J’adore visiter les parcs urbains… ces enclaves de verdure au milieu des villes sont généralement très agréables, surtout au printemps, quand les arbres sont en fleurs et que les parterres se couvrent de couleurs chatoyantes ! Cela tombe bien, notre visite de Strasbourg remonte au mois de juin…
La ville de Strasbourg dispose d’un magnifique parc, appelé L’Orangerie. Sur 26 hectares de terrain, l’on peut goûter les plaisirs d’une balade bucolique, et même visiter un petit zoo.
Lors de notre visite, le 11 juin 2017 précisément, la roseraie n’était pas au meilleur de sa forme. Il faisait très chaud, et les fleurs avaient bien du mal à rester fraîches, un peu comme nous en fin de compte.
Mais cela ne nous a pas empêché de passer plusieurs dizaines de minutes à les admirer, et à lire leurs noms sur les petites affiches disposées au pied de chaque rosier.
Par exemple, connaissiez-vous le rosier Betty Boop ci-dessus ?
En visitant cette roseraie le lendemain de mon anniversaire, je n’ai pu faire autrement que me rappeler le poème de ce goujat de Pierre de Ronsard, A Cassandre. Goujat ? Oui je crois que le mot est bon, puisque derrière de jolis mots de vieux français, le poète compare une femme à une fleur, et l’invite à profiter de sa beauté, avant que l’âge ne la fasse faner… On a connu plus gentleman, non ?
Les fleurs sont les stars des jardins publiques, mais elles se partagent la vedette avec d’autres végétaux, bien plus imposants : les arbres ! Et à l’Orangerie, on en trouve pas mal, à commencer par ce joli tulipier…
Cet arbre s’appelle ainsi car lorsqu’il fleurit (à partir d’une dizaine d’années), il se pare de grosses fleurs jaune pâle, qui ressemblent beaucoup à des tulipes.
Nous étions en Alsace, donc nous aurions du nous attendre à voir des cigognes… pourtant, nous fument surpris d’en entendre claquer du bec ! Nous ne savions pas que ces grands oiseaux produisaient ce bruit ! On croirait entendre deux morceaux de bois qui s’entrechoquent.
Je conclurai cet article par quelques mots sur le zoo. Nous n’avons pas fait le tour de tous les enclos, car ils étaient globalement très petits, et nous n’aimons pas particulièrement observer les animaux en captivité. Bien-sûr, il est toujours fascinant de voir des individus que l’on ne croiserait jamais autrement dans notre région. Mais il y a à mon sens un côté égoïste à vouloir observer des chimpanzés en France. Enfin, loin de moi l’idée de lancer un débat sur ce thème…
Je vous remercie pour vos lectures et vous dis à tout de suite en commentaires !