Je m’étais réellement régalée en lisant Quand on s’y Attend le Moins de l’auteure italienne Chiara Moscardelli. (Vous pourrez retrouver ma chronique en suivant ce lien.) Ma réaction a été (en toute logique), de chercher si l’auteure était présente sur les réseaux sociaux, pour lui manifester mon enthousiasme après avoir lu son livre. Et j’ai eu le plaisir de constater que 1/ c’était bien le cas 2/ elle répondait. Nous avons donc échangé quelques tweets, et je me suis abonnée à sa page Facebook, pour rester au courant de son actu.
C’est ainsi que lorsque son roman Volevo Solo Andare a Letto Presto (Je voulais juste me coucher tôt) a été proposé en promo, à 1,99 € seulement, en ebook, j’ai pu en profiter !
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Chiara Moscardelli est romaine d’origine, et vit actuellement à Milan.
4 romans ont été publiés, dont un seul traduit en français à l’heure où j’écris ces lignes :
*La vita non è un film (ma a volte ci somiglia) – La vie n’est pas un film (mais parfois elle y ressemble)
*Quando meno te lo aspetti – Quand on s’y attend le moins) –> disponible en français
*Volevo essere una gatta morta _bon courage au traducteur qui devra potentiellement adapter ce titre en français car l’expression « chatte morte » n’existe pas vraiment en français…)
*Volevo Solo andare a Letto presto – Je voulais juste me coucher tôt.
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Chiara Moscardelli nous présente Agate Trambusti, romaine qui travaille dans les enchères d’œuvres d’art. Un jour pas tout à fait comme les autres, alors qu’elle se rend en visite chez un client, et après avoir cassé son talon dans les pavés romains, Agate se retrouve bien malgré elle au milieu d’une drôle d’affaire, impliquant des gens bizarres et potentiellement dangereux… Comme si cela ne suffisait pas, elle va aussi rencontrer un bel et intrigant jeune homme…
Et voilà, nous suivons Agate dans ce roman à mi-chemin entre la chicklit et le roman d’intrigue… dont seule Chiara Moscardelli a la recette.
C’est une lecture fraîche et divertissante, pleine de drôlerie.
J’ai aimé retrouver la bonne humeur de l’auteur, et suivre les aventures d’Agate. J’ai souri un paquet de fois, notamment lorsque l’héroïne évoque sa mère cristallothérapeute hippy déjantée.
Seul petit bémol, Agate m’a moins charmée que l’héroïne de Quand on s’y Attend le Moins, que j’avais trouvée plus attachante. Mais bon, on ne peut pas écrire QUE des petits chef-d’oeuvre ! Ce livre reste néanmoins très bon !
Si vous lisez en italien, ou si ce roman finit par être traduit en français, ne vous privez pas de le lire ! 🙂