Fitness Body Book – Sissy Mua

Bonjour à tous ! Aujourd’hui je vous propose de découvrir une lecture un peu différente de celles que je vous propose d’habitude. Il ne s’agit pas d’un roman, mais d’un livre pratique, sur le fitness !

Dans Fitness Body Book, la youtubeuse que l’on ne présente plus, revient sur sa découverte de la musculation, et sur ses débuts sur Youtube. Elle présente ensuite sa philosophie, son organisation pour pratiquer le fitness, et sa vision de la diététique.

Elle détaille comment organiser son programme, en fonction des jours que l’on peut consacrer à la musculation dans une semaine.

Enfin, en fin de livre, elle donne des programmes types, pour pratiquer chez soi ou en salle.

Le livre est plutôt chouette, bien mis en page avec des titres lisibles, des petites notes dans les marges, et de nombreuses photos de qualité. J’ai noté quelques petites coquilles, notamment dans l’ordre de montage des photos, pour expliquer comment réaliser des burpees. Je vous montre ci-dessous :

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Fitness Body Book #burpees

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Je pense que l’image du saut, aurait dû se trouver tout à la fin et pas au milieu. 🙂 Mais franchement, je cherche la petite bête, car l’ensemble est bien fait.

C’est un ouvrage plutôt complet, qui aborde le fitness dans sa globalité, en évoquant aussi les bases de la nutrition, et la question de l’organisation. Il me semble tout à fait indiqué pour un nouveau pratiquant, qui voudrait se lancer sérieusement.

Il contient une mine d’informations utiles, pour les débutantes de fitness, sans aller trop dans le détail et noyer le lecteur dans des explications trop pointues.

Je dois dire que j’ai été surprise en bien, car globalement je ne suis pas une fan de Sissy Mua. Je la trouve un peu trop « commerciale » et ne partage pas toujours sa façon de voir les choses, notamment sur l’alimentation (elle diabolise les pâtes et parle des pâtes de lentilles corail comme s’il s’agissait d’un aliment miraculeux). Mais là, honnêtement, son livre me semble être un bon outil.

Je ne vais pas en faire un livre de chevet, car je n’y ai rien appris. Mettons de côté la fausse modeste. Cela fait plus de cinq ans que je m’entraine, donc j’ai déjà lu et vu pas mal d’informations sur la musculation. Je connait les principaux exercices. Je sais globalement comment organiser mes macros. Je suis capable de construire et faire évoluer mon programme. (Mais en effet, lorsque j’ai débuté, j’ignorais pas mal de choses… que ce livre aurait pu m’apprendre !)

Ce livre me semble parfait pour les débutantes de musculation, et peut être une belle idée de cadeau ! 🙂

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Je saute de branche en branche

Coucou tout le monde ! Aujourd’hui j’aimerais vous parler d’une sortie que j’ai effectuée récemment, et qui m’a beaucoup plu. Je suis allée m’éclater au parc Acrogivry, en Saône et Loire (71). Il s’agit d’un parc d’accrobranche.

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Pourquoi être allée si loin (1 h 40 via l’autoroute depuis Besançon) pour grimper dans les arbres me direz-vous ? Et bien parce-qu’une de mes collègues avait testé ce parc début mai, et m’en avait dit le plus grand bien. Elle m’avait raconté que son mari avait fait un parcours noir, et qu’il avait galéré plusieurs fois. C’était prometteur… suffisamment pour me donner envie de faire la route jusqu’à Givry.

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L’entrée coûte 20 € pour la grande aventure, à partir de 10-11 ans et pour les adultes ; elle coûte 15 € pour les plus petits à partir de 3 ans. La grande aventure inclut 17 parcours, contre 13 pour la petite.

Pour vous donner un ordre d’idée, en deux heures nous avons fait 5 parcours. Donc avec les 17 on peut occuper la journée je pense, d’autant qu’il faut bien se reposer parfois, et soit sortir son pic-nique, soit se rendre à la buvette !

