

Baptiste Beaulieu est à la fois Auteur et Médecin Généraliste. Il vient de publier Toutes les Histoires d’Amour du Monde aux éditions Mazarine.

Ce roman n’est pas son premier, puisqu’il en a déjà écrit trois autres :

J’avais dévoré Alors vous ne serez plus jamais triste, et retenu le nom de l’auteur dans un coin de ma tête. Aussi, quand j’ai vu sa dernière oeuvre en date disponible sur la plateforme Netgalley, ma souris a cliqué presque automatiquement !

On meurt vraiment quand tous les gens qui nous ont aimé meurent aussi, ou quand il n’y a plus de souvenirs.

Dans ce roman, le narrateur nous raconte comment il a appris un jour, que son grand-père avait aimé passionnément une femme, qui n’était pas sa grand-mère.

Les chapitres alternent entre le ressenti du narrateur, et les lettres qu’il lit et dans lesquelles le grand-père retrace sa propre histoire.

L’histoire est très belle, car les missives sont en fait des récits du passé de Moïse. Nous découvrons en même temps que son petit-fils, comment Moïse a grandi sans son père, mort lors de la grande guerre, puis comment il a rencontré sa femme, et vécu la seconde guerre mondiale…

Petit à petit, un parallèle se créé entre l’histoire du grand-père défunt et celle du petit-fils, qui voit dans les lettres de son aïeul, une façon de se rapprocher de son propre père.

Il y a une bonne part d’autobiographie dans ce livre, puisque le narrateur s’appelle… Baptiste Beaulieu et qu’il est Médecin. On sent que l’histoire n’a pas été écrite en trois jours, et qu’elle a été mûrie. C’est un récit d’amour universel, qui ne pourra que vous toucher…

Difficile de vous en dire plus, car je ne voudrais absolument pas gâcher la surprise. Mais croyez-moi, ce livre est merveilleux !

 

 

 

Comme toi, Lisa Jewell

Je trouve que la météo actuelle, bien grise et pluvieuse, se prête totalement à la lecture de thrillers. Je savoure les histoire angoissantes confortablement blottie dans mon plaid… La semaine passée, c’est Comme Toi de Lisa Jewell, paru chez Milady qui m’a tenue en éveil !

 

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***
Il était question d’une adolescente de quinze ans, disparue il y a dix ans, sans que l’on ne retrouve ni coupable ni corps. La Maman d’Ellie n’a jamais pu se résoudre à faire le deuil de son enfant.

Un jour, elle rencontre un père célibataire Floyd, si charmant qu’elle finit par se rapprocher de lui. Mais tout bascule le jour où elle rencontre Poppy sa fille de 9 ans, qui est le portrait tout craché d’Ellie.

***

J’ai toute de suite accroché à ce roman. L’écriture de l’auteure est fort accessible, et les personnages nous sont présentés clairement. A aucun moment je n’ai eu besoin de revenir sur ma lecture, pour clarifier les choses. Tout était limpide, et j’ai pu me concentrer totalement sur l’histoire pour profiter au maximum du suspens…

Et du suspens il y en a !

On sait très peu de choses sur Ellie et sur sa disparition. Les éléments nous sont donnés petit à petit, et nous permettent d’émettre des hypothèses.

Dès le départ, l’entourage de Floyd m’a semblé étrange. Ce père qui élève seul sa gamine, avec une autre grande fille dont la maman est absente aussi, c’était un peu louche ; d’autant que Poppy n’est pas une enfant classique. Son look détonne, et ses discours ne sont pas très représentatifs des discours tenus habituellement par des gamins de son âge !

Il y a anguille sous roche, et rapidement j’ai su plus ou moins qui était le coupable, mais il me manquait le motif. Qu’est-ce qui allait bien pouvoir relier les différents protagonistes ? Qui était qui et qui avait fait quoi ? Et surtout… pour quoi ?

Si comme moi vous aimez le suspens, les bons thrillers solidement ficelés et sans trop d’hémoglobine, alors ce bouquin devrait vous brancher !

J’ai aimé la façon dont l’histoire se déroulait, et la fin m’a totalement convaincue. J’ai trouvé que le dénouement était amené impeccablement. Souvent dans les romans à suspens, tout s’accélère dans les dernières pages, et on atterrit un peu brutalement. Ici non, le rythme est bon tout au long du récit, et la fin n’est que le couronnement des chapitres précédents. Vraiment un excellent thriller !

Warriors, ils savent pour quoi ils se battent.

Warriors est un film sorti en 2011, que l’on pourrait classer dans la catégorie DRAME.

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Nous suivons en parallèle, le destin de deux frangins que la vie a séparé. D’un côté, Tommy est un ancien Marine qui renoue le contact avec son père. De l’autre, Brendan est prof le jour, et combat la nuit dans des clubs de strip tease, en espérant parvenir à payer le prêt de sa maison.
En apparences, les deux frangins n’ont pas grand chose à voir l’un avec l’autre. L’un est paumé, et profondément abîmé par la vie ; l’autre est l’américain lambda, avec sa femme et ses deux petites filles. Mais en réalité, ils pourraient bien avoir plus de points communs qu’ils ne l’imaginent… et si le ring les rapprochait ?

Dès les premières minutes, ce film m’a captivée. L’histoire est simple finalement, mais son traitement la rend vraiment belle. On alterne les scènes de baston plutôt sympathiques à regarder (à condition d’aimer le combat bien-entendu) et les passages plus profonds. Ces derniers permettent de retracer petit à petit les événements qui ont faits que Brendan et Tommy se sont éloignés.