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Pour le côté pratique, la carte bancaire est acceptée, tout comme les chèques vacances. Le parc est équipé de toilettes rudimentaires (un seau au fond d’un trou pour dire les choses comme elles sont). Il y a un point d’eau pour se laver les mains (eau non-potable), une buvette avec de la restauration rapide.

Les plateaux repas sont constitués de plats préparés du supermarché et de boissons en canette. Cela dépanne, mais je pense que cela reste plus intéressant de prévoir un panier pic-nique, pour s’installer sur les nombreuses tables mises à disposition dans le parc !

On peut aussi acheter des hot dogs, des gaufres (surgelées), ou encore un petit souvenir du parc vendu à la boutique.

Le parking est bien vaste et gratuit. Par contre l’accès se fait via un chemin non goudronné. C’est largement praticable mais cela secoue !

Les chiens tenus en laisse sont acceptés sur le parc.

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Je vous conseillerais fortement de prévoir les gants, car beaucoup d’obstacles demandent de s’accrocher, après des câbles, des cordes, et que l’on finit vite par avoir les mains toutes abîmées et douloureuses. Le parc propose des gants à la vente, pour 2 € la paire. Mais je ne l’ai vu que trop tard. Une fois la toile d’araignée en corde traversée, mes mains étaient toutes rouges, donc autant continuer !!

Penser à sa gourde est une bonne idée également, puisqu’il n’y a pas de point d’eau potable sur le parc.

Après avoir payé nos entrées, nous avons été accueillis par un membre de l’équipe, qui nous a aidés à serrer les baudriers fournis. Puis, nous avons suivi une petite formation, pour comprendre comment utiliser les mousquetons. Le système est très rassurant, car les mousquetons sont connectés et qu’il est quasiment impossible de les défaire les deux en même temps. Donc cela limite fortement les risques d’accident par chute, une fois que l’on est dans les arbres !

Nous avons ensuite pu commencer à grimper. Et pour ne pas y aller trop fort, nous avons choisi un premier parcours rouge, à 3 m du sol. Les couleurs renseignent quant au niveau de difficulté (vert, bleu, rouge et noir pour la grande aventure). Au début de chaque parcours, un panneau indique le temps moyen estimé pour réaliser l’ensemble, l’âge conseillé, la hauteur maximum à laquelle nous serons, et la difficulté (dans les noirs il y a « extrêmement difficile » et « abominable »).

Le parcours rouge était sympa pour s’échauffer, mais nous avons voulu passer la vitesse supérieure, et avons enchaîné sur un parcours noir. A nous les ponts flottants, les petits tunnels de corde qui râpent les genoux et les tyroliennes originales !

Je n’ai pas du tout le vertige donc j’ai adoré. Et je pense que c’est une condition essentielle pour apprécier.

A la fin du parcours le plus difficile, il nous a fallu escalader un arbre sur lequel avaient été ajoutées des prises d’escalade, pour ensuite se lancer dans le vide avec une longe. Waaaaaw ! J’avoue avoir eu un petit moment d’hésitation une fois en haut.

Mais bon, le très très bon point est la présence sur les parcours les plus ardus, d’échappatoires. A un moment donné, une affichette indiquait que trois ateliers allaient demander d’avoir de bras. Si l’on ne se sentait pas, un parcours bis était à disposition. Sachant que je ne sais pas me tracter, je n’ai pas voulu risquer de faire un embouteillage, et ai pris l’itinéraire bis !

Les obstacles sont bien pensés et il y a des affichettes qui donnent des précisions sur certains. Tout est clair et il n’y a plus qu’à s’amuser !

J’ai adoré ce parc et pense y retourner cet été, en prévoyant un pic nique pour rester toute la journée !

Le bonheur est vendu en kit chez Décat’

Depuis que je pratique la musculation et soulève de « vraies charges » (après avoir passé des années à squatter avec un haltère rose de 2 kg dans chaque main) je ressens le besoin de prendre soin de mes petits muscles.

Entre deux séances de jambes, à base de squats, de fentes et autres hip thrust, j’ai les quadriceps, les ischios et surtout les mollets en compote. Parfois, j’arrive à la deuxième séance en n’ayant pas totalement récupéré de la première…

Alors j’ai décidé de me prendre en main, et de donner un coup de pouce à mes muscles pour récupérer correctement ! Pour cela, je prête attention à mon alimentation, me complémente en magnésium marin et en  spiruline. Je mets également un point d’honneur à dormir suffisamment. Et enfin, je me suis acheté un kit de récupération musculaire !

Mais… qu’est-ce que c’est ?
Il s’agit d’un ensemble de 3 accessoires, vendu chez Décathlon, sous la marque Aptonia. Il se compose de :

-1 gros rouleau,

-1 balle

-1 bâton de massage

Le but ? Masser le muscle pour favoriser l’élimination des toxines, le détendre, réduire les tensions. 

Le kit coûte 19 euros. On le trouve chez Décathlon, au rayon… natation. Vous pourrez aussi acheter les éléments individuellement, ou trouver d’autres rouleaux plus ou moins marqués, pour un massage parfois moins intense. Mais j’ai préféré m’offrir d’emblée le kit complet, et choisir le rouleau qui permettait un massage bien profond.

Le kit prend peu de place, car le bâton et la balle se rangent dans le rouleau ; lequel peut facilement se glisser sous un lit, ou dans un coin derrière un meuble…

Les trois accessoires permettent de masser les muscles de tout le corps, pour obtenir différents bénéfices. On aide ainsi le corps à se détendre, et le muscle à récupérer après un effort.

Alors je vous le dis de suite… le massage en lui-même n’est pas toujours plaisant. C’est même plutôt le contraire. Au niveau des mollets, ou sur l’arrière des cuisses, je grimace de façon assez considérable… Mais quel bonheur ensuite !

Je me sers du rouleau une fois l’entrainement terminé, parfois même le lendemain, voire le sur-lendemain, donc à froid. Je préfère, car je n’ai pas l’habitude de m’étirer ou de me masser tout de suite après le training. Chacun trouvera sa méthode, et le moment qu’il préfère pour effectuer sa séance de récup au rouleau !

Souvent les muscles sont douloureux, et le fait d’utiliser le rouleau pour appuyer dessus n’est pas une partie de plaisir. Cependant, dans les minutes qui suivent l’utilisation du kit, je me sens bien plus détendue. Et j’ai pu remarquer que je récupérais plus vite, et avais ensuite de meilleurs performances à l’entrainement suivant !

Comment fais-je ?
J’utilise surtout le gros rouleau, et un peu le bâton. Pour l’instant, la balle me sers assez peu. Je la trouve trop molle, et elle ne me permet pas un massage bien bourrin comme je les apprécie !

Le rouleau est génial, pour masser les jambes, ces gros muscles que l’on a du mal à masser à mains nues soi-même ! Pour détendre les mollets, je m’assied, en prenant appui sur mes mains, posées sur le sol derrière moi. Je glisse le rouleau sous les mollets, et appuie dessus de tout mon poids, en faisant rouler le rouleau, le long de mes mollets. Je tends les pointes de pieds, pour contracter le muscle en même temps. Aieeee ! Cela fait mal, mais c’est ultra efficace pour détendre les mollets, je vous le garantis !

Pour moi qui ai les mollets développés, à mon grand dam, c’est une véritable trouvaille que ce rouleau, qui m’aide vraiment à détendre ces muscles, et à ne plus souffrir de courbatures super douloureuses à cet endroit !

Idem pour détendre les ischios, les muscles qui se situent derrière les jambes, sous les fessiers. Et en prime, en utilisant le rouleau, ou le bâton sur cette zone, on lutte contre la cellulite, en favorisant la micro-circulation !

Le rouleau sert aussi à masser tout le dos, des lombaires aux cervicales, simplement en s’allongeant et en roulant (doucement) dessus. Bonheur et détente garantis !

Je suis absolument ravie de mon achat, vous l’aurez remarqué à l’utilisation intensives des points d’exclamation dans ce billet ! Je pense qu’il sera vite rentabilisé, car je trouve une vraie utilité aux auto-massages de récupération. Il faut un peu de courage pour s’y mettre, car cela fait mal au départ (j’ai même eu des bleus !) mais le bénéfice se fait rapidement ressentir : moins de tensions dans les muscles, et des séances plus efficaces, puisque l’on a mieux récupéré !