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Tous deux s’inscrivent à un championnat qui va voir s’affronter les plus grands combattants de combat mixte du monde. A la clef, une coquette somme qui pourrait bien leur permettre de solutionner quelques points merdiques de leurs existences respectives. Mais… il n’y aura qu’un seul vainqueur, et il devra affronter des concurrents de taille…

 

OK c’est un film de baston, mais c’est justement parce-qu’il n’y a pas que la baston, et parce-que les personnages sont animés par quelque chose de plus profond, que Warriors est une petite pépite. Gavin O’Connor le Réalisateur, prouve si besoin était, que l’on peut proposer du muscle et des upercuts dans un film, sans pour autant renoncer à tout scénario.

Cela aurait pu mal virer, avec des thèmes qui attirent méchamment le cliché (le Marine soutenu par ses pairs, sur fond de patriotisme US, le père ancien alcoolique, la belle blonde qui a séparé les frangins… j’en passe et des meilleurs) mais l’histoire tient la route du début à la fin.

Les passages de combat sont à la fois jolis techniquement, et chargés d’émotions. Tout se passe dans les regards, dans le peu de mots qui s’échangent dans la cage.

Joel Edgerton et Tom Hardy sont exceptionnels dans les rôles de frères ennemis. Le second est particulièrement incroyable, pour son interprétation de la haine poussée à son summum.

Le scénario a beau être prévisible dans ses grandes lignes_on sait par exemple, que les deux frères vont se retrouver et devoir s’affronter physiquement_cela ne m’a pas gênée, car ce qui comptait était de savoir comment tout cela allait se terminer à l’issue du championnat.

J’ai réellement adoré ce film et vous le recommande très très chaudement !

Le Silence d’après

Le Silence d’Après est un roman de Cath STAINCLIFF. Je l’ai choisi sur NETGALLEY car le résumé m’a intriguée. Je n’avais encore rien lu de cette auteure, spécialisée dans les romans policiers. Pourtant, une rapide recherche sur le net m’a appris qu’elle en avait écrit un bon nombre !

Dans ce livre paru le 13 juin 2018 aux éditions Stéphane MARSAN, nous devenons passagers d’un train de voyageurs, dans lequel a pris place un terroriste islamiste. Nous découvrons les préoccupations de différents passagers, qui empruntent le train pour se rendre à des rendez-vous professionnels, pour rejoindre leur famille, ou aller en vacances…

Nous partageons leurs pensées, voyons se dessiner des personnalités très différentes les unes des autres. Certains nous deviennent sympathiques, d’autres moins.

L’originalité de ce livre, est que nous partageons aussi les pensées du terroriste…

L’histoire débute avant l’attentat, et se poursuit plusieurs mois après, avec les survivants.

***

J’ai beaucoup aimé ce livre, que j’ai trouvé très simple à lire. Les histoires croisées sont toutes aussi intéressantes, et l’auteure n’a pas cherché à faire de la moralisation excessive.

Il est intéressant d’observer comment les personnages peuvent être  changés par l’événement dramatique qu’ils vivent. Car il y a certes toute la première partie du roman, qui se déroule avant le drame. Mais n’oublions pas la seconde, qui nous montre l’après, avec toutes les nouveautés induites sur le quotidien des survivants.

Ce roman m’a réellement plu, et je vous le recommande vivement !

 

De Cinq à Sept – 4 femmes, 4 destins chamboulés par une même maladie

De cinq à sept est un roman d’Olivia Koudrine paru au Cherche Midi.

J’ai testé La Kube, box littéraire

Connaissez-vous le principe de la Kube ?

Il s’agit d’une box littéraire que vous pouvez offrir ou vous (faire) offrir, ponctuellement ou sous forme d’abonnement.

Elle contient un livre (de poche ou semi-poche) et quelques goodies en lien avec la lecture.

Dans ma Kube, j’ai trouvé du thé en vrac, un marque-page, un petit carnet de notes, et quelques autres surprises que vous pouvez voir sur l’image ci-dessus…

Le livre, pièce centrale de notre Kube, est choisi avec soin et sur mesure par un Libraire partenaire. Lors de la commande, le destinataire est en effet invité à décrire ses goûts et envies du moment. A partir de là, le libraire choisit un livre qui devrait lui convenir.

Ensuite, le destinataire peut soit connaître la proposition du libraire, soit faire confiance et valider l’envoi du livre…

Sympathique comme concept, non ?

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#lecture #citation #roman #lâcheté

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J’avais noté que je souhaitais lire un roman feel-good, léger et qui me donnerait la pêche en plein hiver.

J’ai reçu Vivement l’Avenir de Marie-Sabine Roger. L’auteure est une ancienne instit. J’avais déjà lu et adoré Trente-Six Chandelle, un de ses autres romans. Mais ça je ne m’en souvenais plus. C’est en préparant le billet que vous êtes en train de lire que j’ai fait le rapprochement !

Dans Vivement l’Avenir, elle nous présente Alex, trentenaire androgyne au look d’éternel ado. Alex n’a pas d’attaches et sillonne la France et même le monde, au grès des opportunités. Elle vient d’atterrir chez Marlène et Bertrand, un couple qui loue une chambre. Ils vivent ou plutôt cohabitent avec le frère lourdement handicapé de Bertrand.

Contre toute attente, c’est auprès du frère en question, Gérard de son prénom, qu’Alex va trouver le plus d’humanité.

Ce bouquin est un pur produit feel-good, blindé de bons sentiments et de personnages que l’on aimerait rencontrer IRL (in real life, une expression que j’ai découvert dernièrement et qui je dois dire, est fort pratique). Malgré tout, il reste crédible, et c’est toute sa force. OK, les choses se passent plutôt facilement, mais pas trop non-plus, et l’on ne bascule pas dans un monde de Bisounours.

Du coup, cela donne une belle petite lecture, dont on sort avec le sourire aux lèvres. 🙂