Et vous, concernés ? Tentés ? 🙂

Pour plus d’infos, c’est par ici !

J’ai testé la pole dance

Les premières fois que j’ai entendu parler de cours de pole dance, je dois avouer que j’ai pensé que c’était une drôle d’idée d’apprendre à danser autour d’une barre, en petite tenue. Je trouvais cela vulgaire, et je n’aurais jamais pensé essayer. Ne me jetez pas tout de suite des cailloux s’il vous plait !

Petit à petit, cette discipline s’est diffusé, et j’ai vu des vidéos, des photos, qui m’ont fait me rendre compte qu’en réalité, bien que née dans les clubs de strip tease, la pole était un sport à part entière, qui demandait de solides capacités physiques !

Du coup, lorsque ma meilleure amie m’a proposée d’assister à un cours d’essai, à l’occasion de portes ouvertes dans un club de ma ville, j’ai dit oui !

Nous voici donc dans une salle remplie de poles (ce sont les fameuses barres), avec une petite dizaine d’autres filles, toutes en débardeur et petit short, la tenue obligatoire si l’on veut pouvoir faire quelque chose. Imaginez-vous bien qu’en T-shirt long et legging, vous ne tiendriez pas sur la barre !

Au départ la prof nous explique deux ou trois points un peu techniques. Elle nous conseille de changer de pole pendant le cours, car toutes ne sont pas identiques. Elle nous propose ensuite un échauffement de dix minutes, nécessaire pour ne pas risquer inutilement la blessure. Et puis nous voilà lancées !

Premier exercice, tandis que la moitié des élèves fait la position de yoga du chien tête en bas, l’autre moitié s’assoit à la pole, et doit se soulever jambes écartées, à la seule force des bras… Malgré toute la bonne volonté du monde, je n’ai pas décollé d’un millimètre. Oups, cela commence bien !

Nous avons marché autour de la barre, pour nous familiariser avec le matériel. J’ai été surprise de me rendre compte que des mouvements tous simples étaient en réalité bien plus techniques que ce que j’imaginais. Parfois le positionnement des mains à quelques dix centimètres près changeait tout !

Ensuite nous avons découvert la figure du Crucifix. Debout face à la pole, on appuie son genou monté à angle droit le long de cette dernière, avant de ramener l’autre jambe, et de se hisser le long de la barre, pour ensuite écarter les bras. Si ce n’est pas clair, je vous renvoie à google images !

Et bien là surprise, après quelques conseils supplémentaires, j’ai réussi à monter le long de la barre, et à effectuer un Crucifix assez convenable. La grâce viendra par la suite, on ne peut pas tout faire nickel dès le début !!

Nous avons ensuite testé le Crucifix renversé. Comme son nom l’indique, il s’agit de la même figure, mais tête en bas. Pour le coup, la prof avait placé un tapis autour de la barre, et nous assurait. Sinon je pense qu’il m’aurait fallu environ une éternité pour oser me lancer !

Et puis nous nous sommes étirées, et la séance était terminée ! Cette heure a filé à toute vitesse, et même si elle a confirmé que je n’avais aucune prédisposition pour la danse en général, j’ai été surprise de m’amuser comme une petite folle. Le côté très physique de la pole m’a réellement plu. J’ai ressenti une douloureuse absence de muscles des bras… Je pense donc que je retenterai l’exercice une prochaine fois, le temps de me muscler un petit peu à la salle de sport !

Finalement, si vous souhaitez visionner des vidéos sur Youtube par exemple, vous pourrez vous rendre compte comme moi, que la pole dance est une discipline proche de certains numéros de souplesse, comme on peut en voir au cirque par exemple. Et c’est ce qui m’a réellement plu dans cette expérience !

Quand Mémé fait des squats – Boissons Mémé

C’est par le biais d’un concours organisé par la marque sur Instagram, que j’ai découvert les boissons Mémés.

Ces petites briques de 330 ml se déclinent en 3 variétés, et s’adressent aux sportifs, ou plus globalement, aux actifs !

*Endurante <- avant le sport

*Énergisante <- pendant le sport

*Hydratante <- après le sport

La marque nous dit de ses boissons qu’elles sont « 100% fonctionnelles 100% naturelles 100% biologiques » et insiste sur le fait qu’elles sont très peu sucrées. En effet, la boisson Endurante à base de thé matcha contient par exemple 7 kcals pour 100 ml, soit au total 23,1 kcals (c’est du précis) pour une briquette… moins qu’une pomme !

La boisson Endurante est composée d’eau, de sucres issus du raisin (fructose), et de poudre de thé matcha (0,62 %), ainsi que d’arôme naturel de menthe issu de l’agriculture biologique.

Elle est préparée sans conservateurs, sans additifs, et sans gluten.

Avec si peu de matcha, je m’attendais à ce que ma briquette ait un goût très léger… Et bien j’ai été surprise car non-seulement la saveur du thé matcha est bien présente, mais en prime, on sent la menthe. L’ensemble est rafraîchissant et laisse un goût herbacé en bouche, qui ravit la passionnée de thé vert que je suis !

Oui parce-que finalement, on retrouve l’équivalent de 2 grammes de matcha dans une brique. Ce n’est pas rien !

Ce thé bien particulier est obtenu à partir de feuilles de thé vert, broyées pour obtenir une poudre très très fine. Il est riche en vitamines, en minéraux, et bien-sûr en antioxydants.

Alors honnêtement, j’ignore si la boisson m’a aidée dans la séance de fitness qui a suivi. Je vais à la salle chaque jour après le bureau, et je n’ai pas noté d’effet flagrant sur mes performances du jour. Le contraire aurait été étonnant. Ce n’est pas un produit dopant ! :-p Mais, j’ai aimé siroter ma boisson fraîche, et boire du thé autrement que chaud dans un mug !

Seul hic, qui m’empêchera d’entamer une vraie routine Mémé, le prix…  puisque la briquette la moins chère, coûte 2,90 € pièce…

*Mé-Mé endurante : 2,90 euros l’unité
*Mé-Mé hydratante : 3,30 euros l’unité
*Mé-Mé énergisante : 3,50 euros l’unité

Et vous, vous connaissez Mémé ? Vous êtes tentés ?

 

Un roman sur le tennis

Lauren Weisberger est une auteure américaine née en 1977, à qui l’on doit Le Diable s’habille en Prada. Ce livre est son tout premier roman, paru en 2003, et comme beaucoup je l’ai adoré.

Laissez-moi à présent, vous parler d’un autre roman de cette auteur : The Single Games (titre français : l’Art et la Manière de Conclure en Beauté).

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Ce livre m’a été offert par Karine, ma e-copine à qui je dois déjà beaucoup de découvertes théinées !

Et je dois dire qu’elle a super bien choisi ce roman !

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Je ne m’intéresse pas du tout au tennis. Pour tout vous dire, j’ignorais même ce qu’était le fameux « grand Chelem » et je m’en fichais royalement.

Puisque nous en parlons, je vous l’explique rapidos, pour le cas où vous soyez aussi ignares que moi.

C’est en fait l’ensemble des quatre tournois les plus importants : Open d’Australie, Roland-Garros, Wimbledon et US Open. Un joueur réalise le grand Chelem quand il remporte les 4 tournois la même année.

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 Mais revenons-en au roman…

De quoi cela parle ?

Charlotte, dite Charlie, est une joueuse de tennis professionnelle. Elle est parmi les meilleures joueuses de tennis au monde, mais pas LA meilleure, et cela commence à l’ennuyer un peu, d’autant qu’elle sort de blessure et que le temps passe… Elle aimerait décrocher le pompon avant de raccrocher ses raquettes.

Pour mettre toutes les chances de son côté, la jeune femme décide de se séparer de son entraîneuse, et de recourir à l’exigeant Todd. L’entraineur a amené les plus grands joueurs au top niveau. Ce n’est pas un rigolo, mais Charlie est persuadée qu’il est l’homme de la situation.

Nous suivons donc le parcours de Charlie, ses différents sacrifices et les compromis auxquels elle doit faire face, pour espérer grimper tout en haut du podium…

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Les chapitres sont courts. Ils abordent surtout les journées de Charlie, faites d’entraînements, de matchs, et de repas light pris généralement avec son père et son frère et Manager.

Nous découvrons aussi sa vie sentimentale, plutôt plate, sauf lorsque la jeune femme retrouve Marco, un autre joueur de tennis avec lequel elle tisse une relation qui se veut « casual »

Et puis il y a les frictions avec les autres joueuses, la pression des médias, les relations avec les différents sponsors, le rythme de folie qui va de paire avec la vie de sportive de haut niveau.

Tout cela est évoqué par l’auteure, et contribue à former un roman relativement complet, et jamais ennuyeux. Pendant environ 400 pages, je n’ai jamais décroché !

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Nous suivons certains passages de matchs, et étonnamment, même pour moi qui n’aime pas le tennis, ou du moins qui ne m’y étais jamais intéressée, cela a été passionnant.

Parfois j’avais l’impression de suivre le match depuis les gradins, et j’en aurais presque eu mal à la nuque à force de regarder la balle filer entre Charlie et son adversaire !

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J’ai beaucoup aimé ce livre, car il traite d’un thème assez peu abordé dans les romans de chicklit : le sport de haut niveau, vu à travers les yeux d’une athlète.

Ici, nous ne suivons pas une working-girl newyorkaise, qui trottine en talons aiguilles pour aller acheter son latte avant de rejoindre son bureau à la city. Nous découvrons le quotidien d’une tenniswoman, qui se couche tôt après un repas sans alcool, pour être en forme le lendemain et enchaîner les matchs.

Et franchement, j’ai beaucoup aimé découvrir le quotidien de Charlie. J’ai eu un pincement au cœur au moment de refermer ce roman, car je savais que l’héroïne allait me manquer…

J’ai testé… la marche nordique.

Salut à tous et merci d’être fidèles à ce blog, que j’ai plaisir à alimenter en pensant à vos réactions à venir ! Chaque jour c’est un plaisir de lire vos commentaires et d’y répondre. 🙂

Aujourd’hui j’ai envie de vous parler d’un sport que j’ai découvert tout récemment : la Marche Nordique.

C’est grâce à ma salle de sport, qui organisait une sortie initiatique, que j’ai pu m’essayer à ce sport, à l’occasion d’une balade en forêt.

Nous nous étions donné rendez-vous un soir, après le bureau, et le club fournissait les bâtons de marche. Après de rapides explications (5 minutes maxi) nous avons enfilé les dragonnes, et sommes partis d’un pas décidé en direction du Fort de Rosemont.

Balade à Besançon

Le principe est simple : s’aider des bâtons pour faire travailler les bras, en plus des jambes. On avance le bâton et la jambe opposés en même temps, et l’on plante le bâton en diagonale, comme pour se propulser. Le bâton est planté vers l’arrière du corps, comme en ski de fond… ski de fond que j’ai pratiqué une seule fois, il y a une vingtaine d’années (oui je suis vieille) !

Il s’agit de marcher rapidement, en adoptant une démarche sportive, le corps bien droit, pour solliciter un maximum de muscles. La marche nordique est un sport d’endurance qui permet aussi de pratiquer le renforcement musculaire… une discipline que l’on peut donc qualifier de « complète » !

Balade à Besançon

Franchement, quand j’ai entendu le mot « coordination » dans les explications du coach, j’ai eu un instant de panique… car ce n’est pas du tout mon point fort. Mais en fin de compte, le mouvement de la marche nordique est très instinctif. Au départ, on peut compter mentalement ses pas, pour s’aider, mais le mieux reste de penser à autre chose (les fleurs, les petits oiseaux, ne pas glisser sur les cailloux^^), et de ne pas se focaliser sur les mouvements de ses membres. Cela vient tout seul.

Balade à Besançon

Nous avons marché jusqu’à un point de vue, où nous avons pu « visiter » une petite cabane en pierres… abri de berger ? On ne savait pas trop…

La pause n’était pas forcément obligatoire car nous n’avions pas adopté un rythme ultra intensif, mais on ressentait tout de même l’effet de l’exercice sur les mollets et les cuisses ! Les bras ont travaillé aussi, car le lendemain je sentais bien mes muscles !!

Balade à Besançon

J’étais ravie de découvrir ce sport. Jusque là je dois dire que j’en avais une image un peu négative, pensant que cela s’adressait surtout aux personnes âgées. En réalité, il revient à chacun de choisir l’intensité de sa pratique, et l’on peut réellement se fatiguer et améliorer son endurance et ses muscles en pratiquant la marche nordique ! En plus, on profite de la nature, ce qui est tout de même un gros gros plus. Et puis l’équipement est peu coûteux. Il suffit d’une tenue de sport, de baskets, et les bâtons entrée de gamme ne coûte qu’une petite vingtaine d’euros !

Je ne pense pas m’équiper dans l’immédiat car je préfère réitérer l’expérience en groupe, et pas uniquement en couple. Mais il est clair que cet essai m’a donné envie de reprogrammer des sorties !

Et vous, vous avez déjà testé la marche nordique ? Quelle image en avez-vous ?

Courir dehors, ou sur tapis ?

Le soleil revient ponctuellement et timidement dans ma belle Franche-Comté, et j’ai eu l’immense bonheur de m’offrir mon premier footing de l’année en extérieur. Oui, car j’ai beau faire du sport tous les jours, je suis de ceux qui ne courent jamais dehors quand il fait « trop froid ». Pour que je mette une basket sur le bitume, il me faut au une température que je juge convenable (donc ce n’est pas envisageable entre octobre et avril), et du soleil.

Le reste du temps, je cours et fais des entraînements de cardio sur différents appareils, mais en salle.

Et savez-vous à quoi j’ai pensé pendant mon premier footing dehors ? A un petit article, pour Vous mes chers lecteurs ! Alors que je sentais les ampoules se former sur mes petits pieds, et que mon Iphone glissait dans ma brassière (je n’avais pas prévu de charger mon petit Ipod et courir sans musique me semblait vraiment au dessus de mes forces), j’ai commencé une liste mentale…

Il s’agit de vous énumérer les plus et les moins du footing en extérieur, versus sur tapis, donc en salle ! Le but ? Vous faire sourire si possible !

Allez, je me lance !

 

Le footing en salle

*On ne dépend pas de la météo, et l’on peut courir en débardeur toute l’année, +

*L’impact est moins violent pour les articulations, +

*On peut poser tout son petit bordel sur la tablette : téléphone, mouchoirs, bouteille d’eau, baladeur, … +

*Dès que l’on en a marre, on appuie sur stop et on fille à la douche ! +

*On peut regarder la téloche (ah bon plus personne ne dit « téloche » depuis 1992 ?) en même temps… +

*Cela devient vite répétitif… (parfois à observer les gens qui arrivent et qui quittent le parking, je me sens un peu comme une vache qui regarderait passer les trains…) –

*Et s’il y a la télé sur le tapis de course, on finit souvent par être absorbé par 4 Mariages pour une Lune de Miel, et courir un peu au ralenti, car l’on ne se concentre plus vraiment sur ses performances… –

*Si le voisin de tapis sent le phacochère, accélérer la foulée ne réglera pas le problème… Impossible de le semer… –

 

Le footing dehors !

*On prend de l’avance sur le bronzage (s’il fait beau bien-sûr) +

*On profite de la nature, et on prend un bol d’air. C’est bon pour le moral ! +

*On est dans une grande communauté car, il faut courir pour le savoir, les coureurs se saluent entre eux (enfin, pas tous, et pas partout, mais cela arrive !) +

*On peut varier les itinéraires, et surtout les rallonger, pour visualiser de façon bien concrète, nos progrès ! +

*On peut se faire courser par les chiens… et accessoirement croquer un mollet… –

*On peut se faire suivre par un lourdeau, voire par un psychopathe… –

*Parfois, certains automobilistes jugent opportun de nous interrompre pour demander leur chemin… –

*On se paye les pentes qui sont bien plus rares sur tapis (je suis trop drôle), les nids de poules, les crottes de chiens… –

*On peut parfois avaler des petits moucherons, ou les prendre dans les yeux… Serrez les dents si vous soufflez la bouche ouverte, les guêpes ça ne pardonne pas ! –

 

 

Ces listes sont loin d’être exhaustives, mais je suis sûre que vous m’aiderez à les compléter… Alors je vous attends avec plaisir dans les commentaires ! 😀

[Sport] Montre-moi ta montre Geonaute !

IMG_0299Pendant des années je n’ai pas porté de montre. Je n’en voyais pas l’utilité puisque j’avais toujours sur moi mon téléphone et mon Ipod, qui tous deux me donnaient l’heure. J’avais aussi l’heure sur mon ordinateur, dans ma voiture. Bref, je ne voyais aucune utilité de rajouter une montre à mon poignet…

Et puis je me suis mise au sport, et là, ma vision des choses à changée… Je ne suis pas trop le genre à faire du fitness mon téléphone à la main, mais pour autant je ne peux pas me payer le luxe de ne pas regarder l’heure qu’il est, notamment car je vais au sport avant le bureau.

J’ai donc »investi » dans une montre à affichage digital, que j’ai payée 19,90 € seulement chez Décathlon. Je l’ai choisie noire, avec un cerclage blanc. Elle existe aussi en rouge, en bleu, et en différents coloris que vous retrouverez sur le site de la marque, et en boutique !

Il s’agit de la montre W500 M Geonaute, qui présente la particularité d’avoir des bracelets en silicone interchangeables ! Et j’avoue que c’est aussi cela qui m’a plu au moment de mon achat… Notez que ces bracelets se changent sans aucun accessoire, simplement en coulissant. Et même si comme moi vous n’êtes pas très à l’aise de vos dix doigts, cela reste super fastoche à faire, vraiment !

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Vous pouvez acheter la montre seule, avec un bracelet fourni, pour 19,99 €, ou opter pour un coffret avec deux bracelets, à 24,95 €. Pour ma part je n’ai pas trouvé mon bonheur dans les coffrets. A chaque fois l’un des deux bracelets ne me plaisait pas. Alors j’ai pris la montre seule, avec le bracelet noir, et un bracelet de rechange à côté, en couleur violette. Je l’ai eu en promo à 2,95 € au lieu de 5,95 € ! Par la suite, j’ai racheté des bracelets en soldes, toujours à 2,95 €.

Différents coloris existent, du bleu roi, du rose fushia, du vert pétant, du bleu turquoise, du noir… J’aimerais bien que d’autres coloris soient proposés par la suite, pour pouvoir vraiment assortir ma montre avec tout. Je trouve notamment qu’un bracelet gris foncé manque un peu… pourquoi pas un argenté, un mauve… après tout !

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Je me retrouve avec une montre sympa, pratique pour le sport, et tout à fait portable dans le « civil ». OK il y a plus féminin, mais je la porte quand-même au bureau, car je la trouve vraiment passe-partout. Et j’ai plaisir à l’assortir avec mes tenues et, comble du chic, à mon vernis !

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Niveau fonctionnalités, elle est assez basique. Elle donne l’heure, fait chrono, et indique la date. On peut programmer plusieurs chronos à la suite, pour s’entrainer en HIIT notamment, mais c’est une fonctionnalité que je n’utilise pas. Bien-sûr, elle possède aussi la fonction alarme, mais là encore je n’y ai pas recours.

 

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En définitive je suis tout à fait satisfaite de mon achat, et j’ai plaisir à porter cette montre depuis quelques mois. Sans faire particulièrement attention, et bien que je la porte à mon poignet droit en étant droitière, je ne l’ai pas encore rayée ! Je dirais donc qu’elle est plutôt robuste.

 

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